Dans un contexte où la souveraineté du Congo est gravement menacée, l’opposition politique entretient un imbroglio dangereux en favorisant la balkanisation du pays. À travers des alliances controversées, notamment avec le Rwandais Kanambe, ces acteurs mettent en péril l’unité nationale et la dignité congolaise. Malgré les mises en garde, certains leaders tels que Fayulu continuent de reconnaître publiquement cet imposteur comme compatriote, accentuant la crise politique et sécuritaire. Face à cette situation alarmante, il est urgent que les autorités congolaises prennent des mesures décisives pour préserver l’intégrité territoriale et protéger le peuple. Vous vous souviendrez que j’avais pu demander au chef de l’État congolais d’arrêter ces trois hommes qui se sont ralliés au Rwandais Kanambe. Ne pas le faire pourrait nous amener à des situations très difficiles. Car il ne faudrait pas que Monsieur Félix Tshisekedi banalise ce danger qui rôde autour de notre souveraineté et de notre dignité (pardonnez mon langage). A mon humble avis, j’avais pensé qu’il était impérieux d’analyser tous les gestes et paroles de tous ces traîtres qu’on considérait comme étant l’opposition politique de notre pays (le Congo). Nous devrions tirer la leçon de la façon dont le Rwandais Kanambe s’était infiltré chez nous avec une finesse d’imposture : avec l’aide de l’extérieur (les étrangers), il s’est déguisé en faux nom de Joseph Kabila Kabange. Mais comme le mensonge n’a pas toujours eu une longue vie, parce que ça ne dure jamais sans être découvert, le peuple congolais n’a pas tardé. De par les témoignages de notre armée, ils ont vite découvert cette imposture. Et quelle désagréable surprise d’entendre Monsieur Fayulu qui, dans son intervention, considère Kanambe comme étant sujet congolais et Monsieur Fayulu va plus loin en nous donnant l’espoir d’exhorter Monsieur Nangaa ainsi que Kanambe en considérant ce dernier comme étant son compatriote. Il classe Kanambe parmi les compatriotes auxquels il donne comme exhortation de pouvoir s’en aller. Quel humour ! Les paroles de ce petit discours me semblent codées, il dit d’abord “l’heure est grave”, la Balkanisation n’est plus une menace. Monsieur Fayulu exhorte tous les deux compatriotes à pouvoir agir comme tous les autres compatriotes congolais pour stopper la Balkanisation. Serait-il indispensable que Monsieur Félix Tshisekedi accepte de recevoir ce dernier qui lui demande de discuter avec lui ? Ne serait-il pas dangereux de le faire, compte tenu de la menace proférée par ces gens qui se sont rangés derrière Kanambe ? Il ne s’est même pas écoulé 1 semaine que le Président de l’Assemblée provinciale du grand Katanga a pu faire son meeting à Lubumbashi faisant comprendre l’imposture de ce Rwandais Kanambe qui se faisait passer pour Kabila Joseph, mais qu’en réalité son véritable nom est Hippolyte Kanambe Kazembere Mutuale; véritable Rwandais dont l’identité n’est plus à pouvoir douter. Ce Rwandais est venu souiller le nom Kabila (le nom de notre aïeul) pour masquer sa véritable identité. Mon cousin qui est également le cousin de Laurent Désiré, m’a fait un triste récit selon lequel ce criminel Kanambe ne voulait entendre aucun membre de la famille de Laurent Désiré révéler aux gens qu’il n’appartenait pas à la famille de Laurent Désiré. Par exemple, il y a le cas de l’une des petites soeurs de Laurent Désiré, qui a le même père que Laurent Désiré mais de mère différente, celle-là avait été assassinée par un officier militaire. Et parmi les enfants de Laurent Désiré, une fille du nom d’Aimée avait été assassinée par les militaires. La GR connaît cette histoire. C’est ainsi que ce que moi je connais, c’est peu. Mis à part les noms que j’ai donnés, même la propre famille de Laurent Désiré a été assassinée dans ce sens. C’est vraiment révoltant aujourd’hui d’entendre Fayulu appeler Kanambe compatriote, ce Kanambe qui vient d’afficher ouvertement devant nous Congolais et devant toutes les nations du monde qu’il appartient au Rwanda. S’exhiber en étant entouré par l’armée rwandaise, il fait très bien comprendre à toute l’humanité qu’il est bien sécurisé par l’armée rwandaise. Et t’entendre toi, dire qu’il est ton compatriote, c’est ce que j’ai dit, dire quelque chose et son contraire. C’est de l’humour ou quoi ? Aujourd’hui à ce que je sache, aucun Congolais ne doute plus de l’identité de Kanambe. Dans l’ensemble, tous les Congolais sont convaincus que Kanambe est rwandais. Étant arrivé à Goma, il ne s’en cache plus. Mon intervention dans cette lettre ne me permettra pas à ce que je puisse être long, c’est juste rappeler que dans son adresse, Monsieur Fayulu a oublié qu’il y a un écart de compréhension entre lui et le peuple. Est-ce que c’est fait exprès ou bien c’est une erreur ? Je le répète que Kanambe, en s’affichant à Goma, protégé par l’armée rwandaise, c’est une expression claire : je suis rwandais et j’entends le demeurer jusqu’à la fin de ma vie. M’observer comme assassin des sujets congolais, je m’en fiche. D’où je trouve très drôle cette intervention qui me paraît inopportune, mais par contre comme l’adage dit : dis-moi qui tu fréquentes, je te dirai qui tu es. Chers compatriotes, cette Écriture de Deutéronome à travers laquelle Dieu, notre Créateur, nous exhorte à ne pas mettre à la tête de notre pays un étranger, cela n’est pas à négliger. Et comme nous sommes ce peuple de prédilection et que nous appartenons à ces terres de prédilection, sol dans lequel le Créateur a enfoui toutes les richesses qui se retrouvent sur cette planète, ne soyons pas distraits. Dieu les a marquées d’un sceau (un cachet), c’est l’étoile du type de Bethléem découverte par les moines dans leur prière faite suite à la demande du Roi des Belges, Léopold II. Comprenez que cette étoile, c’est le sceau ou la marque du choix de ce grand Dieu qui est descendu sur la planète et a dessiné la carte de ce pays de sa préférence, le Congo. Je termine en disant au chef de l’État que, la bonne manière de celui qui lui demande l’audience, serait d’abord de demander pardon pour cette faute grave
Category: politique
Elections des bourgmestres: Les femmes Élues Conseillères communales plaident pour le financement de la CENI
Représentant le Président de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI), Denis KADIMA KAZADI, Mme Joséphine NGALULA, membre de la plénière, a échangé, ce mardi 3 juin 2025, avec une délégation des Femmes Élues Conseillères Communales de la RDC (FECC) sur la question des élections des bourgmestres, de leurs adjoints et des maires, en vue de compléter le cycle électoral 2021-2027. Les échanges qui ont porté sur le financement de la CENI par le gouvernement se sont déroulés à la salle Abbé Apollinaire Malu-Malu, où Mme Joséphine NGALULA a prêté une oreille attentive à l’exposé de cette délégation conduite par Mme Antoinette LOKOMBA, présidente du conseil d’administration de la FECC. À l’issue de cette rencontre, elle a expliqué les motivations de la démarche qu’elles ont engagée : « Nous avons cherché à obtenir des clarifications sur la tenue des élections des bourgmestres et des maires, car nous manquions d’informations à ce sujet. La publication récente de la Feuille de route du processus électoral 2025-2029 a ravivé nos préoccupations, nous poussant à solliciter directement la CENI. Nous avons ainsi compris que cette institution ne gère pas les fonds des cautions électorales versées par les candidats, étant donné qu’elle dépend du financement gouvernemental », a-t-elle précisé. Antoinette LOKOMBA a également lancé un appel au gouvernement : « Nous exhortons les autorités à fournir les moyens financiers nécessaires à la Centrale électorale pour organiser ces élections, indispensables au bon fonctionnement des administrations locales. L’absence de ces scrutins engendre une confusion institutionnelle, où les exécutifs communaux, nommés par ordonnance présidentielle, ne reconnaissent pas notre autorité parce qu’ils se disent être nommés par ordonnance présidentielle. C’est pourquoi, nous en appelons au gouvernement de financer la CENI afin d’organiser ces élections pour mettre fin à ce bicephalisme qui s’observe à la base », a-t-elle insisté. Par ailleurs, les conseillères communales ont sollicité un renforcement de leurs capacités afin d’améliorer l’efficacité et la pertinence de leur tâche au sein des administrations locales.
RDC : Félix Tshisekedi se dit prêt à rencontrer Martin Fayulu pour sauver l’unité nationale
Quelques heures après le discours à la nation de l’opposant Martin Fayulu, le président Félix Tshisekedi a réagi via sa porte-parole Tyna Salama, exprimant son intérêt pour les propos de l’ancien allié de Lamuka. « Le président de la République salue le patriotisme et l’engagement de Martin Fayulu pour la cohésion nationale », a-t-elle écrit sur son compte X. Dans son allocution, Martin Fayulu avait exprimé le souhait d’un face-à-face direct avec Félix Tshisekedi afin de dialoguer pour l’intérêt supérieur de la nation. En réponse, le chef de l’État s’est dit disponible pour cette rencontre, soulignant la nécessité de préserver la République face aux menaces pesant sur ses institutions et son intégrité territoriale.
RDC : Jean-Jacques Mamba tance Martin Fayulu après son appel à la responsabilité politique
Dans un contexte politique tendu en République démocratique du Congo, Martin Fayulu a récemment lancé un appel solennel aux figures clés du pays, notamment Corneille Nangaa, Joseph Kabila et Félix Tshisekedi, les exhortant à assumer leurs responsabilités face à la crise nationale. Sa déclaration, pourtant, n’a pas laissé Jean-Jacques Mamba indifférent. L’ancien député et membre de l’AFC/M23 a vivement critiqué le discours de Fayulu, dénonçant un populisme marqué et une incohérence dans son approche. Mamba juge superflue la publicité faite autour de la volonté de Fayulu de rencontrer le président Félix Tshisekedi, estimant qu’une telle rencontre aurait dû se faire dans la discrétion. Il reproche notamment à Fayulu d’ajouter inutilement de la « théâtralité » à une démarche qui, selon lui, devrait rester pragmatique et constructive. Sur le sujet controversé de la présence de Joseph Kabila à Goma, Mamba défend fermement le droit de circulation de tous les Congolais, y compris d’un ancien chef d’État, sur l’ensemble du territoire national. Il condamne le discours de Fayulu qu’il considère comme discriminatoire, mettant en garde contre une stigmatisation injustifiée des populations de Goma, confrontées à l’insécurité mais toujours profondément patriotes. Jean-Jacques Mamba invite ainsi Martin Fayulu à privilégier l’apaisement et le dialogue, au lieu d’alimenter les tensions par des accusations répétées, plaidant pour une approche plus réaliste et un engagement politique responsable.
RDC : Martin Fayulu accuse Joseph Kabila et Corneille Nangaa dans la crise sécuritaire à l’Est
Martin Fayulu, figure majeure de l’opposition congolaise, a lancé un vibrant appel à la responsabilité ce lundi 2 juin, pointant du doigt Joseph Kabila et Corneille Nangaa face à la grave crise sécuritaire qui frappe l’Est de la République démocratique du Congo. Dans son adresse à la nation, Fayulu a insisté sur l’urgence d’un dialogue sincère comme unique voie pour restaurer la paix dans les zones en conflit, rejetant fermement la rébellion et toute forme de compromission. Concernant la présence de Joseph Kabila à Goma, le président de l’ECIDE n’a pas mâché ses mots : « Quittez Goma, cette ville martyre, aujourd’hui occupée avec la complicité des forces ennemies ». Il a affirmé qu’« aucune raison, même stratégique, ne saurait justifier une collaboration avec ceux qui déchirent notre pays ». Martin Fayulu a également dénoncé Corneille Nangaa, président de la Commission électorale nationale indépendante (CENI), l’accusant d’être complice des massacres qui touchent la population congolaise. « Aucune ambition ne vaut le prix de la souffrance de tout un peuple », a-t-il souligné avec force. S’adressant enfin au président Félix Tshisekedi, Fayulu a appelé à une rencontre franche et patriotique, sans compromissions, pour trouver une issue digne à cette crise existentielle : « Vous avez le devoir de ne pas laisser l’héritage du Congo être désintégré sous vos yeux ». Un message fort qui rappelle l’urgence d’une mobilisation nationale face aux défis sécuritaires persistants.
RDC: “L’immense richesse du Congo, pays de prédilection, fait perdre la tête à Kanambe, le Rwandais”, (Sa majesté Joseph Mukungubila)
L’ancien président de la République joseph Kabila (monsieur M23) se trouve depuis jeudi 29 mai dernier, dans l’Est du pays, occupé par le Mouvement rebelle du M23. Une situation que dénonce sa majesté Joseph Mukungubila. Ce dernier a dans sa récente lettre ouverte ouverte du 31 mai 2025, considéré que Joseph Kabila (le soldat du Goliath au corps chétif Paul Kagame) a perdu la tête à cause de l’immense richesse du Congo. Voici l’intégralité de sa lettre ouverte : Après plusieurs tentatives de vouloir venir récupérer le pouvoir à Kinshasa, cette fois-ci Kanambe finit par faire comprendre aux Congolais qu’il lui est toujours possible de prendre le pouvoir par la force. Comme si le sang des millions de Congolais n’était pas suffisant pour que ce génocidaire du peuple congolais veuille encore faire couler le sang de ce peuple martyr. Le voilà de nouveau à Goma avec l’intention de semer la terreur au milieu de ce peuple congolais, comme j’ai eu à le dire encore, peuple martyrisé à multiples reprises par le Rwanda. J’espère bien que la communauté internationale a eu cette fois-ci la compréhension de réaliser que ce petit pays, le Rwanda, a trop fait souffrir le peuple congolais. Et Dieu merci, Kanambe Hippolyte, le soldat de Kagame, ne s’en cache pas; par contre, il descend à Goma bien gardé par l’armée rwandaise. Vous vous rappellerez que lorsque Goma avait été attaquée et que, moi MUKUNGUBILA étant alerté par ma fille, la Princesse Esther, sur demande de l’autorité, j’avais pu réagir en m’agenouillant devant le Ciel et quelques secondes ou minutes après, on avait enregistré le revirement de situation; en sorte que, non seulement les nôtres fuyaient, mais en regardant derrière, ils avaient vu que le M23 fuyait également. C’est justement ce revirement de situation qui avait fait paniquer monsieur Paul Kagame, le Président rwandais, qui dans la panique, sans se gêner, va envoyer 10 000 militaires des forces spéciales rwandaises. Point n’est besoin de pouvoir m’attarder sur cela car le monde entier a vécu ça, et tous les décideurs de ce monde ont vu cela. Raison pour laquelle le Conseil de Sécurité avait pris des résolutions pour demander à Kagame d’évacuer tous ses militaires des terres congolaises. Bien sûr, Kagame se voyant pris la main dans le sac, parce que c’était trop flagrant, ne savait que penser ni que faire. De la même manière, monsieur Kanambe Hippolyte vient de se présenter à Goma, entouré de militaires rwandais sans gêne. Comme pendant toutes ces années, il était demeuré intouchable à cause du complot contre la terre de mes ancêtres, Kanambe ne se gêne plus pour montrer sa véritable face en tant qu’envahisseur. Moi MUKUNGUBILA Joseph, qui ait pu fustiger cet incirconcis rwandais, j’avais dit à mes compatriotes et notamment à nos militaires, que nous ne devrions pas laisser ces occupants piétiner notre souveraineté. Comme vous le savez, ces déclarations m’avaient valu de recevoir des attaques sanglantes de la part de monsieur Kanambe le Rwandais avec ses complices. Il est nécessaire que je rappelle ici que cette attaque contre ma résidence du Golf à Lubumbashi m’a coûté très cher, j’ai perdu plus de 300 de mes disciples alors qu’en ce moment j’étais en train de demander à mon avocat de signaler à la Monusco qui n’était pas loin de là. Malheureusement, ils avaient traîné pour nous en prétextant qu’ils étaient dans des réunions. Il est certes vrai que ce qui tracasse Kanambe, chers compatriotes et vous mes concitoyens du monde, ce sont les richesses de ce Congo qu’il s’est amassées immensément, en privant les autochtones de leurs richesses. Néanmoins, j’aimerais aussi aujourd’hui vous faire comprendre que ce pays, le Congo, n’est pas du tout un bien sans maître : Kanambe croyait que tout ce qu’il faisait était caché ou secret, mais non ! Si j’ai bonne mémoire, puis-je te poser la question, à toi Kanambe ? Pourquoi après avoir fait abattre mon frère Laurent Désiré, tu es allé, toi Kanambe, quelque part après bien sûr avoir répondu à l’invitation aux Etats-Unis d’Amérique ? Ces traîtres congolais t’ont conduit à l’intérieur du pays vers le Bandundu si je ne me trompe ? Qu’est-ce qu’ils te diront ? Ils vont te dire que si Laurent Désiré a été facilement assassiné, c’est parce qu’il est allé se réfugier derrière le totem du lion. “C’est pour cette raison que nous te conseillons de te couvrir de la peau du léopard. Parce que si toi aussi tu oses te couvrir de cette peau-là du lion, tu risques beaucoup, tu ne vas pas durer; parce que le lion lui-même est debout, il est là”. En donnant l’exemple de ce que vous avez mijoté en coulisse, il est clairement indiqué que vous en savez quelque chose. Quelque chose ? Comme quoi ? C’est-à-dire que si ces traîtres congolais t’ont dit de fuir ce totem-là du lion, alors ils savent très bien que ce pays n’est pas un bien sans maître. Le Congo a comme propriétaire : le Lion. Pourquoi est-ce que je vous révèle toutes ces choses, chers compatriotes ? Je les révèle juste pour vous dire, à vous mes compatriotes congolais, que ce pays, le Congo, est votre héritage. Donc vous n’avez pas à vous laisser effrayer par ces nomades tutsis. Parce qu’en s’affichant ouvertement, sans gêne, j’ai compris que ce Rwandais Kanambe l’a fait exprès pour vous terroriser, vous Congolais, comme il a toujours eu les moyens de vous maltraiter pendant tout le temps de sa gouvernance. J’ai été très choqué à mon retour dans le pays, d’apprendre qu’il était même en train de taper ses collaborateurs. Je ne sais pas s’il les gifle ou leur donne des coups de main. Cette façon d’agir, le monde me suit et qu’il soit témoin. Ce n’est pas une tyrannie qu’il est en train de reprocher au chef de l’État congolais. Permettez que je puisse rappeler à ce Rwandais, qu’il nous a maltraités pendant sa gouvernance. Depuis la Révolution française, il y a eu un mode de gestion
RDC : Le ministère de l’Environnement dément fermement les accusations de détournement au Fonds Forestier National
Ces derniers jours, des rumeurs infondées ont circulé sur les réseaux sociaux, accusant la ministre d’État, ministre de l’Environnement et du Développement durable, de détournement de fonds liés au Fonds Forestier National (FFN). Dans un communiqué officiel, le ministère rejette catégoriquement ces allégations qualifiées de « mensongères » et « sans fondement », dénonçant une campagne de désinformation orchestrée par des réseaux opposés aux réformes. Le FFN, établissement public autonome placé sous la tutelle du ministère, fait actuellement l’objet d’une suspension de ses principaux responsables – le président du Conseil d’administration Rigobert Kuta Mwana-Kuta et le directeur général Honoré Mulumba Kalala – pour mauvaise gestion, sur instruction directe de la Première ministre. Le ministère souligne qu’il est malveillant et infondé d’impliquer la ministre dans cette affaire qui relève strictement des organes de gestion du FFN. Le communiqué insiste sur la probité reconnue de la ministre, engagée dans la transparence et la bonne gouvernance, et affirme que cette tentative de déstabilisation ne fera que renforcer sa détermination à poursuivre ses réformes. Enfin, le ministère appelle à la vigilance des citoyens face à la désinformation et exhorte les institutions à faire respecter la vérité pour garantir la sérénité dans la gestion publique.
RDC : Joseph Kabila entame ses consultations à Goma pour aborder les défis sécuritaires dans l’Est
Joseph Kabila, ancien président de la République démocratique du Congo, a entamé ce jeudi une série de consultations dans la ville de Goma, au Nord-Kivu. Installé dans l’une de ses résidences à Kinyogote, près du lac Kivu, il est présent dans la région depuis quatre jours. Lors de cette première rencontre, il a reçu des représentants des chefs religieux dans un échange qualifié de cordial et informel, avec une dizaine de personnes présentes autour d’une séance de questions-réponses. Ces consultations, annoncées comme des « consultations citoyennes » par l’équipe de Kabila, ont pour objectif principal de recueillir les préoccupations et propositions des forces vives locales face à la crise sécuritaire persistante dans l’est du pays. Elles s’inscrivent dans une démarche visant à mieux comprendre la situation sur le terrain. Vendredi, d’autres personnalités issues des sphères politique, administrative, sécuritaire, ainsi que des représentants de la société civile, sont attendues pour poursuivre ces échanges. Une source proche du dossier a expliqué que Joseph Kabila souhaite s’imprégner de la réalité locale en écoutant un large éventail d’acteurs, incluant les groupes politiques, administratifs, coutumiers, religieux, ainsi que les organisations féminines et communautaires. Au terme de ces consultations, l’ancien chef d’État prévoit d’organiser une conférence de presse à Goma. Les autorités locales et la population seront informées en temps utile afin de préparer leur participation à cet événement majeur. Cette démarche de Kabila, dans une région en proie à des violences récurrentes, pourrait marquer un tournant dans le dialogue autour des solutions à apporter à la crise sécuritaire au Nord-Kivu.
RDC : Le gouvernement réaffirme sa fermeté face aux critiques de Joseph Kabila
Face aux récentes critiques de l’ancien président Joseph Kabila, le gouvernement congolais a répondu avec fermeté. Dans un entretien exclusif, le porte-parole Patrick Muyaya a réaffirmé l’engagement total de l’exécutif à préserver l’intégrité territoriale et à relever les défis sécuritaires, notamment dans l’Est du pays. « Aucun centimètre de notre territoire ne sera concédé », a martelé Muyaya, soulignant la détermination du gouvernement à sortir vainqueur des tensions actuelles. Cette réaction fait suite à des déclarations de Kabila depuis l’étranger, où il dénonce la gouvernance en place, dans un contexte marqué par une enquête judiciaire évoquant son soutien présumé au mouvement rebelle M23/AFC. Pour le gouvernement, ces critiques relèvent d’un « retour politique sans vision », alors que les Congolais attendent des solutions concrètes. « Le président honoraire est un homme du passé, incapable de proposer un avenir », a ajouté Muyaya, insistant sur les efforts du pouvoir pour reconstruire un pays confronté à de multiples défis. Alors que Joseph Kabila tente de réintégrer le débat public, le gouvernement appelle à tourner la page et à concentrer les énergies sur la paix et l’unité nationale.
RDC : Jean Marc Kabund, ancien allié de Tshisekedi, tire des leçons du discours de Joseph Kabila
L’ancien colistier de Félix Tshisekedi, devenu aujourd’hui un opposant farouche, Jean Marc Kabund, a réagi au discours à la nation prononcé par l’ancien président Joseph Kabila. Un discours qui continue de faire écho dans le paysage politique congolais, suscitant réflexions et analyses. Sur son compte X (ancien Twitter), le président du parti Alliance pour le Changement a souligné que ce discours constitue « une leçon essentielle » : « Nul n’est fort éternellement. » Selon lui, il rappelle que dans une véritable démocratie, « le combat pour la démocratie ne doit jamais être criminalisé, car il vise à honorer les morts, à défendre les vivants et à préserver l’avenir des générations ». Kabund insiste sur le fait que le discours de Kabila transmet un message clair : « Aucun homme, aussi puissant soit-il, n’est plus grand que la nation qui l’a vu naître. » Il invite les détenteurs du pouvoir, présents comme futurs, à la responsabilité et à l’humilité, en soulignant que « la roue de l’histoire tourne inlassablement » et que chacun devra un jour répondre de ses actes devant l’histoire. Il recommande également le respect strict des lois, des règles démocratiques et du règlement de la République. « Préparez-vous à quitter le pouvoir avec responsabilité, car le moment viendra où il faudra répondre de ses actes », conclut-il, appelant à une gouvernance responsable et à une transition pacifique.