Dans un monde où il y a aujourd’hui une évolution rapide presque dans tous les domaines, il est important de reconnaître une participation massive de la jeunesses d’un pays pour son développement, à l’occurrence de la République démocratique du Congo. Béni de sa population, en grande majorité les jeunes, le pays de Lumumba démontre par rapport à des défis sociaux, économiques et politiques aux quels il fait face, un besoin urgent d’une jeunesse préparée à prendre les choses en main, d’où l’on parle de l’auto prise en charge de celle-ci. L’auto prise en charge est un concept que s’est approprié le jeune congolais Christian Makabu, par son engagement et aspiration à vouloir préparer des jeunes hommes et femmes, à des futures leaders du pays, la meilleure façon d’assurer la relève. Car disait-il dans l’une de ses publications sur le réseau “X”, ex Twitter, “qu’on le veuille ou non, dans 5, 10 ans, une nouvelle génération devra prendre le relais et poursuivre l’effort. Il est donc crucial, pour nous, jeunes, de poser des bases solides, en nous préparant de manière adéquate et en cultivant des valeurs qui guideront notre avenir”. Jeune ambitieux, fervent et très déterminé, Christian Makabu est actuellement un acteur incontournable de la promotion de l’auto prise en charge de la jeunesse congolaise. Il est président d’une ASBL dénommée “Jeunesse Constructive du Congo”, Jcc en sigle. Une organisation visant à ramener la jeunesse au centre des décisions de la RDC. Elle a organisé aux mois de septembre et décembre derniers deux éditions de la conférence appelée “Empowered” qui avaient pour objectif de soutenir et accompagner les jeunes dans cette auto prise en charge effective. De plus, Christian Makabu poursuit également sa mission de mettre la jeunesse au premier plan, à travers sa fondation qui porte son nom, créé en 2011. Cette structure à caractère social et développemental, axe ses interventions sur 3 piliers à savoir : l’Agriculture, l’éducation et l’entrepreneuriat, pour la promotion des idées, la découverte et l’encadrement des talents des jeunes ainsi que pour une meilleure autonomisation d’hommes et des femmes à la recherche d’un positionnement et d’un équilibre social. Né le 13 décembre d’une certaine année, Christian Makabu assume présentement la fonction de secrétaire exécutif national en charge de la formation professionnelle et de l’entrepreneuriat. Il est aussi le Directeur général de “Make Holding”, une entreprise locale de sécurité.
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Discours de haine dans l’espace médiatique : Christian Bosembe appelle les leaders politiques à prôner l’unité nationale
Le président du Conseil Supérieur de l’Audiovisuel et de la Communication (CSAC), Christian Bosembe, a lancé un vibrant appel à la lutte contre les discours de haine et toute forme de discrimination dans les médias. Dans une publication mise en ligne sur les réseaux sociaux tard dans la soirée du samedi 4 janvier 2025, Bosembe a exhorté les professionnels des médias et les leaders politiques à adopter un langage responsable, axé sur l’unité et la cohésion nationale. “J’appelle tous les professionnels des médias à faire preuve de responsabilité en veillant à ce que leurs plateformes soient utilisées pour renforcer la cohésion nationale et la fraternité entre Congolais. J’invite également les leaders politiques à prêcher l’unité et à s’abstenir de tout langage qui diviserait notre peuple”, a-t-il déclaré. En sa qualité de président du CSAC, institution chargée de la régulation des médias et de la préservation de l’ordre républicain dans l’espace médiatique, Christian Bosembe a rappelé que tout propos haineux, toute incitation à la division ou tout discours séparatiste diffusé sur les médias sera sévèrement sanctionné. Il a également promis que le CSAC renforcera sa vigilance pour garantir que l’espace médiatique demeure un lieu de dialogue constructif, de paix et de solidarité nationale. Cette déclaration intervient dans un contexte tendu, où des propos polémiques ont récemment été échangés dans la classe politique congolaise. La semaine dernière, le camp présidentiel a accusé l’opposant Martin Fayulu d’avoir tenu un discours jugé tribaliste et haineux dans son message de vœux à la nation, prononcé le 25 décembre dernier. Face à cette situation, l’appel de Christian Bosembe revêt une importance cruciale pour prévenir toute escalade de tensions et préserver l’unité nationale.
Joseph Mukungubila Mutombo : Une ascension royale sur le trône de l’Éternel
Le mardi 02 janvier, une atmosphère à la fois solennelle et festive a enveloppé la République Démocratique du Congo (RDC) alors que Sa Grande Majesté Joseph Mukungubila Mutombo, figure emblématique de la spiritualité et de la politique, a pris place sur le Trône de l’Éternel. Cet acte, qui résonne comme un écho aux temps bibliques, a captivé l’attention des Congolais et du monde entier. Une date chargée de symbolisme Le 30 décembre 2024 n’est pas une date ordinaire. Elle marque le onzième anniversaire d’un événement tragique : le massacre des disciples de Mukungubila en 2013, orchestré par l’ancien président Joseph Kabila. Ce jour-là, des partisans de Mukungubila avaient été brutalement éliminés pour avoir osé contester l’emprise rwandaise sur les institutions congolaises. Ce souvenir douloureux a fait de cette date un symbole de résistance et de résilience pour ses partisans. Après ces événements, Mukungubila fut contraint à l’exil, endurant une décennie de souffrances en Afrique du Sud. Pendant ce temps, ses disciples furent emprisonnés ou contraints à la clandestinité. Dans cette période difficile, il a souvent été rappelé que « rien n’est nouveau sous le soleil », une réflexion sur la continuité des luttes humaines. La transformation de Mukungubila d’un prophète en roi s’est concrétisée lors d’un sommet en juin 2023, où il fut officiellement reconnu comme Roi et Grand Chef des Bena Mbao, descendant d’une lignée royale. Ce changement de statut est significatif dans le contexte des luttes pour la justice et la reconnaissance au sein de son pays. Un retour triomphal Le retour de Mukungubila en RDC le 7 juillet 2024 a été perçu comme un tournant historique. Le président Félix Tshisekedi, en prenant le pouvoir en janvier 2019, avait consacré le pays à Dieu, ouvrant ainsi la voie à un retour tant attendu pour Mukungubila et ses partisans. Ce moment a été marqué par une attente palpable d’un « Nouvel Ordre Mondial », synonyme d’espoir pour beaucoup. Dans la nuit du 30 décembre 2024, Mukungubila s’est assis sur le Trône de l’Éternel pour adresser un message à son peuple. Cet acte symbolique a été interprété comme une volonté de restaurer l’espoir et la foi parmi les Congolais, tout en rappelant les souffrances passées. Selon les traditions congolaises, le Trône peut revêtir diverses formes, qu’il s’agisse d’un tronc d’arbre ou d’un simple fauteuil. Cependant, il est universellement reconnu que seul celui qui détient le droit ou le pouvoir peut s’y asseoir. Mukungubila, par son ascension, revendique ce droit avec une légitimité historique et spirituelle.
Affaire Kalambay et Dakumuda : La famille de Christian Kimbukusu appelle Mike Kalambay à adopter une attitude chrétienne empreinte de tempérance
Dans un communiqué publié dans la soirée du jeudi 2 janvier 2024, la famille biologique de Christian Kimbukusu, ancien artiste congolais connu sous le nom de Dakumuda New Man, a exigé le respect de la mémoire de leur fils, décédé le 22 décembre dernier. Ce communiqué fait suite aux récentes déclarations du chanteur gospel Mike Kalambay. Lors d’une prédication dans son église, ce dernier a nié les propos tenus de son vivant par Dakumuda. En effet, après sa conversion au christianisme, Dakumuda avait affirmé dans une interview diffusée sur YouTube que Mike Kalambay était en connivence avec Koffi Olomidé dans des pratiques occultes. La famille de Dakumuda a invité le pasteur Mike Kalambay à adopter une attitude chrétienne, caractérisée par la tempérance, l’amour et la solidarité, particulièrement envers une famille endeuillée par la perte d’un être cher. Elle a également exhorté toutes les personnes ayant connu de près ou de loin Christian Kimbukusu à faire preuve de dignité, de respect et à s’unir dans la prière pour le repos éternel de son âme. Le ton mesuré du communiqué souligne l’importance de préserver l’unité et le respect dans une période de deuil, indépendamment des différends ou controverses passées.
Célébration de l’anniversaire de la commune de Matete : Fin des suspicions, Fabregas sera à l’honneur pour agrémenter la soirée
Le 02 janvier, les habitants de la commune de Matete, à Kinshasa, célèbrent chaque année l’anniversaire de leur municipalité. Cette fois-ci, l’artiste musicien Fabregas, surnommé le “Métis Noir”, a été choisi pour animer la soirée lors d’un concert populaire au couloir Kwenge. Cette désignation n’a pas été sans controverse. Une vive polémique a éclaté après que le bourgmestre de Matete avait initialement choisi l’artiste Héritier Watanabe pour l’événement. Plusieurs habitants se sont opposés à ce choix, affirmant qu’Héritier Watanabe n’était pas natif de Matete, contrairement à Fabregas, qu’ils considèrent comme un enfant de la commune. Fabregas n’a pas manqué de réagir à cette décision en lançant une invitation empreinte de fierté et de taquinerie : « Tous les enfants de Matete, venez célébrer notre anniversaire. Matete est comme Jérusalem, la ville de Jésus-Christ, que certains artistes veulent envahir à leur guise ». De son côté, Héritier Watanabe a tenu à clarifier qu’il n’a signé aucun contrat pour se produire lors de cette célébration. L’événement promet d’être mémorable, marqué par la prestation de Fabregas, qui incarne l’identité culturelle et musicale de cette commune emblématique de Kinshasa.
11 ans de l’assassinat de Mamadou Ndala : “Sa mémoire retentit encore et ses paroles sifflent dans les oreilles de nombreux Congolais”, déclare Julien Paluku
Ce jeudi 02 janvier 2025, en République Démocratique du Congo, la mémoire collective honore le souvenir de Mamadou Ndala Moustapha. Le colonel, décédé dans une embuscade tendue par les rebelles ougandais d’ADF-Nalu à 10 kilomètres de Beni, au Nord-Kivu, le 2 janvier 2014, est mort calciné dans sa jeep avec deux de ses gardes du corps. En ce jour de commémoration, une cérémonie de recueillement a été organisée à Kinshasa par sa famille biologique. Le ministre du Commerce extérieur, Julien Paluku, a représenté le gouvernement congolais à cette occasion. « Ce compagnon avec qui, aux côtés d’autres vaillants militaires, il avait été mis fin au M23 le 5 novembre 2013 par nos Forces armées. Onze ans après son assassinat à Beni le 2 janvier 2014, alors qu’il y était déployé pour lutter contre les ADF, sa mémoire retentit encore et ses paroles sifflent dans les oreilles de nombreux congolais », a déclaré Julien Paluku après s’être incliné sur la tombe de Mamadou Ndala. Il a également rendu hommage à tous ses compagnons tombés sur la ligne de front pour défendre la République contre les menaces permanentes de sa balkanisation, et à ceux qui continuent la lutte héroïque pour la défense de la patrie. Formé par des instructeurs belges, angolais, américains et chinois, Mamadou Ndala fut commandant du 42e bataillon des commandos des Unités de réaction rapide des FARDC. Il s’est illustré par des victoires éclatantes contre les combattants du M23. Marié et père de trois enfants, Mamadou Ndala a été inhumé au camp Kokolo de Kinshasa. En reconnaissance de son sacrifice, il a été promu général de brigade à titre posthume.
Société : Pourquoi célébrer les fêtes de Noël et du Nouvel An plutôt que la vie quotidienne ?
Il est fréquent que certaines personnes accordent une importance particulière aux fêtes de fin d’année, comme Noël et le Nouvel An, tout en négligeant les petites joies que la vie quotidienne peut offrir. Ce phénomène soulève de nombreuses interrogations : pourquoi ces moments spécifiques suscitent-ils un tel engouement, alors que les aspects quotidiens de notre existence semblent parfois relégués au second plan ? Est-ce que tous les Congolais réfléchissent ainsi ? Ces questions ont poussé Congopresse.net à explorer plus en profondeur les valeurs sociétales et la manière dont l’homme congolais choisit de célébrer son existence. Le penseur Israël Mateta ne mâche pas ses mots lorsqu’il affirme que, pour l’homme noir, les jours de fêtes sont souvent perçus comme plus importants que les autres jours de l’année. « Généralement, une année compte 365 jours, dont deux sont réservés pour les fêtes de Noël et du Nouvel An. Pourtant, vous remarquerez que les gens font d’énormes sacrifices, parfois démesurés, pour bien célébrer ces deux fêtes. Le divertissement, l’ambiance et la distraction sont des aspects que l’homme noir, en particulier les Congolais, privilégie au détriment d’autres priorités. Il n’est pas rare de voir des personnes économiser ou même emprunter de l’argent pour organiser des festivités qui dépassent leurs moyens », a-t-il expliqué. Israël Mateta poursuit en évoquant l’influence socioculturelle et environnementale : « C’est un problème de perception et de pression sociale. Si je ne célèbre pas ces fêtes selon les standards attendus, on risque de me juger ou de me considérer comme pauvre. Pour éviter cela, beaucoup se forcent à “bien fêter”, parfois au-delà de leurs capacités financières. Certains agissent comme si le temps s’arrêtait pendant ces jours-là. Il est important de célébrer une nouvelle année, mais la manière dont cela est fait en Afrique noire est très différente de celle des Occidentaux ou des Américains. Ici, on glorifie ces jours de façon excessive, alors qu’il serait bénéfique de savourer chaque jour de l’année avec gratitude, tant que la vie nous est accordée ». De son côté, Christian Malele exprime une vision divergente. Il insiste sur le caractère universel des fêtes de Noël et du Nouvel An, soulignant qu’elles ne concernent pas uniquement la communauté congolaise. « Les Congolais ne sont pas les seuls à accorder une grande importance à ces fêtes. Ces célébrations sont universelles. Elles permettent à des populations du monde entier de se rassembler, que ce soit en famille ou avec des proches ». S’agissant du contexte congolais, il ajoute : « Dire que les Congolais privilégient ces fêtes au détriment des autres jours est une généralisation incorrecte. Les Congolais se battent quotidiennement pour subvenir à leurs besoins essentiels, tels que la nourriture ou le loyer. Ces fêtes marquent simplement des moments exceptionnels où l’on peut se détendre et profiter de la vie en famille ». Christian Malele conclut en rappelant l’importance de ces moments pour renforcer les liens familiaux et amicaux : « Le but principal de ces fêtes, surtout celle du Nouvel An, est de partager des moments précieux avec nos proches ». Face à ces points de vue variés, il est important d’encourager les Africains, et plus particulièrement les Congolais, à accorder une réelle valeur à chaque jour de leur existence. Les fêtes de fin d’année sont certes des moments spéciaux, mais elles ne doivent pas occulter l’importance des efforts et des victoires quotidiennes. Ainsi, célébrons la vie dans son ensemble, non seulement pendant les fêtes, mais aussi dans les défis et les petites réussites du quotidien.
Ituri : La LUCHA dénonce l’arrestation d’un de ses membres et exige sa libération inconditionnelle
Dans une correspondance adressée ce mardi 31 décembre au procureur de la République près du tribunal de grande instance de l’Ituri, le mouvement citoyen Lutte pour le Changement (LUCHA) a dénoncé ce qu’il qualifie d’arrestation arbitraire de l’un de ses militants, Paluku Kamathe Joachim. Dans ce document consulté par Congopresse.net, la LUCHA s’indigne : « Monsieur le Procureur, le mouvement citoyen Lutte pour le Changement, section de Bunia, vient par la présente exprimer son profond mécontentement face à l’arrestation arbitraire de l’un de ses militants, Monsieur Paluku Kamathe, survenue le vendredi 27 décembre au bureau du quartier Hoho. » La correspondance précise que le militant a été interpellé simplement pour avoir assisté à un accident de circulation impliquant deux motocyclistes et avoir participé au secours des victimes. Face à cette situation, la LUCHA appelle à une intervention rapide et décisive du procureur afin que justice soit faite. « Monsieur le Procureur, dans l’espoir que cette dénonciation retiendra votre attention, nous vous prions d’user de vos prérogatives pour garantir la liberté de notre camarade », conclut la lettre. Le mouvement citoyen exhorte les autorités judiciaires à respecter les droits des militants engagés dans la défense de la justice et de l’intérêt public.
Festivités du nouvel an : L’engagement des parents pour offrir joie et nouveaux ensembles à leurs enfants
Au terme de chaque année, les parents redoublent d’efforts pour offrir à leurs enfants des moments de joie et de bonheur. Ces préparatifs, bien qu’ils puissent sembler facultatifs, incluent notamment l’achat de nouveaux vêtements et de chaussures. Ce geste, souvent symbolique et chargé d’affection, témoigne de l’amour et de l’attention que les parents portent à leurs enfants. « En tant que parent, c’est un plaisir d’offrir à mes enfants des cadeaux comme des vêtements, des chaussures et des jouets, en récompense de leurs excellents résultats au premier trimestre », déclare M. Jonathan Mvuama. De son côté, Mme Sylviane Mbelu confie : « Offrir à mes enfants ce que je n’ai pas eu durant mon enfance est essentiel pour moi ». À l’instar de ces parents, Congopresse.net encourage tous les parents à continuer de nourrir cette volonté d’apporter joie et bonheur à leurs enfants en toutes circonstances. Nous vous souhaitons de joyeuses fêtes de fin d’année !
Culture : Kinshasa abritera la finale de la 15ᵉ édition de Miss Francophone Afrique le 29 décembre prochain à l’hôtel Memling
En République Démocratique du Congo (RDC), la ville de Kinshasa accueillera, le dimanche 29 décembre 2024, la finale de l’élection Miss Francophone Afrique à l’hôtel Memling. Cet événement réunira les candidates de plusieurs pays francophones d’Afrique et sera une occasion unique de célébrer la beauté féminine africaine et de promouvoir les valeurs culturelles et linguistiques francophones. Quant à la récompense destinée à la lauréate, plusieurs cadeaux surprises seront offerts à celle qui sera couronnée Miss Francophone Afrique 2024. Le projet Miss Francophone Afrique a été initié en 2002 par Dechris Kabeya Tupemuni, créateur de Dechris Business Agency, la première et la plus grande agence de formation et d’encadrement de mannequins en RDC. Cette structure est également l’organisatrice de ce prestigieux concours de beauté, dont la première édition a eu lieu en 2005 à Kinshasa. Christelle Vuanga, lauréate de cette première édition, est aujourd’hui députée nationale. L’objectif principal de ce concours est de rassembler les jeunes femmes des pays francophones d’Afrique, tout en mettant en lumière leur diversité et leur talent.