Dans un communiqué parvenu à la rédaction de Congopress.Net ce mardi 12 mars 2024, la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI) a annoncé qu’un incendie s’était déclaré le samedi 9 mars dernier dans son entrepôt situé dans la ville de Matadi, dans la province du Kongo Central. La CENI, garante du processus démocratique, appelle les autorités compétentes à ouvrir une enquête afin d’établir les causes de cet incendie et, le cas échéant, à punir les responsables conformément à la loi. Il est important de noter que de nombreux équipements électoraux ont été endommagés lors de cet incident, notamment 476 dispositifs de votes (DEV). (Le communiqué de la CENI)
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[Tribune] : « L’assainissement de l’administration publique, la diplomatie axée sur le doing business et l’action militaire basée sur des cibles stratégiques pour la paix durable en RDC »
Depuis +/-3 décennies , la République Démocratique du Congo (RDC) est victime d’une agression militaire de la part de ses voisins qui lui coûte énormément cher en vies humaines, en ressources de l’État ainsi que sur l’environnement. Alors que le mobile avancé et médiatisé par les comploteurs pour violer la souveraineté et le territoire de ce grand et beau pays hospitalier est la protection d’une minorité ethnique, piège dans lequel le gouvernement congolais semble tombé, il est largement reconnu que cette guerre trouve son fondement réel dans la prédation des richesses naturelles du pays. Située au centre de l’Afrique avec des forêts qui déversent l’oxygène dans les poumons de la terre et fournissent du bois de qualité aux consommateurs au-delà du continent, la RDC est particulièrement convoitée pour les richesses enfouies dans son sous-sol qui constituent des réserves importantes au monde pour la nouvelle technologie. Ce pays paradis, est ainsi reconnu comme pays solution à l’humanité mais où la vie d’une grande majorité de sa population n’est pas loin de l’enfer. La population congolaise est majoritairement pauvre avec la majorité de cette population croupissant sous le poids de la pauvreté extrême. Cette situation de guerre prolongée et de prédation à ciel ouvert des ressources naturelles de la RDC nous pousse à la réflexion sur les voies de sortie de ce calvaire pour une meilleure vie des populations congolaises en même temps que ce pays réalise son rôle prédestiné de pays solution du monde. Il est globalement reconnu qu’au-delà de l’alibi avancé par les agresseurs de la RDC, cette guerre est fondamentalement économique. Il est aussi évident que la RDC ne peut pas consommer à elle-même toutes les ressources naturelles comprises sur son territoire, sol et sous-sol. Comment alors arriver à satisfaire toutes les parties prenantes et assurer une sécurité durable et une meilleure vie aux congolais ? Pour le gouvernement congolais, nous proposons quatre pistes de solution pour résoudre le problème en garantissant la souveraineté et l’intégrité territoriales du pays et permettre un climat favorable aux affaires qui découragerait la prédation méchante et le génocide des congolais en faveur d’une activité commerciale saine gagnant-gagnant entre la RDC et les pays de la Communauté internationale qui ont besoin des ressources de ce pays : L’assainissement de l’administration publique Notre administration publique est connue pour ses défaillances sérieusement défavorables à un climat des affaires attractif dans un monde qui ne peut pas se passer des ressources que regorgent le sol et sous-sol congolais. Afin de faciliter des relations commerciales saines et efficientes qui décourageraient l’investissement dans des activités à haut risque et très coûteuses pour les opérateurs économiques étrangers et locaux et assurer la bonne gouvernance au profit d’un climat des affaires favorable au doing business, il est impératif d’assainir l’administration publique par la promotion et le renforcement d’une bonne éthique (impartialité dans l’administration, lutte engagée contre la corruption et différentes formes de tracasseries, etc.), l’engagement des compétences requises pour une gestion basée sur les résultats et l’application rigoureuse des sanctions administratives et pénales pour tous les fonctionnaires (haut cadres et autres) selon le cas. La pression politique populaire, aucun investisseur n’est attiré par un environnement à haut risque avec une population hostile à sa présence. Le monde des affaires comprend le langage d’une révolte populaire qui cible son personnel et ses intérêts. Les autorités compétentes en RDC devraient laisser la population s’exprimer et opposer tous les acteurs réels identifiés dans cette agression par toutes sortes de manifestations selon les limites de la Constitution et des lois de la République. Le Kenya ne nous a-t-il pas répondu qu’il était dans l’impossibilité d’arrêter des gens qui exercent leur liberté d’expression sur son territoire selon sa Constitution lors de l’annonce de la création du groupe Alliance Fleuve Congo ? Que vaut bruler quelques pneus devant certaines installations face au génocide qui sévit l’Est de la République ? Et pourquoi empêcher la population d’exercer son droit constitutionnel dès lors que sa démarche est porteuse des résultats escomptés à moindre frais et dégâts collatéraux ? La population devrait rester continuellement mobilisée pour l’intégrité de son territoire pour aussi longtemps que la menace existera et que son territoire sera l’objet des convoitises qui attirent des ennuis au point de lui faire subir un génocide. Après tout, le monde entier observe désintéressé les massacres sans distinction d’âge ou sexe de cette population depuis plus de trois décennies. Le congolais ne peut réellement compter que sur lui-même.La population doit être informée des enjeux réels et mobilisée pour ne pas tomber sous le coup d’usure car le danger est permanent aux portes du pays pour aussi longtemps que la RDC continuera à regorger des richesses naturelles qui attirent le monde entier. La diplomatie axée sur le doing business La diplomatie constitue un axe où le gouvernement investit beaucoup à juste titre. Les efforts devraient continuer sur ce front en adressant le problème réel auprès des vrais acteurs sans donner trop d’importance au voisin du petit pays à côté qui n’a pas de quoi nourrir sa population pendant un mois si seulement l’aide international et le butin de la prédation lui étaient retirés. Ce dernier ne pourra reculer et proposer une autre voie à ses maîtres que si les pertes endurées devenaient insupportables pour lui. Il est fourni en armes et non en hommes. Des pertes considérables des enfants rwandais sur le sol congolais où leur famille et leur nation en générale ne bénéficient en rien sont susceptible de créer des tensions et révoltes dans ce pays.Il est impératif de d’arroser les convois transportant le butin de prédation en dehors du territoire congolais par des bombardements orageux qui empêchent toute sortie de minerais du territoire congolais sinon au coût des pertes énormes pour les acteurs commerciaux qui devront réaliser le bénéfice de négocier des termes d’exploitation des ressources du pays avec le gouvernement plutôt qu’investir dans un pillage dangereux qui ne garantit pas les résultats. L’action militaire sur base des cibles stratégiques L’action militaire est la partie la plus coûteuse
Scandale à la caisse nationale de péréquation : Nicolas Kazadi sur le banc des accusés
Les mandataires de la caisse nationale de péréquation ont déclaré, mardi 27 février 2024, que certaines personnalités aux affaires profitent injustement des ressources qui devraient bénéficier à l’ensemble du peuple congolais. Cette déclaration a suscité des interrogations auprès des congolais voulant connaître les auteurs. Revenu sur ce point dans une interview exclusive accordée, mercredi 28 février 2024, à Congopresse.net, Une source proche de la caisse nationale de péréquation, a mis en lumière un problème crucial qui affecte le bon fonctionnement de la Caisse nationale de péréquation (CNP). Selon ses dires, le véritable obstacle se situe au sein des ministères des finances et du budget qui bloquent délibérément les fonds nécessaires à l’action de la caisse. « Je tenais à préciser que le problème se situe aux ministères des finances et budget qui bloquent la caisse », a-t-elle déclaré. Ayant requis l’anonymat la source a dénoncé la position intransigeante du ministre des finances qui semble avoir refusé catégoriquement tout soutien financier à la Caisse nationale de péréquation (CNP) jusqu’à son départ. Une attitude va même jusqu’à menacer les frais de fonctionnement essentiels à la direction générale, compromettant ainsi gravement les activités prévues par la caisse, nous confie la source. « Le ministre des finances s’est juré de ne rien donner jusqu’à son départ », dénonce-t-elle. Cette même source a révélé que les fonds destinés à la péréquation sont détournés pour d’autres usages contraires à leur vocation initiale. « Où se trouvent les fonds de péréquation alloués pour développer et équilibrer les provinces ? 1.6 milliard de dollars américains devraient équilibrer toutes les provinces de la République Démocratique du Congo afin de financer les projets d’investissements publics », se demande cet intervenant, qui estime qu’il est légitime de s’interroger sur l’utilisation frauduleuse de cette somme. Face à cette situation critique, l’administration de cette institution exige des explications claires et transparentes sur le sort réservé aux fonds alloués pour ce dessein noble. A en croire sa déclaration, il est impératif que les autorités compétentes prennent conscience de l’urgence d’une gestion juste et éthique afin d’honorer notre patrie et ses citoyens. « Il est indéniable que notre établissement vital subi un boycott injustifié orchestré par les instances financières et budgétaires du pays. Il est grand temps que justice soit rendue et que ces pratiques illégales cessent pour permettre le plein épanouissement des provinces congolaises dans un esprit d’égalité et d’équité », conclut la source.
CAN Côte d’Ivoire 2023 : L’Algérie éliminé par la Mauritanie, l’Angola sort tête haute du groupe D
Après des matches sensationnels de cette troisième journée, l’Angola a battu les étalons du Burkina Faso sur la note de 2-0, et s’est qualifié à la huitième de finale. De l’autre côté, les mourabitounes de la Mauritanie ont tenu en échec les fennecs de l’Algérie sur la note de 1-0, une rencontre aussi surprenante. C’est alors que les Mauritaniens sont qualifiés à la huitième de finale comme mailleur troisième de ce groupe D. Un parcours impressionnant pour ces nations qualifiées du groupe D depuis le début de cette messe footballistique la 34e édition de la CAN Côte d’Ivoire 2023. En effet, l’Angola avait tenu en échec l’Algérie lors de la première journée 1-1, et a battu la Mauritanie 3-2 lors de la deuxième journée enfin piétine le Burkina Faso 2-0 à la dernière journée. Un résultat positif et surprenant pour cette nation des Palancas Negras. Cependant, signalons que l’Angola sort leader du groupe D et se qualifie avec 7 points, suivis du Burkina Faso 4 points, la Mauritanie 3 points ensuite l’Algérie dernier avec 2 points.
Infrastructures routières : Réélu pour un deuxième mandat, Auguy Kalonji déterminé à rendre praticable toutes les routes de terrain jaune
Lundi 16 janvier, l’élu de la circonscription de la Tshangu, Kalonji Kalonji a été reçu en audience par le ministre des Infrastructures et Travaux Public, Alexis Gisaro dans son cabinet de travail. Au cours de leurs échanges, le patron des travaux Public congolais a fait savoir son engagement à amorcer les travaux publics dans le district de Tshangu. Une façon d’améliorer « l’économie et le social de la Tshangu ». « Au cœur de nos discussions se trouvait la question cruciale de l’insertion de plusieurs routes de la Tshangu dans le programme d’entretien routier 2024 (PR24) », a fait savoir Kalonji Kalonji Auguy. Très impliqué et déterminé à résoudre les problèmes liés aux routes et aux érosions, les deux personnalités ont, dans une atmosphère de convivialité discuté sur les futurs projets d’infrastructures dans ce district. « Nous avons examiné en détail les routes telles que l’entrée Bibwa, Camp pm, la route Mokali, la route Monako à Maluku, l’avenue Mobutu à Kimbanseke et l’avenue Union européenne à Plazza », a indiqué cet élu. Et d’ajouter : « Nous avons également abordé les problèmes persistants liés à l’érosion du sol jaune et celle de Plazza qui continuent d’être une préoccupation majeure pour notre communauté ». Au sortir de l’audience, Kalonji Kalonji Auguy se montré confiant quant aux actions qui seront entreprises pour améliorer les infrastructures routières dans la Tshangu ainsi que la lutte contre l’érosion du sol jaune et celle de Plazza. Enfin, le porte-parole de la population de la Tshangu s’est adressé devant la presse, où il a exprimé sa satisfaction au regard de la réélection de Félix Tshisekedi, avant de remercier chaleureusement la population de la Tshangu « pour leur soutien continu et leur confiance indéfectible», a-t-il conclu.
CAN Côte d’Ivoire : Que retenir de l’expérience de l’effectif des léopards à la CAN ?
Cette 34e édition de la CAN Côte d’Ivoire qui se déroule du 13 janvier au 11 février nous révèle certaines précisions sur l’expérience de l’effectif des léopards de la RDC qui y prennent part. Ces léopards sont sélectionnés par le manager congolais Sébastien Desabre pour compétir à cette CAN dans le groupe F aux côtés des lions d’atlas du Maroc, les chipolopolos boys de la Zambie et les taifa stars de la Tanzanie. Voici donc les expériences ou nombre des fois que chaque léopard a disputé la CAN : 1. Pour la 5ème fois : Chancel Mbemba défenseur ; 2. Pour la 3ème fois : Cédric Bakambu attaquant ; 3. Pour la 2ème fois : Mechack Elia attaquant et Arthur Masuaku défenseur ; 4. Pour la 1ère fois : – Gardiens : Siadi Baggio, Lionel Mpasi et Dimitri Bertaud. – Défenseurs : Joris Kayembe, Gédéon Kalulu, Inonga Baka, Bryan Bayeye, Rocky Bushiri, Dylan batubinsika. – Milieu du terrain : Charles Pickel, Gaël Kakuta, Aaron Tshibola, Omenuke Mfulu, Samuel Moutoussamy. – Attaquants : Simon Banza, Théo Bongonda, Silas Katompa, Fiston Kalala, Yoane Wissa et Grady Diangana. Rappelons que les léopards de la RDC vont jouer leur 20e participation à la CAN et feront leur entame ce mercredi 17 janvier 2024 à 20h00 heure de Kinshasa face aux chipolopolos boys de la Zambie.
Matata Ponyo : « Quand j’étais premier ministre, le taux de change était maintenu à 920 fc/ le dollars américains, on me surnomme le docteur du dollars »
Au cours d’un meeting qui s’est tenu à Maniema précisément à Kindu, Matata Ponyo a critiqué le pouvoir en place pour son « incapacité notoire » à stabiliser le taux de change, évoquant ainsi sa gestion en tant que premier ministre qui, selon lui, « était meilleure et les congolais le savent ». « Partout, ces personnes promettent de faire baisser le taux de change, mais elles ne disposent pas des compétences pour y parvenir. Actuellement, 1 dollar vaut 2.800 CDF. Lors de mon mandat de Premier Ministre, le taux était de 920 CDF. Allez-vous voter pour quelqu’un qui nuit à l’économie du Congo en augmentant le taux de change ? », a-t-il lancé à la foule. Quand j’étais premier ministre, le taux de change était maintenu à 920 CDF (1 USD). On me surnomme le Docteur de Dollars », a souligné l’ancien premier ministre Augustin Matata Ponyo lors de son discours. Il faut noter que l’augmentation du taux de change dans l’économie nationale impacte le coût d’achat sur marché et crée l’inflation monétaire. Cette question demeure une nécessité qui ne manque pas l’occasion de dénoncer cette situation qui handicape le mode de vie de la population lors du lancement de la campagne électorale de Félix tshisekedi candidat président de la République ses partisans présents au stade lui avaient demandé de baisser le taux de dollars.
RDC : Alexis Gisaro et Patrick Muyaya démontrent les bases de réalisations de Félix Tshisekedi dans le domaine de l’infrastructure
Au cours d’un briefing jeudi 09 novembre 2023, Patrick Muyaya Katambwe, ministre de la Communication et des médias et Alexis Gisaro, inistre des ITPR, ont posé les jalons sur les prouesses de Félix Tshisekedi réalisées déjà en terme des voiries, routes et infrastructures mais aussi en terme de bâtiments et érosions. Pour mieux réaliser ce projet, les financements ont été de trois ordres à savoir : des projets de financement soit par soit les fonds publics, soit par les fonds national d’entretien routier, soit par le programme sino- congolais, ou encore par partenariat public privé. Et concernant le projet zéro trou l’idée était de remettre en état les voiries existantes mais qui étaient dans une dégradation très avancées. Allant de la même optique, pour bien mener ce projet gigantesque le gouvernement avait mis des moyens conséquents à la disposition de l’Office des Voiries et Drainages (OVD), afin de mieux identifier quarante deux artères de plus au moins 46 Kilomètres qui consistaient un vrai problème afin de rentre la circulation fluide. Notons que ce projet a été subdivisé en fonction de quarante deux artères, et en deux phases dont la première est totalement achevé. Là dans la première phase il s’agit des avenues telles que : l’entrée N’djili, Basoko, les avenues OUA 1 et OUA 2, de l’avenue Haute Tension mais aussi beaucoup tant d’autres où les travaux sont achevés. Ensuite, la deuxième phase est achevé à 80 ℅ . Elle comprend notamment les avenues telles que : Allée verte, Kangu, avenue Ring 1, 2, 3. A assuré Alexis Gisaro Ministre des IPTR . Concernant la capitale Kinshasa, Alexis Gisaro a rappelé un projet du désenclavement de Camp Luka qui est situé aux alentours des communes de Ngaliema, Kimtambo et Selemboa de ce coin le Ministre des ITPR, parle des efforts qui consistaient à réhabiliter les routes qui traversent ces communes qui était abandonné de son triste sort depuis des lustres, d’où l’objectif était de connecter les trois communes. Notons que, dans l’ensemble du territoire national, le Ministre des ITPR parle de 84℅ des routes réhabilités et construites, mais aussi certains infrastructures sportives rénovés qui ayant permis l’organisation du lX jeux de la francophonie à Kinshasa.
RDC : Le député provincial Erick Bukula recherché par la justice !
Le parquet près la Cour d’appel de Matete a émis un avis de recherche contre le député provincial Erick Bukula. Il est accusé d’avoir violé sa domestique. Cette dernière aurait déposé une plainte contre ce député provincial de Kinshasa. « Veuillez entreprendre d’intenses recherches pour retrouver le nommé Érick Bukula Nkolomony. L’intéressé est poursuivi du chef de viol peine et puni art 170 code pénal livre deux. En cas de sa découverte, l’appréhender et le conduire sous bonne escorte au parquet général près la Cour d’appel de Matete », peut-on lire dans le communiqué du parquet. L’assemblée provinciale, siégeant sur ce dossier en assemblée plénière, a décidé à l’unanimité de lever les immunités du député provincial Erick Bukula afin de permettre à la justice de faire son travail.
RDC: Un caucus des organisations de la société civile en matinée politique ce samedi à la place Saint Thèse de N’djili
L’hôtel de ville a été saisi à titre informatif tel que récomandé par la constitution.
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