RDC: L’Hôtel de ville de Kinshasa limite le nombre des corps qui sortiront du vendredi au dimanche dans chaque morgue

L’Hôtel de ville de Kinshasa a limité à 5 le nombre des corps qui sortiront du vendredi au dimanche,  dans chaque morgue, pour lutter contre les attroupements et la possibilité de propagation de la pandémie de COVID-19. C’est ce qu’annonce la chaîne publique, la RTNC, dans son édition vespérale du journal télévisé de ce vendredi 23 juillet. Cette mesure entre en application la semaine prochaine. La police recommande aux familles éprouvées de privilégier d’inhumer leurs proches entre lundi et jeudi et éviter ainsi l’afflux du weekend end qui favorise les embouteillages, mais aussi la propagation de la pandémie du Coronavirus. La police de la ville de Kinshasa demande aux responsables de différentes morgues de faire respecter l’arrêté du gouverneur de la ville, qui insiste sur le respect des gestes barrières. La police rappelle que le nombre des personnes devant participer à une levée du corps ne devra pas dépasser cinquante membres. Le port du masque est obligatoire, rappelle-t-elle.

RDC: Faut-il enquêter sur les biens privés de Joseph Kabila ?

A cette question, un ancien candidat à la présidentielle de 2018 répond par l’affirmative. ”Nous savons que la Constitution dit que chaque gouvernant doit déclarer ses avoirs. Et donc nous voulons voir quels sont les avoirs que Joseph Kabila avait déclarés avant de commencer son mandat et quels sont les avoirs qu’il a déclarés à la fin de son mandat”, explique, sur TOP CONGO FM, Alain-Daniel Shekomba, candidat malheureux à la présidentielle de décembre 2018. “Nous sommes en train aujourd’hui de questionner les biens de Joseph Kabila en fonction du pacte social qu’on appelle la Constitution et en fonction des clés de répartition ou des coefficients de répartition qui se retrouvent dans ce qu’on appelle la loi des finances publiques”. Aucune haine Celui qui préconise une enquête sur les biens de l’ancien président de la République et d’éventuelles poursuites en cas de découverte de malversations estime que ”ce n’est pas la haine contre l’ancien président Joseph Kabila. L’objectif ici est de pouvoir rationaliser la gestion de la chose publique”. Il reste convaincu que “tout le monde qui peut occuper des fonctions publiques puisse savoir faire la différence entre une caisse de l’État qui appartient à tout le monde et sa propre poche privée, mais aussi pour laver le président Kabila de tout soupçon et savoir s’il a honnêtement acquis les biens dont il est question ici”. D’ailleurs, “si j’étais à sa place, j’allais sauter sur l’occasion pour démontrer que j’ai été un bon gestionnaire et que j’ai respecté les lois de mon pays pour pouvoir assurer la paix et la justice sociale”. Alain-Daniel Shekomba fait notamment allusion à la ferme privée de Joseph Kabila qui est à Kingakati (banlieue Est de Kinshasa), “qui est le symbole de cette opulence”. Il faut des enquêtes préalables “Dans un premier temps, il faudrait faire d’abord les enquêtes. Lorsqu’on a réuni tous les éléments, le procureur général près la Cour constitutionnelle pourra s’adresser au Congrès. Je suis certain que si  tous les éléments de preuve sont réunis, le clCongrès pourra valablement autoriser les poursuites“, explique, à son tour, Me Georges Kapiamba, président de l’Association Congolaise pour l’Accès à la Justice (ACAJ), sollicité pour participer à cette démarche. C’est de cette façon que “ses immunités (garanties dans la loi portant statut d’ancien Chef d’État) peuvent être levées par le Congrès”. Pour y arriver, “il faut que le procureur mène une enquête préliminaire, réunisse et présente le réquisitoire qui doit contenir au moins quelque chose qui doit convaincre les parlementaires réunis en congrès”. La ferme de Kingakati, est une propriété privée de l’ancien président Joseph Kabila, située à 50Km à l’Est de Kinshasa vers le plateau de Bateke. Environ 4 mille ouvriers  travaillent dans ce domaine de 19.000 ha, dont la moitié est une réserve animalière et la plus grande tyrolienne d’Afrique récemment inauguré.

Désignation des Membres de la Ceni: Mboso Écrit aux Présidents des Partis Politiques

  Le Président de l’Assemblée Nationale , Christophe  Mboso a Adressé une Correspondance aux Présidents des Partis Politiques afin qu’ils Envoient les Noms des Potentiels Candidats qui Seront Désignés pour Animer la Ceni. Pour l’Honorable Président ,Ces Formations Politiques Ont jusqu’au 28 Juillet 2021 pour Déposer leurs Listes. Pour rappel, les composantes ont dix jours soit du 14 au 27 juillet pour désigner leurs délégués. PV de désignation et dossiers complets des candidatures doivent être déposés dès le 28 juillet pour être traités par une commission paritaire majorité-opposition. Ladite commission travaillera du 30 juillet au 3 aout et déposera son rapport au bureau de l’Assemblée nationale qui la soumettra à la plénière pour examen et adoption le 6 aout. C’est le 17 aout que sera transmise la résolution d’entérinement de 15 membres à Félix Tshisekedi pour investiture.    

RDC: Maître Édouard Mukendi,Un Candidat Potentiel pour Gouverner le Kasaï Oriental

  Il Faut un Homme d’État et un Manager à la Tête du Kasaï Oriental. Le Profil qui Correspond à cette lourde Tâche est Celui de Maître Édouard Mukendi Biayi qui Rêve de Développer sa Province. Mais qui est Maître Édouard Mukendi Biayi. Maitre Edouard Mukendi est avocat au Barreau du Kasaï Oriental et Membre du Conseil de l’Ordre au même Barreau. Il est Actuellement Conseiller Juridique du Président de l’Assemblée Provinciale du Kasaï Oriental; Il est Secrétaire Fédéral en Charge de la Justice et Droits Humains à l’UDPS / TSHISEKEDI à Mbijimayi. Il fut Formateur des Témoins Electoraux de l’UDPS et Chargé de la Surveillance et Supervision Electoral aux Echéances Electorales de 2018 à Mbiji Mayi. L’Homme était aux mêmes scrutins Mandataire du parti à la CENI dans la ville de Mbujimayi. Enfin l’Homme a Géré les Contentieux Electoraux pour le Compte de l’UDPS / TSHISEKEDI dans la Province du Kasaï Oriental. Surnommé par ses proches CTBEE ( commandant ,technicien ,bureautique ,expert , expermenté ) Me Édouard MUKENDI est surtout reconnu pour sa Bonne Moralité et son Dévouement pour la cause du Parti. Voilà L’Homme qu’il faut pour la Matérialisation de la Vision Salvatrice de FATSHI au Kasaï Orientale.  

Foot: Ben Malango quitte Le Raja après un parcours super

  L’attaquant de léopard de la Republique démocratique du congo agé de 27 ans, Ben Malango quite la formation marocaine de Raja de Casablanca pour s’engager avec le club de l’Emirats Al Sharjah SC pour un montant de 3.5 millions de dollars americain. L’attaquant congolais est attendu à Dubaï ce weekend avec l’image du champion er buteur pour l’officialisation de son contrat. Avant son départ, ce vendredi 23 juillet, le congolais va disputé son dernier match avec les verts et blancs de Casablanca un match des adieux avec ses coéquipiers en général, en particulier aussi l’internatianal congolais Fabrice Lwamba avant de rejoindre le club champion des Emirats Arabes Unis en 2019. Pour rappel, l’international congolais a finit meilleur buteur en coupe de confédération 2021 avec le Raja, dans son sang de buteur avec 6 Réalisations et aussi champion de ladite confédération. Le même nombre des buts et la même competition avait fait son parcours en 2019 avec le TP mazembe, synonyme de champions.  

EPST : Tony Mwaba invite les ministres provinciaux de lutter contre les antivaleurs

  Pour redresser le niveau et la qualité de l’enseignement en République Démocratique du Congo, le ministre de l’Enseignement primaire secondaire et technique le professeur Tony Mwaba a organisé un atelier sur l’état de lieux en provinces du sous secteur, ce vendredi 23 juillet 2021, à Sultani hôtel dans la capitale kinoise. Cet atelier se veut un cadre d’échange d’idée et de stratégies en vue de trouver les pistes des solutions adaptées pour redresser le niveau et la qualité de l’enseignement. Dans son allocution d’entrée le ministre Tony Mwaba a invité les participants à lutter contre toutes formes d’antivaleurs dans les provinces respectives et à mettre fin à toutes formes de conflit. En outre le ministre de tutelle, a fustigé l’interface des gouverneurs dans la mise en place des cadres de l’EPST, tout en soulignant que le monopole de l’éducation appartient à l’État. Notons que, les ministres provinciaux, les représentants de la société civile, les membres du syndicats, les partenaires éducatifs, les inspecteurs généraux adjoints, les directeurs de service centraux, l’inspecteur général ainsi que le directeur du service de contrôle et de paie des enseignants ont tous pris part à cet atelier.

ESU : Muhindo Nzangi lance les travaux préparatoires des états généraux

  Présent à l’ouverture de l’atelier préparatoire des états généraux de l’ESU, 22 juillet dernier à l’ISC, le Ministre Muhindo Nzangi, engagé pour l’aboutissement des réformes à l’ESU, invite les participants à privilégier les réflexions sur l’effectivité du système LMD en République Démocratique du Congo. L’objectif de ces travaux, indique le ministre, est d’aller de l’avant pour que le Système LMD soit effectif sur l’ensemble du territoire national. « La vision est de faire aboutir les réformes. Dans le programme du Gouvernement, j’ai été chargé de tout faire pour faire aboutir les réformes prévues dans la Loi-cadre de 2014. Parmi ces réformes, la plus grande est celle du système LMD. Ces travaux vont se concentrer à pouvoir préparer tous les documents nécessaires qui feront l’objet des discussions dans les états généraux mais avec un seul objectif : aller de l’avant pour que la réforme LMD soit effective dès la prochaine année académique », a déclaré le Ministre Muhindo Nzangi. D’après lui, « ils était inconcevable qu’il y ait coexistence de deux systèmes de formation (classique et LMD) dans les universités et instituts supérieurs. « Aujourd’hui, je suis appelé à signer les diplômes de licence de 3 ans et les diplômes de licence de 5 ans dans un même pays. C’est anormal ! Nous devons lever des options et arriver à définir des trajectoires pour nous aider à surmonter les obstacles qui nous empêchent de pouvoir réaliser des réformes », a-t-il fait savoir. Le Ministre se dit optimiste et indique que ces travaux préparatoires pourront accélérer le processus de la mise en œuvre de ces réformes.  

RDC: Félix Tshisekedi a reçu la nouvelle Direction de la Banque centrale

Le Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, a reçu jeudi, au Palais de la nation, la nouvelle Direction de la Banque Centrale du Congo (BCC), conduite par la Gouverneure Malangu Kabedi Mbuyi, accompagnée des deux vice- Gouverneurs, Dieudonné Fikiri et William Pambu. Malangu Kabedi Mbuyi a déclaré, au sortir de l’audience, qu’ils sont venus présenter leurs civilités au Président de la République et, surtout, exprimer leur gratitude suite à leur élévation à la tête de la Banque Centrale,  ajoutant  que parmi les défis à relever, elle compte contribuer efficacement à la mise en œuvre de la politique économique du gouvernement. Le Ministre des finances, Nicolas Kazadi, et le Directeur de Cabinet du Chef de l’État, Guylain Nyembo, ont assisté à cette première rencontre de l’équipe de la BCC avec le Président de la République,  depuis sa désignation le 5 Juillet dernier, informe-t-on.

Affaire Congolité : ” Nos amis d’Ensemble ont fait en sorte d’impliquer leur chef dans cette histoire”, regrette Kabuya

Le débat a pris une autre allure dans l’affaire qui oppose actuellement plusieurs camps politiques en RDC. Il s’agit de la loi Tshiani porté par Nsingi Pululu qui table sur le verouillage de l’accès à la présidence de la république. Cette fois-ci le sécrétaire général du parti présidentiel a réagi depuis le début de cette affaire qui ne concerne pas l’Udps d’après certains cadres. “Ce sont plutôt les gens d’Ensemble qui ne sont pas sérieux”, réplique, sur TOP CONGO FM, Augustin Kabuya aux membres du parti de Moïse Katumbi qui accusent l’UDPS, parti présidentiel, de ne pas être sincère au sein de l’Union sacrée, en soutenant par exemple la proposition de loi Tshiani qui risque d’écarter Moïse Katumbi de la course à la présidentielle. “Leur chef Katumbi était contraint en exil par Kabila. Arrivé au pouvoir, Tshisekedi le retourne. C’est eux qui ne sont pas sincères. Ils ont mobilisé beaucoup de jeunes gens dans les médias au moment où ils font partie du gouvernement”, rappelle le secrétaire général de l’UDPS. “Tous les jours, ils ne font que critiquer le Chef de l’État. C’est de cette manière que Katumbi et ses hommes veulent remercier le Chef de l’État. Tout ce qu’il raconte contre le Chef de l’État, Katumbi l’entend. S’il n’était pas d’accord, il aurait rappelé tous ses hommes à l’ordre“, constate-t-il. “Au contraire, ce sont des menaces. Pensez-vous que nous avons peur de ces menaces ?”, s’interroge Augustin Kabuya, faisant allusion aux menaces d’Ensemble pour la République de quitter l’Union sacrée. L’UDPS n’a rien avoir avec la loi Tshiani “Nos amis d’Ensemble ont fait par tous les moyens pour impliquer leur chef dans cette histoire. Noël Tshiani est un président d’un parti politique et était candidat président de la République. À la surprise générale, on l’intègre à l’UDPS, parce qu’il est Kasaïen“, déplore Augustin Kabuya.“À quel moment, Noël Tshiani est devenu membre de l’UDPS ? UDPS a ses députés et un groupe parlementaire. S’il y avait ces intentions, un de nos députés pouvait faire cette proposition de loi“, qui vise à vérouiller l’accès à la présidence de la République à certaines fonctions de souveraineté pour que seuls les Congolais de père et de mère (que Moïse Katumbi n’est pas) y accèdent. Contrairement à ce que souhaite les membres d’Ensemble pour la République, “le Chef de l’État ne peut pas interférer parce qu’il y a séparation des pouvoirs. L’Assemblée nationale est un pouvoir à part entière”.

RDC: 9 officiers militaires arrêtés pour le détournement en Ituri

Neuf officiers des Forces armées de la RDC (FARDC) sont aux arrêts et placés, ce jeudi 22 juillet, sous mandat d’arrêt provisoire à la prison centrale de Bunia. Ces commandants des unités des FARDC sont accusés de « détournement des fonds alloués aux opérations militaires », en Ituri dans le cadre de l’état de siège. Parmi les prévenus figurent six colonels des FARDC, dont le commandant adjoint chargé de l’administration de la 32eme région militaire, le chargé du social et service patriotique, les deux responsables du service des renseignements de la région militaire et du secteur opérationnel de l’Ituri et le directeur provincial de la logistique militaire. Dans le même groupe, se trouvent un assistant du vice-gouverneur, nommé dans le cadre de l’état de siège, un colonel de la Police nationale congolaise (PNC) ainsi qu’un major et un capitaine des FARDC. Selon l’auditeur militaire supérieur près la cour militaire de l’Ituri, ces officiers sont poursuivis pour détournement de fonds, dont le chiffre exact n’a été révélé à la presse. Des sources militaires précisent cependant que cet argent était destiné aux opérations militaires dans cette province depuis le début de l’état de siège le 6 mai dernier. Leur arrestation est le résultat des enquêtes effectuées depuis le début de cette semaine par l’Inspection générale de l’armée conduite par le général d’armée, Gabriel Kumba Amisi, dit : « Tango Four », en mission de contrôle depuis lundi 17 juillet dans cette province. Le magistrat militaire le colonel Joseph Makelele indique par ailleurs que tous les prévenus jouissent encore de la présomption d’innocence ; car, selon lui, les enquêtes sur ce dossier se poursuivent. L’objectif poursuivi, a-t-il enchainé, est de mettre fin au réseau mafieux au sein des FARDC en Ituri. Ce qui justifie la mission de l’Inspection générale de l’armée dans cette.