La députée nationale, Solange Masumbuko, s’est exprimée sur la mise en place d’une commission spéciale chargée d’auditionner ses collègues Delly Sesanga et Jean-Baptiste Kasekwa, sur l’affaire 21 000 $.
Pour cette élue, c’est un signe que l’état de droit est en marche et qu’il n’est pas question de parler de la dictature.
« Mais non ! Ce n’est pas de la dictature. Il n’y a pas dictature à l’Assemblée nationale. Cette commission mise en place va permettre à nos collègues de s’expliquer par rapport aux allégations qu’ils ont soutenus et donc c’est tout ce qui s’appelle l’état de droit », s’est-elle exprimée en réaction aux propos du député Ados Ndombasi qui, lui, parlait de la dictature.
Signalons que cette commission spéciale mise en place mardi 11 octobre dispose de 5 jours pour rendre son rapport à la plénière de l’Assemblée nationale.