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RDC: FOBAC lutte pour une justice sociale équitable en faveur de la jeunesse congolaise ( Tribune de Christian Bahati)

Par Dieumerci Matondo

 

Nous poursuivons nos objectifs en rappelant aux dirigeants congolais que nous ne pouvons pas parler du développement du congo sans la jeunesse.
Le Congo c’est la jeunesse.
Impliquer la jeunesse consciente dans la prise des décisions, c’est préparer un congo à un avenir meilleur.

Nous continuons de combattre le chômage et la pauvreté au sein de la population congolaise et plus précisément au sein de la jeunesse car la jeunesse est l’avenir de demain.

Nous menons une réflexion sur les voies éventuelles de sortie de la pauvreté et du chômage avant tout.
Le concept « pauvreté » mérite d’être élucidé d’autant plus qu’il traduit une réalité complexe et entretient une ambiguïté tant dans sa compréhension que par sa définition.
En effet, en tant que phénomène multidimensionnel, la pauvreté embrasse tous les aspects de la vie humaine.
On la définit comme étant l’insuffisance des ressources matérielles et des ressources intangibles.
On dira que la pauvreté existe dans une société lorsqu’une ou plusieurs personnes de cette société ne parviennent pas à atteindre un niveau de bien-être économique considéré comme un minimum raisonnable selon les standards de cette société.

Nous vivons avec les citoyens qui ont plein d’idées, projets d’innovation mais par manque des resources matérielles ces idées où projets ne profitent pas à notre pays. C’est la où nous insistons que le gouvernement que vous avez appelé des warriors se manifeste pour que ces derniers atteignent le niveau de bien être économique. Pour atteindre le niveau de bien être économique, le travail de chaque citoyen congolais devrait être accompagné d’une rémunération continue et non temporaire selon la volonté de l’employeur qui ne respecte pas ses obligations où le code du travail congolais qui dit que chaque travail mérite un salaire.

La pauvreté, le chômage et la manque de paie de salariés engendre la criminalité dans tous les secteurs.
Ainsi, la crise multiforme qui a prévalu à la fin du siècle dernier a amené l’économie du pays à une profonde dégradation de taux de croissance avec comme conséquences : l’inflation, la corruption, le vol, la criminalité et l’insécurité sociale, bref, la paupérisation de la population.

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