Face à la montée des critiques liées au conflit dans l’Est de la République démocratique du Congo, le Bayern Munich a annoncé ce vendredi 08 août, une redéfinition de son partenariat avec le Rwanda. Le club met fin à la promotion touristique “Visit Rwanda” et oriente désormais sa collaboration exclusivement vers le développement du football en Afrique, notamment à travers une académie de jeunes talents à Kigali. Dans un communiqué intitulé « Nouvelle phase », le club bavarois précise que cette transformation vise à « renforcer son engagement sportif en Afrique » en se concentrant sur la formation de jeunes joueurs via son centre de développement rwandais. « Nous maintenons notre stratégie d’investissement dans les talents africains », a déclaré Herbert Hainer, président du Bayern Munich. Le partenariat initial, signé fin août 2023 pour cinq ans avec le Rwanda Development Board (RDB), avait pour objectif de promouvoir le tourisme au Rwanda, avec une visibilité du logo “Visit Rwanda” sur les panneaux LED de l’Allianz Arena. Mais le climat géopolitique tendu, marqué par une aggravation du conflit dans l’est de la RDC, a profondément fragilisé cette campagne. Un partenariat fragilisé par la guerre dans l’Est congolais Depuis début 2025, les forces du M23, soutenues par Kigali selon Kinshasa et les Nations unies, ont conquis successivement Goma puis Bukavu, provoquant des milliers de morts et une crise humanitaire majeure. Ce regain de violences a suscité une vive indignation internationale, et en Allemagne, les supporters du Bayern ont exprimé leur désapprobation face à un accord jugé incompatible avec les valeurs éthiques du club. La direction du Bayern avait déjà manifesté, en début d’année, sa volonté de « réévaluer » cette collaboration, après une mission d’observation sur place. Le changement officialisé aujourd’hui reflète une tentative d’équilibrer responsabilité éthique et coopération internationale. Alors que d’autres clubs de renom comme le PSG, Arsenal ou l’Atlético Madrid restent engagés dans la campagne “Visit Rwanda”, le Bayern Munich devient le premier géant européen à réajuster sa position officiellement. Une décision qui pourrait faire boule de neige dans le monde du football professionnel, de plus en plus scruté sur ses choix de partenariats. S. Tenplar Ngwadi
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RDC : Sophie Kakudji Yumba, figure montante de l’Assemblée nationale, périt dans un incendie à Lubumbashi
La classe politique congolaise est en deuil après le décès tragique de la députée nationale Sophie Kakudji Yumba, élue de Kabalo dans la province du Tanganyika et Secrétaire Générale du parti Action Commune pour la République (ACR). Elle a perdu la vie ce vendredi matin dans un incendie survenu à son domicile à Lubumbashi, peu après son retour d’une mission parlementaire dans sa circonscription. Les circonstances du drame restent floues. Le feu s’est déclaré dans sa résidence, sans que l’on connaisse encore les causes exactes. Une enquête a été ouverte par les autorités locales pour faire la lumière sur ce sinistre aux conséquences tragiques. Militante engagée, reconnue pour sa proximité avec sa base et sa voix active à l’Assemblée nationale, Sophie Kakudji Yumba incarnait une nouvelle génération de femmes politiques déterminées à influer sur le cours des décisions nationales. Sa disparition brutale laisse un vide au sein de son parti et dans l’hémicycle. La rédaction de Congo Presse présente ses condoléances à sa famille, à ses proches et à ses collègues parlementaires. Emmanuel Kalasa, correspondant à Lubumbashi
Gouvernement Suminwa II : La Première ministre appelle ses ministres à l’action, “place au travail, l’heure n’est plus aux discours”
À la suite de la publication officielle de la composition de son second gouvernement, la Première ministre Judith Suminwa Tuluka a adressé un message ferme et mobilisateur à la Nation, saluant la confiance renouvelée du Président Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo tout en fixant un cap clair : efficacité, rigueur et unité. Reconduite à la tête de l’Exécutif, la cheffe du gouvernement a exprimé sa profonde gratitude envers le Chef de l’État, soulignant que cette reconduction est moins une consécration qu’un engagement renouvelé face aux défis économiques, sociaux et sécuritaires du pays. « C’est une responsabilité immense, un appel à faire mieux, à faire plus », a-t-elle laissé entendre. Judith Suminwa a profité de cette déclaration pour remercier les membres de son premier gouvernement, saluant leur contribution et adressant ses vœux de succès à ceux qui quittent l’équipe. Aux nouveaux ministres, elle a lancé un appel clair : « Le pays attend des résultats. Le temps des discours est révolu. Place au travail ». La rédaction
RDC : L’Union Congolaise salue la reconduction du VPM Daniel Mukoko Samba et réaffirme son soutien au Président Tshisekedi
Dans une déclaration politique rendue publique ce vendredi 08 août, l’Union Congolaise (UCO) a exprimé sa reconnaissance au Chef de l’État, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, pour sa vision politique jugée « sage et éclairée », tout en saluant avec enthousiasme la reconduction du Professeur Daniel Mukoko Samba au poste de Vice-Premier Ministre, Ministre de l’Économie nationale. Fidèle à ses idéaux de patriotisme et de devoir citoyen, l’UCO rend un hommage appuyé au Président Tshisekedi, dont elle salue les « choix et options politiques à impact visible et salutaire pour la Nation Congolaise ». L’organisation politique se dit particulièrement impressionnée par le dernier acte de gouvernance : le remaniement stratégique du gouvernement SUMINWA, au sein duquel le VPM Mukoko Samba conserve son portefeuille. Le parti ne manque pas d’exprimer sa gratitude envers la Première Ministre, Judith Suminwa Tuluka, pour la confiance renouvelée à l’égard de Daniel Mukoko Samba. Pour l’UCO, cette reconduction témoigne non seulement du professionnalisme de son leader, mais aussi de son efficacité dans la mise en œuvre des réformes économiques. Dans une salve de félicitations chaleureuses, l’Union Congolaise forme des vœux de « succès, de progrès et de réussites » au ministre reconduit, insistant sur la nécessité de poursuivre les réformes « courageuses et ambitieuses » visant à renforcer la compétitivité économique de la RDC. Enfin, le parti réaffirme son soutien indéfectible au Président Tshisekedi et à l’ensemble des institutions de la République. Il se dit prêt à accompagner la vision présidentielle pour « l’avènement d’un Congo plus fort, plus juste et plus prospère ». S. Tenplar Ngwadi
RDC : Massacre de Rutshuru, Kinshasa dénonce un “crime contre l’humanité” et accuse le M23 de violer l’accord de Washington
Le gouvernement congolais a exprimé sa vive indignation et sa plus ferme condamnation face au massacre de plus de 300 civils congolais perpétré par le M23/AFC dans le territoire de Rutshuru, province du Nord-Kivu. Cette prise de parole officielle, relayée par le ministère de la Communication et Médias ce jeudi 7 août, fait suite aux déclarations du Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme, qui a confirmé l’ampleur du massacre et pointé du doigt la responsabilité des rebelles du M23, soutenus par l’armée rwandaise. Selon Kinshasa, du 2 juillet au 2 août, les rebelles du M23 se sont livrés à une série d’atrocités : 125 cas de viol, des exécutions sommaires, des pillages systématiques, l’incendie de maisons et des arrestations arbitraires dans des conditions inhumaines. Le gouvernement dénonce également le déplacement forcé de populations non identifiées dans les territoires sous contrôle des forces négatives. Le gouvernement congolais dénonce le caractère “foncièrement contradictoire” entre le discours et les agissements sur le terrain du M23/AFC, qui se présente comme un mouvement soucieux de la paix, mais se livre à des actes de barbarie à l’encontre des populations civiles. Kinshasa alerte ainsi la communauté internationale, plus particulièrement les médiateurs et facilitateurs du processus de paix, sur la gravité de la situation et la nécessité de prendre des mesures urgentes pour protéger les populations civiles. Quant à une éventuelle reprise des négociations à Doha, Kinshasa insiste sur le respect absolu de la protection des vies humaines, qui constitue le “cheval de bataille” des actions du gouvernement. Le gouvernement exige des garanties concrètes avant de s’engager dans de nouvelles discussions avec un mouvement accusé de “crimes contre l’humanité”. Ali Biayi
RDC : Noëlla Ayeganagato, de la jeunesse à la diplomatie, une ascension fulgurante aux Affaires étrangères
La composition du nouveau gouvernement Suminwa II a réservé quelques surprises, notamment la nomination de Noëlla Ayeganagato au poste de Vice-ministre des Affaires étrangères. Cette jeune figure politique, remarquée pour son dynamisme et son engagement en faveur de la jeunesse congolaise, effectue ainsi une ascension fulgurante et se voit confier un portefeuille stratégique pour la diplomatie du pays. Durant son mandat au ministère de la Jeunesse et de l’Éveil Patriotique, Noëlla Ayeganagato s’est illustrée par son action en faveur de l’autonomisation des jeunes, la promotion du patriotisme et la mise en œuvre de programmes d’encadrement innovants. Son travail de terrain, salué par la société civile, lui a valu une reconnaissance qui dépasse les frontières de son ancien ministère. Aujourd’hui, elle rejoint Thérèse Kayikwamba Wagner, reconduite à la tête du ministère des Affaires étrangères. Ensemble, elles formeront un tandem féminin chargé de défendre les intérêts diplomatiques de la RDC à l’international, dans un contexte marqué par le renforcement des partenariats bilatéraux et multilatéraux. Cette nomination marque une montée en puissance pour Noëlla Ayeganagato, qui incarne la volonté du président de la République de confier des responsabilités de premier plan à des profils jeunes et compétents, et particulièrement à des femmes. Elle rejoint ainsi une nouvelle génération de leaders politiques qui façonnent l’avenir de la RDC. Son défi désormais : s’imposer dans l’arène diplomatique, après avoir marqué les esprits dans la gestion des affaires liées à la jeunesse. Un challenge ambitieux, mais à la hauteur de son talent et de son ambition. Emmanuel Kalasa
RDC : Grégoire Mutshall, du ministère de l’Agriculture au Développement rural, la continuité au service du terroir
Reconduit au gouvernement, Grégoire Mutshall passe du ministère de l’Agriculture à celui du Développement rural. Une promotion qui témoigne de la confiance accordée par le président Félix Tshisekedi à cet homme de terrain, salué pour son leadership et son dynamisme à la tête du ministère de l’Agriculture dans le gouvernement Suminwa I. Fort de son expérience dans le secteur agricole, Grégoire Mutshall va désormais devoir relever un nouveau défi, celui du développement rural dans un pays aux dimensions continentales et confronté à de nombreux enjeux. Face aux réformes engagées dans le secteur agricole, il aura à cœur d’achever ses missions régaliennes et républicaines, tout en s’attelant à la tâche immense que représente le développement des zones rurales. Malgré l’ampleur de la tâche, Grégoire Mutshall Mutomb se montre confiant et serein, conscient de l’importance de ce secteur pour l’amélioration des conditions de vie de la population congolaise. Il devra notamment répondre aux attentes d’une population “exigeante et assoiffée au changement”. Ce nouveau gouvernement se positionne comme une “équipe de crise” face à l’insécurité politico-sécuritaire qui secoue le pays à quelques années de la fin du mandat du président de la République Félix Tshisekedi. Dans ce contexte difficile, le développement rural apparaît comme un enjeu majeur pour la stabilité et la cohésion nationale. La rédaction
RDC : Martin Fayulu absent du gouvernement, son camp dénonce un “piège” et une stratégie “suicidaire”
L’annonce de la composition du nouveau gouvernement a levé le voile sur un suspense qui agitait la scène politique congolaise : Martin Fayulu, figure de l’opposition, ne fera pas partie de l’équipe. Alors que des “indiscrétions” laissaient entendre un rapprochement et une possible adhésion de son parti, la réalité s’est avérée différente. Quelques heures après la publication de la liste des ministres, Prince Epenge, porte-parole de la plateforme politique Lamuka et proche de Martin Fayulu, a réagi pour clarifier la position de sa famille politique. Selon lui, leur absence du gouvernement n’est pas due à un manque d’ambition, mais à une conviction profonde. “Notre adhésion au gouvernement ne doit pas être le fruit de la peur, de l’intimidation, de la menace, du chantage, ni de l’obsession d’argent”, a-t-il déclaré. “Nous avons refusé et dit non par patriotisme et conviction, pas par défi.” Face à un gouvernement présenté par le président de la République comme un “gouvernement d’union nationale” censé faire face à la crise politico-sécuritaire du pays, Epenge se montre sceptique. Il estime que cette stratégie ne ramènera pas la paix dans les régions en proie aux conflits. “La stratégie consistant à différer les initiatives de paix et de dialogue interne pour gagner du temps va s’avérer suicidaire et coûtera des vies”, a-t-il écrit sur son compte X (ancien Twitter). “L’homme prudent aperçoit le mal de loin”, a renchéri Prince Epenge, justifiant ainsi la position ferme et catégorique de Martin Fayulu, qui semble craindre un “piège” tendu par le pouvoir en place.Anita Cette absence de Fayulu contraste avec la présence, dans ce même gouvernement, d’Adolphe Muzito, autre figure de l’opposition, qui a accepté le poste de vice-Premier ministre en charge du Budget. Un signe de division au sein de l’opposition, ou une stratégie concertée pour peser sur l’action gouvernementale de l’intérieur ? L’avenir le dira. Ali Biayi
RDC : Grâce Kutino, la nouvelle ministre de la Jeunesse, prêche l’unité et l’engagement
Quelques heures après l’annonce de sa nomination au poste de ministre de la Jeunesse et de l’Éveil Patriotique, Grâce Kutino a tenu à exprimer sa gratitude envers le président de la République, Félix Tshisekedi, et la Première ministre, Judith Suminwa Tuluka. Au-delà des remerciements protocolaires, la nouvelle ministre a surtout tenu à adresser un message à la jeunesse congolaise, plaçant sa mission sous le signe du rassemblement. La nomination de Grâce Kutino, fille du célèbre pasteur Kutino, a suscité de vives réactions. Au-delà des considérations politiques, c’est son attachement à la jeunesse et à ses valeurs morales qui semble avoir pesé dans le choix du chef de l’État. “Cette nomination n’est pas un privilège personnel, mais une mission collective”, a-t-elle déclaré, soulignant son approche du rôle qu’elle s’apprête à jouer. “C’est le début d’un chemin que nous allons tracer ensemble, avec audace, foi, discipline et amour du pays”, a ajouté Grâce Kutino, se positionnant comme une ministre proche des préoccupations de la jeunesse congolaise. Elle a promis d’être “l’oreille, la voix, la main tendue et un pont face aux désidératas de la population en général, plus particulièrement de la jeunesse congolaise”. “Je vous appartiens. Et je vous servirai avec honneur, lucidité et loyauté”, a conclu Grace Kutino, soulignant son engagement à servir la jeunesse congolaise avec dévouement. Cette nomination illustre également l’influence croissante du corps ecclésiastique dans les décisions politiques et institutionnelles du pays. Ali Biayi
RDC : Gouvernement Suminwa II, remaniement en profondeur pour Félix Tshisekedi
La composition du nouveau gouvernement Suminwa II a été rendue publique ce jeudi 7 août, à travers une ordonnance lue sur la chaîne nationale RTNC par Tina Salama, porte-parole du président Félix Tshisekedi. Cette équipe, placée sous la direction du Premier ministre Judith Suminwa Tuluka, témoigne de la volonté du chef de l’État de donner un nouvel élan à son action, après sa réélection. Si certains ministres ont été reconduits à leurs portefeuilles, signe de la confiance accordée à leur travail, d’autres ont été permutés ou ont quitté le gouvernement, laissant la place à de nouvelles figures. Parmi les arrivées notables, on relève celle d’Adolphe Muzito, ancien Premier ministre, qui prend les rênes du ministère du Budget, ainsi que celle d’Eliezer Ntambwe, nommé ministre délégué à la Défense chargé des anciens combattants. Floribert Anzuluni fait également son entrée au gouvernement en tant que ministre de l’Intégration régionale. La composition complète du gouvernement Suminwa II : Vice-Premiers ministres 1. Intérieur, Sécurité, Décentralisation et Affaires coutumières : Jacquemain Shabani 2. Transports et Voies de communication : Jean-Pierre Bemba 3. Défense nationale et anciens combattants : Guy Kabombo Mwadimvita 4. Économie nationale : Daniel Mukoko Samba 5. Budget : Adolphe Muzito 6. Fonction publique, Modernisation de l’administration et Innovation : Jean-Pierre Lihau Ministres d’État 1. Plan et Coordination de l’aide au développement : Guylain Nyembo 2. Affaires étrangères et coopération internationale : Thérèse Kayikwamba 3. Agriculture et sécurité alimentaire : Muhindo Nzangi Butondo 4. Industrie : Aimé Boji 5. Affaires sociales et actions humanitaires : Ève Bazaiba 6. Justice et Garde des sceaux : Guillaume Ngefa Atondoko Andali 7. Hydrocarbures : Acacia Bandubola 8. Éducation nationale et nouvelle citoyenneté : Raïssa Malu 9. Formation professionnelle et métiers : Marc Ekila 10. Urbanisme et Habitat : Alexis Gisaro 11. Développement rural : Grégoire Mutshail Mutond Kangaji 12. Relations avec le Parlement : Guy Loando Ministres 1. Finances : Doudou Fwamba 2. Santé publique, hygiène et prévention : Samuel Roger Kamba 3. Commerce extérieur : Julien Paluku 4. Environnement et développement durable : Marie Niangé Ndambo 5. Infrastructures et Travaux publics : John Banza Lunda 6. Enseignement supérieur et universitaire, et Recherche scientifique : Marie-Thérèse Sombo Ayane Safi 7. Emploi et Travail : Ferdinand Massamba Wa Massamba 8. Postes, Télécommunications, Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication (PTNTIC) : José Panda Kabangu 9. Économie numérique : Augustin Kibasa Maliba 10. Mines : Louis Kabamba Watum 11. Ressources hydrauliques et Électricité : Aimé Molendo Sakombi 12. Communication et Médias, Porte-parole du gouvernement : Patrick Muyaya 13. Entrepreneuriat et Développement des PME : Justin Kalumba 14. Aménagement du territoire : Jean-Lucien Busa 15. Tourisme : Didier Manzenga 16. Pêche et Élevage : Jean-Pierre Tshimanga Buana 17. Culture et Arts : Yolande Elebe 18. Droits humains : Samuel Mbemba 19. Intégration régionale : Floribert Anzuluni 20. Affaires foncières : Onège Nsele Mpimpa 21. Sports et Loisirs : Didier Budimbu 22. Portefeuille : Julie Mbuyi Shiku 23. Genre, Famille et Enfant : Micheline Ombahe Kalama 24. Jeunesse et Éveil patriotique : Grâce Emi Kutinho Ministres délégués 1. Affaires étrangères – Francophonie et Diaspora : Crispin Mbadu Panzu 2. Environnement – Nouvelle économie durable & Climat : Arlette Bahati Tito 3. Urbanisme – Politique de la ville : Angel Bangasa Yogo 4. Affaires sociales – Personnes vivant avec handicap : Irène Esambo 5. Défense – Anciens combattants : Eliezer Tambwe Vice-ministres 1. Budget : Élysée Bokumwana 2. Intérieur : Eugénie Tshela Kamba 3. Affaires étrangères : Noëlla Ayeganato 4. Finances : Gracia Yamba Kazadi 5. Éducation nationale : Théodore Kazadi Muyahila 6. Affaires coutumières : Mwami Ndeze Katurebe Jean-Baptiste Ce remaniement gouvernemental sera scruté de près, tant les défis qui attendent la RDC sont nombreux, qu’il s’agisse de la sécurité dans l’Est du pays, de la relance économique ou de la lutte contre la corruption. La nouvelle équipe devra rapidement faire ses preuves pour répondre aux attentes de la population. S. Tenplar Ngwadi