Dans un communiqué publié le vendredi 08 juillet, le président de la République démocratique du Congo, Félix Tshisekedi, a exprimé sa profonde tristesse face à la disparition de l’ancien président Angolais, José Édouard Dos Santos. Le Chef de l’État a, au nom du peuple congolais et au sien propre, présenté ses condoléances les plus attristées à la famille de l’illustre disparu ainsi qu’à la République sœur d’Angola. Afin d’honorer la mémoire de José Édouard Dos Santos, “un jour de deuil national sera décrété”, et ce, “à la date des obsèques de ce dernier”, indique le dit communiqué.
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RDC: la rentrée scolaire 2022–2023 fixée au 5 septembre
Le ministère de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique (EPST) a fixé, au 05 septembre, la rentrée scolaire 2022–2023 sur toute l’étendue de la République démocratique du Congo. C’est ce qu’indique le calendrier scolaire 2023-2023 publiée ce vendredi 08 juillet. Dans le document adressé aux gouverneurs de province, le ministre Tony Mwaba invite les responsables provinciaux “à veiller au strict respect du présent calendrier scolaire”. Il précise, cependant, qu’il ne peut être modifié que par le patron de l’EPST. Signalons que l’année scolaire édition 2021-2022 se clôture le mardi 19 juillet prochain.
RDC: le Gouvernement et l’entreprise turque Summa signent deux contrats de construction des infrastructures gigantesques à Kinshasa
Le Premier ministre, Jean-Michel Sama Lukonde, a présidé la cérémonie de signature, de deux contrats dans le domaine des infrastructures entre le Gouvernement congolais et l’entreprise turque Summa, le jeudi 07 juillet à la primature. Il s’agit, d’après la primature, d’un aréna multifonctionnel de 20 mille places assises au centre-ville de Kinshasa précisément à côté du stade de Martyrs et le second au niveau de la Fikin qui comprendra un centre d’exposition de près de 21 mille mètres carrés. Le président de Summa entreprise qui réalisera ces travaux de construction, Selim Bora, a indiqué que cette firme a déjà réalisé un aréna à Dakar d’une capacité de 15 mille places et l’autre à Kigali avec 10 mille places. D’après lui, celui de la capitale Congolaise sera le plus grand et le plus beau parmi les autres. “Nous avons signé aujourd’hui deux contrats. Il s’agit de la construction de deux infrastructures importantes. L’une, c’est un aréna multifonctionnel de 20 mille places au centre-ville à côté du stade de Martyrs. L’autre c’est au niveau de la Fikin, un centre d’exposition de près 21 mille mètres carrés. Nous avons déjà réalisé un aréna à Dakar d’une capacité de 15 mille places et l’autre à Kigali avec 10 mille places. Celui de Kinshasa sera le plus grand et le plus beau parmi les autres”, a-t-il déclaré. Le Premier ministre a, quant-à lui, fait part de “notre attente la plus ardente, c’est que tout le monde joue sa partition et que le délai soit respecté”. Signalons que cette cérémonie s’est déroulée en présence d’une dizaine de personnes, notamment, le ministre d’État, ministre des infrastructures et travaux publics, Alexis Gisaro, du ministre des finances, Nicolas Kazadi, de quelques membres du cabinet du premier ministre, des délégués de la présidence de la République, des directeurs généraux des entreprises Summa, Kambove Mining, Gécamines.
RDC : la CENI lance l’opération des inventaires du matériel électoral et de leur fonctionnalité à l’entrepôt central
Le questeur adjoint de la CENI, Sylvie Mbirembano, a procédé ce mercredi 06 juillet au lancement de l’opération des inventaires du matériel électoral et de leur fonctionnalité, à l’entrepôt central de cette institution, situé près de l’aéroport international de N’Djili. C’était en présence de la secrétaire exécutif national adjoint, Mme Marie-José Kapinga et de quelques directeurs. Au nom du président Denis Kadima empêché, le questeur adjoint de la CENI, a précisé, dans son allocution que cette opération était un travail ardu qui appelle au professionnalisme du personnel commis à cette tâche. « L’observation de l’éthique et de la déontologie professionnelle sont de rigueur pour aboutir au résultat escompté », a déclaré Sylvie Birembano. Et d’indiquer : « Nous avons été mandaté par le président Denis Kadima, pour venir faire la supervision de l’opération des inventaires, de contrôle des matériels, contrôle qualitatif et quantitatif, cela en prévision de nos acquisitions de la quincaillerie électorale. Nous sommes là pour nous rendre compte des machines qui fonctionnent et celles qui ne fonctionnent pas ». Et de poursuivre : « Nous sommes très fièrs du travail qui a été fait et nous avons compris que, les personnes qui sont affectées à ce travail, connaissent les composantes des kits. Parce qu’on ne peut pas contrôler quelque chose qu’on ne maîtrise pas. Ils ont maitrisé la fonctionnalité de ces kits et ils peuvent nous dire quel matériel est fonctionnel et celui qui ne l’est pas ». Le questeur adjoint de la CENI a conclu son allocution en précisant que ce travail d’inventaire se réalise déjà en province. « Kinshasa, c’est le Hub des Hubs où nous avons un grand travail, une grande quantité de matériels. Voilà pourquoi toutes ces équipes sont aujourd’hui ici pour nous accompagner dans ce contrôle de matériels et de leur fonctionnalité », a-t-elle précisé. Notez que cette activité a connu une séance de simulation marquée par deux étapes : la vérification physique des composantes des matériels et la fonctionnalité proprement dite desdits matériels.
Tripartite Angola-RDC -Rwanda: une commission mise en place pour restaurer la confiance entre les deux pays
Le sommet de Luanda s’est achevé ce mercredi 06 juillet en début d’après midi par un point de presse des trois Chefs d’État: João Lorenzo de l’Angola, Paul Kagame de Rwanda et Félix Tshisekedi de la République démocratique du Congo. Ledit sommet visait à restaurer la confiance entre les deux pays voisins. Selon la présidence, la tripartite a décidé d’un désescalade entre la RDC et le Rwanda. L’objectif atteint, d’après la même source, se fera graduellement via une feuille de route dite de Luanda axée sur la relance de la commission mixte RDC-Rwanda qui ne s’était plus réunie depuis plusieurs années. La commission mise en place pour normaliser les relations diplomatiques entre Kinshasa et Kigali va tenir sa première rencontre le 12 juillet prochain à Luanda en Angola. La feuille de route stipule une volonté de normalisation des relations diplomatiques entre Kinshasa et Kigali. Elle prévoit aussi la cessation immédiate des hostilités et le retrait immédiat et sans condition du M23 de ses positions en RDC. On note également dans cette feuille de route, le retour dans leur pays d’origine des réfugiés et aussi le texte précise que toute exploitation des ressources naturelles dans la région doit se faire dans le strict respect de la souveraineté des Etats.
Est de la RDC: « Le silence de Joseph Kabila est bénéfique pour le pays » (José Makila)
Depuis la résurgence des combats entre le M23 (Mouvement du 23 mars), soutenu par le Rwanda, Joseph Kabila, ancien président de la République démocratique du Congo (RDC) ne s’est prononcé dans aucun média. Un silence qui est indexé, bon an mal an ( Ndlr: à tort ou à raison) par plus d’un au sein de l’opinion. Par ricochet, l’ancien ministre des Transports (sous Kabila), trouve bénéfique pour le pays le silence du tout premier sénateur à vie. José Makila Sumanda affirme que l’heure n’est pas propice aux déclarations intempestives. « Le silence de Joseph Kabila est bénéfique pour le pays. Le moment n’est pas propice pour des déclarations intempestives », a-t-il déclaré à la presse. Le président de l’ADT (Alliance des démocrates travaillistes) estime qu’il est important que son successeur, le président Félix-Antoine Tshisekedi consulte Kabila, pour son expertise d’ancien militaire. « Joseph Kabila a plusieurs casquettes dont l’ancien président de la République et militaire de formation. Raison pour laquelle Félix Tshisekedi doit recourir à Joseph Kabila (Ndlr: son expertise) pour avoir des conseils. Nous avons besoin d’une solution et la solution ne peut venir que des hommes comme Kabila », soutient Makila Sumanda. Pour être complet sur ce dossier de la crise dans la partie orientale du Congo, il se tient ce mercredi 6 juillet à Luanda, capitale de l’Angola, une rencontre entre les présidents du Rwanda et de la RDC, sous la médiation du chef de l’Etat angolais Joâo Lourenço. Une rencontre dite de vérité côté congolais, où les autorités accusent le Rwanda d’agression de leur pays, par le soutien qu’apporte Kigali aux terroristes du M23.
Est de la RDC: Félix Tshisekedi n’exclut pas la possibilité d’une guerre avec le Rwanda
Le président Tshisekedi n’a pas exclu la possibilité d’une guerre avec le Rwanda au cours d’une une interview accordée au quotidien économique et financier britannique, Financial Time, sur les tensions qui opposent les deux pays. Dans cette interview rendue publique ce mercredi 06 juillet, Félix Tshisekedi s’est montré très révolté face à l’insécurité qui continue à semer la désolation dans la partie. Le Chef de l’État congolais a averti que son pays est prêt à déclarer la guerre si le Rwanda ne cesse de soutenir les groupes rebelles qui combattent dans l’Est de la plus grande nation d’Afrique subsaharienne. «Cette possibilité ne peut être exclue. Si la provocation du Rwanda se poursuit, nous ne resterons pas assis sans rien faire. Nous ne sommes pas faibles », a déclaré le premier citoyen congolais. «Le Rwanda se bat en RDC sous le couvert du M23, qui a été vaincu en 2013 », a indiqué Tshisekedi, ajoutant comme preuve que des soldats Rwandais ont été capturés en RDC. Selon lui, la dernière apparition du M23 est due aux forces de défense Rwandaises qui se cachent derrière le groupe armée. Cependant, le président Tshisekedi a indiqué que « Si le Rwanda reconnaît qu’il a soutenu le M23 et pourquoi il soutient ce mouvement, ce serait sincère. Nous pourrons ensuite discuter et tout mettre sur la table ». Si le Rwanda refusait d’admettre qu’il soutenait le M23, « cela signifierait qu’il y a un programme caché», a-t-il conclu.
RDC-Religion : la Mission Prophétique pour la Restauration de l’Église de Jésus-Christ et la Délivrance des Nations a vu le jour
La salle des réunions de l’immeuble “La Perle Africaine”, située dans la commune de Lemba foire à Kinshasa, était, le 18 juin dernier, plein comme l’oeuf. Des fidèles sont venus nombreux assister au démarrage officiel des activités de la Mission Prophétique pour la Restauration de l’Église de Jésus-Christ et la Délivrance des Nations. S’exprimant à la presse à la fin de la cérémonie, Fanfan Makenda a précisé que la raison de leur présence à Kinshasa consiste à installer l’église en République démocratique du Congo conformément aux prescrits du livre d’apocalypse dans la bible qui parlent de 7 églises qui portait chacune le nom de la ville ou du pays où elle se trouvait. Le nom qu’on attribuait à chaque église était l’oeuvre de la puissance du Saint Esprit. Fanfan Makenda, visionneur de la Mission, a souligné qu’ils ont reçu mandat d’expliquer la grandeur de Jésus-Christ à travers ceux qui ont vécu sans la présence du Saint Esprit, à l’instar de Job. Il a fait savoir que la souffrance que Job a enduré dans la bible ne concerne pas les enfants de Dieu. Car aujourd’hui satan ne peut pas oser se rendre auprès de Jésus-Christ sur son sujet comme il a réussi à converser avec Dieu pour faire souffrir Job tel qu’évoqué dans les saintes écritures, a déclaré l’homme de Dieu Fanfan Makenda. Ce dernier a reconnu que le Seigneur Jésus-Christ a déjà anéanti le pouvoir de satan qui ne peut en aucun cas s’approcher de Christ pour une quelconque accusation. Mais Il a par ailleurs affirmé être déjà dans la victoire à la lumière de la parole de Dieu dans le livre de Jean 1 : 17 qui stipule que “La loi était donnée à Moïse mais la grâce et la vérité sont venues par Jésus-Christ”. Il a aussi attesté que dans les actes des apôtres, Dieu était là mais Jésus-Christ n’était pas présent, pour preuve, certaines personnes ont reçu par ignorance deux fois le baptême de Jean-Baptiste. Selon lui, la RDC vit encore selon ce baptême de Jean-Baptiste. D’après Fanfan Makenda, l’oeuvre qu’il dirige aura pour mission d’élever l’Agneau Jésus-Christ dans toutes ses dimensions ; entant que roi, pasteur, papa, maman qui prend soin de ses enfants. L’église en RDC, a-t-il soutenu, “commence à partir de l’installation de la communauté ci-haut indiquée dont il est le visionneur. D’elle sortiront des autorités et cadres qui viendront restaurer la justice en RDC”. Et ce, avant de livrer le sens de la Mission qui s’explique par le fait qu’ils sont partis de différents pays du monde autour de la Diaspora pour la cause de l’évangile en RDC. À en croire Fanfan Makenda, la délivrance trouve sa signification par le fait que ce regroupement “Diaspora” a pour but “d’ôter le mal”. Il a prévenu que tout congolais qui meurt sans écouter ce message peut être sauvé mais celui qui écoute ce message et qui ne le met pas en pratique, sera jugé par ce qu’il a écouté. Il ainsi invité les congolais à se joindre à eux, avant de dévoiler qu’il avait prophétisé, il y a environ 3 ans, sur la réunification de l’orchestre musical Wenge Musica BCBG 4×. “Aujourd’hui, un groupe déchiré à plusieurs morceaux autrefois a pu se produire ensemble. Il y a des messages destinés à ces musiciens qu’ils doivent mettre en pratique”, a-t-il conclu.
RDC : le parti politique Avenir du Congo convaincu de la détermination de la CENI à organiser les élections dans les délais
Le 2e vice-président de la Commission électorale nationale indépendante (CENI), Didi Manara Linga, s’est entretenu le lundi 4 juillet, au nom du président Denis Kadima empêché, avec une délégation du parti politique Avenir du Congo (ACO) conduite par son secrétaire général Roger Mwamba. Au sortir de cette rencontre à laquelle prenait également part le rapporteur adjoint de la centrale électorale, Paul Muhindo Mulemberi Vahumawa, le Dr Roger Mwamba a noté que “les doutes sont levées au regard de la détermination du bureau de la CENI d’aller aux élections dans les délais constitutionnels”. “Au nom du parti ACO que j’ai l’honneur de conduire au cours de cette rencontre, je dois dire que nous sommes agréablement surpris de cette disposition de la CENI se s’ouvrir, de communiquer et d’expliquer ce qui se passe réellement pour que l’opinion comprenne ce qu’il en est exactement. C’est vraiment une machine complexe pour l’organisation des élections. Et dans cette complexité il y a des opérations simples qui ont déjà débuté comme la réactualisation de la cartographie, la première grande phase, qui va vers sa fin dans une dizaine de jours. Ceci nous prépare à aller aux élections dans des conditions idéales”, a confié le secrétaire général du parti cher à l’ambassadeur Dany Banza Maloba, son président national. Avant de renchérir :”La ferme détermination de la CENI de respecter les délais constitutionnels quant à l’organisation de ces élections de 2023 nous donne la preuve que le glissement ne pourrait y avoir lieu. Au sein de notre parti, nous devrons préparer nos militants à être prêts. Pour notre part, en tant qu’acteurs politiques nous devrons dire à l’ensemble des Congolais que les élections les concernent au plus haut point et que les résultats peuvent impacter positivement ou négativement sur leur vie. Nous pouvons réaffirmer que les opérations électorales ont bien débuté et nous tendons vers l’organisation des scrutins prévus pour que que tous les Congolais puissent s’y reconnaître”.
62 ans de l’indépendance de la RDC : les natifs du Mai-ndombe réunis pour le développement de leur province
Les ressortissants de la province du Mai-ndombe se sont rencontrés le mercredi 29 juin, à Béatitudes hôtel, dans la commune de Lemba, ville province de Kinshasa. Et ce, pour une conférence-débat initiée par le média en ligne Mai-ndombenews.net dans le cadre de Mai-ndombe News Forum. Durant deux heures, les ressortissants de Mai-ndombe vivant dans la capitale congolaise ont réfléchi autour du thème: “62 ans après l’indépendance, qu’est-ce qui a été fait, qu’est-ce-qui n’a pas été fait et qu’est-ce qui doit être fait dans la province du Mai-Ndombe?”. Quatre intervenants, tous natifs de ladite province, ont développé chacun, des différents sous-thèmes sur l’état des lieux de leur province à savoir : “Aperçu global de ce qui est fait, qui n’est pas encore fait, et ce qui devra être fait dans le Mai-ndombe”; “Mai-ndombe post indépendance : son apport aux institutions de la République a-t-il profité à la province ?”; “La politique culturelle avant et après l’indépendance dans la province du Mai-ndombe ” et “le tourisme ,un des leviers pour le développement de la province du Mai-ndombe” M. Prosper Mola, juriste et enseignant à l’université cardinal MALULA, vice-président de l’organisation des droits de l’homme Voile levé et conseiller juridique de l’INOKAL-ONG, a entamé son intervention en s’appuyant sur une réflexion dans les volets politique, économique et culturel de la province. De son côté, Merlin Nlanda, coordonnateur adjoint du collectif des jeunes pour le développement du Mai-ndombe(COJEDEMA)et expert en développement, ingénieur en technique d’exploration et d’exploitation des champs pétroliers, a parlé du non développement de la province après l’indépendance. Par ailleurs, Monsieur Ferry-Bernaz Bonkali Mpia Nkumu, expert aux études sécuritaires et en système LMD, assistant des universités, a axé sa réflexion sur le domaine culturel en démontrant comment les Mai-ndombiens doivent valoriser leurs langues et tout ce qui les différencient des autres provinces. Enfin, Alain Bokoso, chercheur et directeur a l’Office national du tourisme, a, quant à lui, évoqué l’aspect touristique en appelant les natifs mais aussi et surtout les dirigeants de Mai-ndombe à s’intéresser de ce secteur pour le développement de la contrée. Il en est sorti de chacun que la province du Mai-ndombe n’a pas bénéficié du développement de la RDC par ” Manque de solidarité, manque d’initiative et manque de volonté politique”. Les intervenants ont indiqué que beaucoup reste à faire dans la province du Mai-ndombe, notamment dans les infrastructures scolaires, les routes asphaltées, des marchés modernes, les hôpitaux modernes… À cet effet, les natifs du Mai-ndombe ont été appelés à l’unité et au travail d’ensemble, à la création des regroupements entre eux pour défendre les intérêts communs et développer la province du Mai-ndombe. Ils ont été tous convaincus que la province du Mai-ndombe est à reconstruire.