Le groupe armé M23 soutenu par Kigali, qui contrôle la région de Kivu dans l’Est de la République démocratique du Congo (RDC), a livré ce samedi 1er mars, au pays de mille collines, 14 combattants présumés des forces démocratique de libération du Rwanda (FDLR), capturés à Goma, sur le sol congolais, d’après la Milice. Parmi les rebelles hutu remis au Rwanda, figurent notamment un général cité par le Tribunal pénal international pour le Rwanda et un commandant condamné par un tribunal de la RDC. Dans ce contexte, l’état major de l’armée congolaise rejette cette affirmation de l’Alliance Fleuve Congo (AFC), la plateforme politico-militaire dont s’inclut le M23. Et elle dénonce dans son communiqué un « matraquage médiatique » et un « montage de mauvais goût » orchestrés par le pouvoir de Paul kagame via l’AFC/M23, dans le but de « discréditer » Kinshasa et ses alliés militaires en pleine crise sécuritaire, et du Rwanda de justifier sa présence armée sur les territoires congolais. les combattants hutu des FDLR en RDC Ces paramilitaires se sont réfugiés dans la partie l’Est de la RDC, après la réplique de la l’armée organisée par l’actuel président rwandais Paul kagame, au secours des Tutsi massacrés en avril et juillet 1994, dans la ville de Butare, au sud du Rwanda. Le plus haut gradé des FDLR remis samedi est le général Ezéchiel Gakwerere, accusé par plusieurs rapports internationaux d’avoir pris une part active au génocide perpétré contre les Tutsi, faisant au moins 800.000 morts, selon l’Organisation des nations unies (ONU). L’armée congolaise dévie l’attention En pleine escalade militaire dans les provinces de la RDC du Nord et Sud Kivu, les autorités congolaises à pas de succès diplomatique des récoltes des sanctions de la communauté internationale aux endroits de quelques responsables rwandais, accusés d’appuyer la rébellion sur le sol congolais pour renverser le régime en place. Ce dans cette logique, que Kinshasa martèle ce fait du M23 d’une « stratégie rwandaise », pour justifier son invasion dans le pays de Félix Tshisekedi.
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Guerre entre FARDC et M23/RDF: Judith Suminwa lance la compagne « Congolais Telema » pour éveiller le peuple de la RDC sur le conflit
Lors d’un briefing spécial organisé le samedi 01 mars 2025, dans les installations de la Radio Télévision Nationale Congolaise ( RTNC ), que la première ministre congolaise Judith Suminwa a lancé officiellement la campagne dénommée “Congolais Telema”, visant à populariser la guerre de l’Est et éveiller tout le peuple congolais. Dans son allocution, la cheffe du gouvernement a souligné l’importance d’éveiller le peuple congolais sur l’origine de la guerre qui frappe la partie l’Est de la République démocratique du Congo depuis des décennies, avec l’implication de la République du Rwanda. « Il est fondamental de donner cette guerre, la force de notre unité. Papa, maman et tout le monde sachiez que le pays est en guerre », a déclaré la première ministre Judith Suminwa. Dans la même perspective, cette dernière a donné au nom de son gouvernement un chèque de 1 milliard deux-cent un million trois-cent -milles francs congolais aux Forces des Armées de la République Démocratique du Congo ( FARDC ), en guise de l’effort de guerre contre le M23, soutenu par l’armée rwandaise (RDF). Au cours de la même soirée, plusieurs membres du gouvernement et plusieurs personnalités publiques ont pris la parole pour conscientiser la population congolaise ainsi que de la mobiliser de s’aligner dernière la vision du chef de l’État, Félix Tshisekedi, dans ce moment de crise sécuritaire qui se détériore dans la région du Kivu.
Guerre à l’Est de la RDC : Sama Lukonde prend l’attitude de Jean Pierre Bemba, s’aligne pour mobiliser la jeunesse à l’égard de la crise sécuritaire en cours
Le président du Sénat Jean-Michel Sama Lukonde a réuni ce samedi 01 mars 2025, à Sakania, une localité, dans la province du Haut-Katanga, de milliers des congolais venus de partout de cette localité, chef-lieu du territoire éponyme. La rencontre avait pour objectif de mobiliser la jeunesse de s’aligner dernière la vision du président de la République Félix Tshisekedi, mais également de soutenir les Forces Armées congolaises engagées au front dans la partie Est du pays, d’où les armes ne se taisent avec les rebelles du M23 soutenus par Kigali, malgré les recommandations des communautés régionales et internationales. Le speaker de la chambre haute a avant tout invité la population de ce coin au Sud-est de la RDC, de s’abstenir à toute sorte de manipulation faisant croire que les swahiliphones sont menacés et stigmatiser dans la capitale congolaise, une hypothèse qui a fait la chronique ce dernier moment au pays, suscitant même la réaction de l’association des religieux de la société civile (CECO). « Au niveau sécuritaire, j’ai rappelé l’importance de la solidarité nationale face à l’agression du Rwanda et des supplétifs du M-23. J’ai aussi souligné le fait que pour défendre notre République, nous devons soutenir nos FARDC et les patriotes Wazalendo comme nous l’exhorte le chef de l’État », a écrit Sama Lukonde dans son compte X. Par ailleurs, ce notable de la province du Haut Katanga a fait savoir qu’après sa visite de la localité de Sakania l’a donné toute mesure des préoccupations locales notamment sur les questions relatives au chômage des jeunes, au pouvoir d’achat et à l’accès aux infrastructures de base.
Nord-Kivu : le JED dénonce la séquestration du Directeur de la RTNC par les services des renseignements de la Milice à Goma
L’association indépendante « journaliste en danger » JED en sigle, dénonce dans son communiqué de ce samedi 1er mars, la séquestration depuis quatre jours du Directeur Tuver Wundi, de la Radiotélévision nationale congolaise (RTNC), de Goma, dans la province du Nord Kivu, par les services des renseignements de la plateforme politico-militaire AFC, dont fait partie milice M23, qui contrôle cette région il y a cela un mois. l’ONG d’où le bureau est à Kinshasa, raconte la première information à sa possession sur la séquestration de Tuver Wundi ; « il a été vu pour la dernière fois, le mardi 25 février 2025. Depuis, ses téléphones ne passent. Des témoins affirment avoir vu des gens du M23, circulaient avec sa voiture dans la ville ». le JED, dit avoir contacté à ce sujet l’un des responsables de la communication rebelles qui fait savoir que ce dernier est devenu pour des « raisons d’enquêtes ». Goma vit actuellement dans l’insécurité incessante, aussi dans l’angoisse de la population depuis que les rebelles du M23 soutenus par le Rwanda, occupent cette ville de plus de deux millions d’habitants. le JED indique ne pas avoir les informations sur son arrestation. En cet effet, la Structure demande aux responsables politiques du M23 de communiquer instamment les raisons de l’arrestation du directeur de cet établissement public.
Kinshasa : La Garde républicaine effectue une marche d’endurance pour renforcer ses capacités opérationnelles
Les éléments de la Garde républicaine ont effectué une marche d’endurance ce samedi 1ᵉʳ mars 2025 à Kinshasa, dans le cadre de leur entraînement régulier. L’exercice a débuté dès 5 heures du matin, avec un parcours traversant les principales artères de la capitale. Le point de départ a été fixé à la commune de Limete, avec un passage par la Foire Internationale de Kinshasa (FIKIN), avant de se clôturer au Champ Colonel Tshatshi, dans la commune de Ngaliema. Si cette initiative vise à renforcer la condition physique et la discipline des forces de défense, elle a néanmoins suscité des préoccupations parmi certains habitants, en raison des perturbations occasionnées dans la circulation urbaine. Au cours de cette activité militaire, plusieurs démonstrations ont été effectuées pour illustrer la puissance et la préparation des Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC). Un rappel à la discipline et à la mission de la Garde républicaine À l’issue de la marche, le Général-Major Kabi Ephraim a tenu une parade, au cours de laquelle il a rappelé aux éléments de la Garde républicaine leur mission principale : assurer la protection du Président de la République, de sa famille et de ses hôtes, tout en apportant un appui aux unités des FARDC dans la défense de l’intégrité territoriale et en soutenant la Police nationale congolaise dans l’accomplissement de ses tâches. Le commandant a également insisté sur la discipline militaire et l’importance du respect des instructions hiérarchiques. « Ne cédez pas aux actes de démoralisation des militaires et renforcez la cohésion ainsi que l’amour du prochain », a-t-il déclaré devant ses troupes. Cette marche d’endurance est la troisième du genre, après celles organisées en 2023 et 2024. Au-delà de l’entraînement physique et tactique, elle vise aussi à rassurer la population de Kinshasa et de l’arrière-pays sur la disponibilité et la capacité des FARDC à défendre l’intégrité du territoire national face à toute menace.
Sécurité et tensions politiques en RDC : Jacquemin Shabani reçoit Emmanuel Ramazani Shadary
Le Secrétaire permanent du Parti du Peuple pour la Reconstruction et la Démocratie (PPRD), Emmanuel Ramazani Shadary, a été reçu ce samedi 1ᵉʳ mars 2025 par Jacquemin Shabani, vice-Premier ministre de l’Intérieur, pour une séance de travail. Cette rencontre intervient dans un contexte marqué par les accusations du ministre des Transports, Jean-Pierre Bemba, visant l’ancien Président Joseph Kabila. Jean-Pierre Bemba a en effet désigné Joseph Kabila comme un possible instigateur de la milice Mobondo, accusée de commettre des actes de violence dans la province du Kwilu. Le PPRD a immédiatement rejeté ces accusations, les qualifiant de manœuvres politiques visant à semer la division et à déstabiliser l’ordre public. Le contenu exact des échanges entre Emmanuel Ramazani Shadary et Jacquemin Shabani reste confidentiel. Toutefois, selon des sources proches du dossier, la rencontre aurait porté sur des questions de sécurité nationale, dans un climat politique particulièrement tendu.
Sanctions contre l’invasion du Rwanda en RDC : Olivier Kasanda en contrepartie, envisage la « mobilisation nationale » et le renfort à l’armée congolaise pour reconquérir les zones occupées
Le député national Olivier Kasanda Katuala a donné son opinion sur la crise sécuritaire dans l’Est de la République Démocratique du Congo (RDC), d’où les rebelles du M23 et son allié, l’armée rwandaise s’emparent la région de Kivu. Pour ce membre de l’Union sacrée, la plateforme politique du pouvoir en place, la reconquête des territoires congolais aux mains de la Milice et son allié, Kigali, ne doit intervenir uniquement par la pression internationale. Il envisage une « mobilisation interne », accentue sur le renforcement équitable de les forces armées de la RDC. « la libération de nos territoires ne peut pas être laissée à la seule pression extérieure », a déclaré cet élu de Lukunga. Il appelle à un renforcement des forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC), et à une collaboration accrue avec les groupes de résistance locale, en augmentant le budget militaire et en modernisant les équipements. Ce député congolais se montre particulièrement critique envers les leaders du M-23, dirigé par les congolais, et leur soutien rwandais, qu’il accuse de graves violations des droits humains dans les zones occupées. Olivier souligne notamment qu’une « mobilisation interne » est essentielle pour restaurer la souveraineté nationale, complétée par une pression extérieure. Sur la scène internationale, la dégradation de la guerre a conduit à plusieurs mesures : le Conseil des droits de l’homme de l’ONU a autorisé une mission de vérification des faits, et le Conseil de sécurité de l’ONU a adopté une résolution exigeant le retrait des troupes rwandaises. L’Union européenne également plaide pour des sanctions plus strictes contre le pays de Paul kagame, tandis que les États-Unis et le Royaume-Uni ont imposé des mesures économiques et diplomatiques. La Cour pénale internationale a aussi de son côté annoncé l’accélération des poursuites pour « crimes de guerre ». À l’ampleur du conflit qui fait de milliers de morts, de déplacements massifs de personnes suite violences et la catastrophe humanitaire dans cette partie du Congo, Olivier Kasanda appelle à une action combinée, où l’engagement militaire national et la pression internationale travaillent de concert pour restaurer la paix et la stabilité en RDC.
Affaire des forages : les ONG de lutte contre la corruption, dont l’ACAJ, demandent le réexamen de la décision de la Cour de cassation
Les Organisations Non Gouvernementales (ONG) regroupées au sein de la Coalition de lutte contre la corruption en République Démocratique du Congo (RDC) ont exprimé, vendredi 28 février 2025, leur profonde préoccupation face à la décision rendue par la Cour de cassation dans l’affaire des forages et des stations de traitement d’eau. Dans un communiqué publié le 24 février 2025, la Coalition met en exergue plusieurs atteintes aux droits fondamentaux et à l’intégrité du système judiciaire congolais. Elle dénonce notamment les menaces de poursuites judiciaires lancées par le Conseil supérieur de la magistrature (CSM) à l’encontre des acteurs de la société civile et des journalistes d’investigation ayant critiqué la décision. Selon les ONG, cette attitude constitue une violation flagrante de l’article 23 de la Constitution, qui garantit la liberté d’expression. Elles soulignent également que la liberté d’information, inscrite à l’article 24, est un pilier essentiel d’une démocratie vivante. Les organisations signataires du communiqué se disent déçues par le manque de profondeur des enquêtes menées par le ministère public. Elles estiment que les investigations auraient dû inclure la demande de relevés bancaires afin d’établir d’éventuels versements de pots-de-vin liés à l’affaire. Cette absence de diligence soulève des interrogations sur l’indépendance et l’efficacité du système judiciaire, remettant en cause les principes d’impartialité et de bonne administration de la justice. La Coalition s’inquiète également d’une déclaration du CSM, qui semble défendre l’ancien ministre des Finances, Nicolas Kazadi, sans qu’une enquête approfondie n’ait été menée. Cette prise de position compromet le principe d’égalité devant la loi, essentiel à la garantie d’un procès équitable. Les menaces à l’encontre des acteurs de la société civile sont perçues comme une violation des engagements internationaux de la RDC, notamment du Pacte international relatif aux droits civils et politiques. La Coalition rappelle que la liberté d’association est un droit fondamental, essentiel au respect de l’État de droit. Face à cette situation préoccupante, la Coalition appelle à un dialogue constructif avec toutes les parties prenantes afin de lutter efficacement contre la corruption. Elle insiste sur la nécessité d’une mobilisation collective pour renforcer les mécanismes de prévention et de répression de la corruption, dans le but d’assurer une gouvernance transparente et efficace. Enfin, la Coalition de lutte contre la corruption en RDC demande un réexamen approfondi de l’affaire des forages et des stations de traitement d’eau. Elle réaffirme son engagement en faveur de la justice et de la transparence, tout en appelant à une action concertée pour restaurer la confiance des citoyens dans les institutions publiques et promouvoir un environnement démocratique sain. La lutte contre la corruption, rappellent-elles, est une responsabilité collective qui nécessite l’engagement de tous les acteurs de la société.
RDC : « le retour de la paix à l’Est », au cœur d’un atelier stratégique lancé ce mardi à Kinshasa
Un atelier stratégique régional réunissant des représentants des institutions nationales des droits de l’homme (INDH) de la SADC et de l’EAC, ainsi que des leaders d’organisations de la société civile locale, a été lancé ce mardi 25 février 2025 à Kinshasa. Son objectif : contribuer au retour de la paix dans l’Est de la République démocratique du Congo. L’événement a été inauguré par le vice-Premier ministre et ministre de l’Intérieur, Jacquemin Shabani, en présence de plusieurs personnalités politiques, judiciaires et de la société civile. Un appel à l’engagement pour un plan d’action concret Paul Nsapu Mukulu, représentant du Conseil national des droits de l’homme (CNDH-RDC), a exhorté les participants à donner le meilleur d’eux-mêmes afin de formuler des recommandations solides pour un plan d’action concret. « Il est urgent qu’à l’issue de cet atelier stratégique, réunissant les institutions des droits de l’homme, nous mettions en place un plan d’action pratique. Celui-ci servira de base pour toutes les activités de plaidoyer dans la sous-région et sur le plan international, afin que non seulement la paix revienne, mais aussi pour contribuer efficacement au mandat de la République démocratique du Congo au sein du Conseil des droits de l’homme des Nations Unies. J’exhorte donc les représentants des différentes institutions ici présents à donner le meilleur d’eux-mêmes avec une approche centrée sur les droits humains, afin de contribuer à la stratégie du retour effectif de la paix et au respect de la dignité humaine à l’Est de notre pays. » Un soutien des autorités pour la paix Dans son discours d’ouverture, le ministre de l’Intérieur, Jacquemin Shabani, a salué cette initiative et réaffirmé l’engagement du gouvernement congolais pour la restauration de la paix dans l’Est du pays. « Je félicite M. Nsapu Mukulu pour cette initiative louable, qui s’inscrit dans les efforts diplomatiques du Président de la République, Son Excellence Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo. Le Chef de l’État ne ménage aucun effort pour préserver la souveraineté nationale, protéger l’intégrité du territoire et rétablir l’autorité de l’État sur l’ensemble du pays, afin que la paix revienne définitivement à l’Est, déchiré par des années de conflit. À cet effet, j’exhorte les représentants des INDH des pays de la SADC et de l’EAC, ainsi que ceux de la société civile, à s’investir pleinement pour contribuer à la stratégie du retour effectif de la paix et au respect de la dignité humaine en République démocratique du Congo. Je souhaite plein succès à ces assises, en espérant que leurs acquis profitent non seulement aux experts présents, mais aussi à l’ensemble de la population de l’Est de notre pays. » Ces travaux se dérouleront sur deux jours, du 25 au 26 février 2025. Les participants devront formuler des recommandations et élaborer des stratégies en vue de renforcer les efforts de pacification et de stabilisation dans la région.
Développement en RDC: « qu’on ne se trompe pas par la guerre, celle-ci est une urgence mais n’est pas la racine du problème », prophète Joël Francis
Sur la chaire de son église « Porte des cieux » de Kinshasa. Le prophète congolais Joël Francis a dénoncé la mauvaise gouvernance, le népotisme, l’impunité, la corruption… établirent par les acteurs politiques au pouvoir, qui sont d’après lui, ” la racine du problème qui met en cause le développement en RDC, en-dehors même de la situation sécuritaire en cours dans la partie l’Est du pays, qui fait de milliers de morts, de personnes déplacées suite aux violences et qui provoque la crise humanitaire. « Acteurs politique de l’opposition, quand l’appel vient, répondez. Acteurs politique au pouvoir, pardon, pensez à nous ! parce que c’est vous qui vivez bien (…) c’ eux qui mangent, qui voyagent et maintenant là, leurs enfants sont en Europe. On ne demande pas beaucoup, les congolais ; est un peuple déjà joyeux, on aime vivre, donnez nous à manger, la sécurité… demandez le salaire d’un Docteur, vous êtes méchants ! Si la guerre s’arrête à l’Est, est-ce que le Congo va se développer ? qu’on ne se trompe pas par la guerre, la guerre est une urgence mais n’est pas la racine du problème », a déclaré Joël Francis, devant le milliers de fidèles de son ministère. La hausse du ton en plein culte En effet, le prophète Joël Francis a ténu ces propos le dimanche 23 février dernier, lors de la clôture de sa campagne évangélique annuelle, dénommée « Hannukah ». Avec le thème de l’année 2025, « Cinq clés pour devenir plus puissant que…» ( Partie 2). Dans cette thématique que Joël Francis a tiré son enseignement aux manœuvres des gouvernants congolais en parallèle à la détermination du Japon pour un développement en perspective, en établissant un nouveau standing strict, après sa défaite lors de la Seconde Guerre mondiale dû d’une bombe atomique par un avion américain sur les villes japonaises de Hiroshima, le 6 août 1945, puis d’une autre sur Nagasaki. « après une crise, on doit devenir intelligent », martèle l’époux de Simiane Brahy.