Le Nigeria a réaffirmé sa domination incontestée sur le continent africain. Ce samedi 26 juillet 2025 à Rabat, dans un match palpitant, les Super Falcons ont remporté la finale de la Coupe d’Afrique des Nations féminine en s’imposant face au pays hôte, le Maroc, sur le score de 3-2. Malgré un retard de deux buts à la mi-temps (0-2), les Nigérianes ont opéré un renversement spectaculaire en seconde période, portées par une détermination sans faille et une condition physique impressionnante. Cette victoire marque le 10ème titre continental pour les Super Falcons, un record inégalé dans l’histoire de la compétition. Les Lionnes de l’Atlas, galvanisées par un public fervent, ont offert une performance courageuse, mais n’ont pas réussi à contenir la puissance offensive du Nigeria dans les moments décisifs. Ce revers en finale constitue néanmoins un signe de la progression constante du football féminin marocain. Avec ce nouveau sacre, le Nigeria consolide sa place de leader incontesté du football féminin africain, tandis que le Maroc, finaliste malheureux pour la deuxième fois consécutive, confirme son statut d’équipe montante. Dans le match pour la troisième place, le Ghana a décroché la médaille de bronze en battant l’Afrique du Sud aux tirs au but (4-3). La Rédaction
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Guerre dans l’Est de la RDC : Peter Muteba salue le leadership de Félix Tshisekedi dans l’accord avec l’AFC/M23
Le 19 juillet 2025, la République Démocratique du Congo (RDC) et le groupe politico-militaire AFC/M23 ont signé à Doha, sous l’égide des autorités qatariennes, une déclaration de principes après trois mois de négociations directes. Ce texte, qui pose les fondements d’un futur accord de paix, marque une avancée significative dans les efforts de médiation en cours. Peter Muteba Kazadi, président de l’Association des Jeunes Conscienceux du Congo (Ajcc), a exprimé son soutien à cette initiative lors d’un entretien avec Congopresse, saluant “le leadership et la diplomatie proactive du président Félix Tshisekedi”. Bien que Muteba ait déploré le délai de cette signature, il a émis le souhait de voir se poursuivre “des négociations significatives et cruciales” pour rétablir l’autorité de l’État et assurer la paix, notamment dans les zones encore sous le contrôle de l’AFC/M23, un groupe armé soutenu par le Rwanda. Cet accord de principes, qui inclut un engagement pour un cessez-le-feu permanent, est perçu comme une avancée majeure pour la paix dans l’est de la RDC, une région riche en ressources mais marquée par plus de 30 ans de conflits et d’accords précédemment violés. Elohim Mfinda
RDC : Félix Tshisekedi prépare un remaniement gouvernemental dans un contexte de crise sécuritaire
Félix-Antoine Tshisekedi s’apprête à concrétiser sa promesse de former un nouveau gouvernement, faite il y a près de cinq mois devant sa famille politique réunie au Chapiteau de la Cité de l’Union africaine. Selon des sources proches de la présidence, et sauf revirement de dernière minute, ce remaniement devrait aboutir à la mise en place d’un gouvernement Suminwa II, une nouvelle fois dirigé par la Première ministre Judith Suminwa. Ce nouvel exécutif, dont la composition devrait être annoncée dans les prochains jours, devrait se distinguer par deux caractéristiques principales : une taille réduite, avec un nombre limité de ministères, et une ouverture potentielle à d’autres acteurs et forces sociopolitiques, dans un contexte de défis persistants. En amont de cette annonce, le professeur Cashmir Eberande Kolongele, conseiller spécial du chef de l’État en matière de sécurité, avait mené, sur instruction de Félix Tshisekedi, des consultations avec diverses forces sociopolitiques du pays. Ces discussions, qualifiées d’initiatives “made in Union sacrée”, visaient à préparer la formation d’un gouvernement d’union nationale. Notons toutefois que les principales forces d’opposition et plusieurs figures de l’opposition politique n’y ont pas participé. Appel à un dialogue national inclusif Alors que le remaniement gouvernemental se précise, des voix s’élèvent pour réclamer la tenue d’un dialogue national inclusif, sous l’égide de la Conférence Épiscopale Nationale du Congo (CENCO) et de l’Église du Christ au Congo (ECC). Ces deux institutions religieuses, porteuses de l’initiative baptisée “Pacte social pour la paix”, estiment que les efforts diplomatiques régionaux et internationaux ne suffisent pas à résoudre la crise sécuritaire et les tensions qui secouent actuellement le pays. Suite à des rencontres avec les représentants des Églises catholique et protestante, Félix Tshisekedi a mis à disposition une équipe de son cabinet afin de participer aux travaux de concertation initiés par les deux confessions religieuses. Les discussions se poursuivent, et le président attend un rapport final sur les conclusions de ces échanges, qui pourraient influencer la composition et les priorités du nouveau gouvernement Suminwa II. S. Tenplar Ngwadi
RDC : Le titre des Aigles du Congo menacé par un ultimatum du TAS
Le conte de fées des Aigles du Congo, champions de la Ligue 1 après seulement deux saisons, pourrait virer au cauchemar. Alors que le club savoure encore son titre inattendu, validé par les félicitations du président de la FIFA, Gianni Infantino, un ultimatum du Tribunal Arbitral du Sport (TAS) jette une ombre sur ce triomphe. À l’origine de cette crise, l’arrêt prématuré du championnat le 26 juin par la FECOFA, alors qu’il restait six matchs cruciaux des play-offs. Le TP Mazembe, contestant cette décision, a obtenu gain de cause auprès du TAS, qui a ordonné la reprise du championnat avant le 31 juillet 2025. Or, à quelques jours de cette échéance, l’impasse persiste. Ni la FECOFA, ni la Linafoot (Ligue Nationale de Football), qui avait invoqué l’impossibilité de respecter le calendrier, n’ont pris de mesures concrètes. Les enjeux sont considérables. Outre la perte du titre pour les Aigles du Congo, une annulation de la saison pourrait entraîner l’exclusion des clubs congolais des compétitions interclubs de la CAF en 2025-2026. Dans l’attente d’une décision, Aigles du Congo et FC Saint-Éloi Lupopo sont pressentis pour représenter la RDC en Ligue des Champions, tandis que l’AS Maniema Union et le Simba de Kolwezi pourraient disputer la Coupe de la Confédération. Un scénario incertain, dépendant du respect des délais imposés par le TAS. Pour le football congolais, l’équation est simple : six matchs à jouer en quelques jours pour éviter un chaos aux conséquences potentiellement désastreuses. L’horloge tourne. Nathan Kumba
Ituri : La Lucha dénonce un “crime de guerre” après l’attaque d’une paroisse catholique
La Lucha (Lutte pour le Changement) a élevé la voix ce samedi 26 juillet pour dénoncer avec virulence l’attaque de la paroisse catholique de Lopa, survenue le lundi 21 juillet dans le territoire de Djugu, en Ituri. Dans une déclaration publique, le mouvement citoyen qualifie cette attaque, attribuée à la milice CODECO, de « crime de guerre ». “La Lucha condamne avec la plus grande fermeté l’attaque de la paroisse catholique de Lopa, ainsi que la profanation des objets liturgiques. Ce type d’attaque constitue un crime de guerre”, affirme le communiqué. Face à la recrudescence de la violence, la Lucha lance un appel pressant à l’unité et à la mobilisation de toutes les communautés de l’Ituri pour mettre fin aux cycles de violence qui ravagent la région. “Nous appelons à une mobilisation citoyenne de toutes les filles et fils de l’Ituri pour dire Non à la guerre et rejeter toute forme de violence”, a martelé le mouvement. La Lucha met également en garde contre toute tentative de communautariser les actes criminels commis par les groupes armés, soulignant la nécessité de ne pas attiser les tensions intercommunautaires déjà vives dans la région. Makati Élie
Nominations en RDC : Coup de gueule à l’UDPS ? Augustin Kabuya monte au créneau pour défendre Félix Tshisekedi
Les ordonnances signées par le président Félix Tshisekedi en début de semaine ont semé le trouble au sein de l’UDPS. Des figures du parti, déçues par la répartition des postes, ont laissé éclater leur frustration. Augustin Kabuya, secrétaire général de l’UDPS, est donc monté au créneau. Il a rappelé que les décisions du chef de l’État sont souveraines et guidées par une vision globale pour le pays. Il a également insisté sur la nécessité de dépasser les ambitions personnelles et de privilégier l’unité du parti. En clair, Augustin Kabuya cherche à éteindre l’incendie avant qu’il ne se propage. Les enjeux sont de taille : maintenir la cohésion de l’UDPS, dont l’unité pourrait être fragilisée par ces frustrations. Cette intervention s’inscrit dans une stratégie claire : réaffirmer l’autorité du président et recentrer le débat sur la ligne politique. Un message implicite est adressé aux mécontents : la loyauté à Félix Tshisekedi doit primer sur les intérêts individuels. Nathan Kumba
RDC-États-Unis : Washington courtise Kinshasa pour les minerais stratégiques, un sommet en août pour sceller les alliances
La course aux ressources minérales stratégiques s’accélère. Washington et Kinshasa se rapprochent autour d’un enjeu commun : les minerais essentiels à la transition énergétique. Un sommet d’information stratégique, organisé par l’agence de lobbying américaine Von Batten-Montague-York, L.C., se tiendra le 21 août 2025 au National Press Club à Washington, D.C. L’objectif ? Faciliter les partenariats entre les entreprises américaines et congolaises dans le secteur minier. Sponsorisé par Sokam Holding Sarl, une société congolaise, l’événement vise à encourager les investisseurs américains à s’associer avec des acteurs locaux. “Les entreprises américaines désireuses d’être parties prenantes du partenariat minier à concrétiser dans un proche avenir par les deux pays doivent s’associer au peuple et aux entreprises congolaises”, a déclaré Von Batten-Montague-York, L.C., dans un communiqué officiel. L’agence de lobbying, dirigée par le docteur Karl-Marx Ikemefuna Okeke-Von Batten, un ancien conseiller du gouvernement et du Congrès américain, représente les intérêts du ministère des Mines de la RDC depuis 2024 et du gouvernement congolais depuis 2025. Forte de son expertise et de son réseau, Von Batten-Montague-York, L.C. ambitionne de jouer un rôle clé dans le développement des relations économiques entre les deux pays. Ce rapprochement s’inscrit dans un contexte de compétition accrue pour les ressources minérales stratégiques, indispensables à la fabrication de batteries, de véhicules électriques et d’autres technologies vertes. La RDC, riche en cobalt, lithium et autres minerais essentiels, est devenue un acteur incontournable de cette nouvelle donne géopolitique. S. Tenplar Ngwadi
RDC : Christian Bahati défend son intégrité et annonce des actions en justice face aux accusations d’usurpation d’identité
Christian Bahati, président national de la Fondation Bahati Christian (FOBAC), a fermement réagi ce vendredi 25 juillet à la polémique soulevée par un communiqué du professeur Modeste Bahati Lukwebo, deuxième vice-président du Sénat. Ce dernier accusait un individu se présentant sous le nom de “Christian Bahati Musengo” d’usurpation d’identité. Dans une déclaration pleine de détermination, Christian Bahati a qualifié les accusations proférées par Modeste Bahati Lukwebo de « diffamatoires » et infondées. Il a exprimé son indignation face à des allégations qu’il considère comme nuisibles à son honneur et à sa réputation. « Ce communiqué n’est basé sur aucun élément de preuve et ignore les préjudices moraux que cela me cause », a-t-il affirmé. Précisant sa position, Bahati a rappelé que son nom est légalement inscrit sur tous ses documents officiels, y compris son passeport. Il a fait savoir qu’il n’a jamais eu recours à son identité pour simuler une autre personnalité. « Je suis et je resterai fier d’être fils de Bahati Yabanga, et je ne céderai à aucun chantage », a-t-il insisté, soulignant sa ferme volonté de défendre son héritage familial. Face à cette attaque, Christian Bahati a confirmé son intention de porter l’affaire devant les tribunaux. « Je suis résolu à saisir la justice contre toute tentative de nuire à ma personne », a-t-il déclaré, faisant entendre sa détermination à préserver sa dignité et son intégrité. Cette affaire soulève des questions sur la gestion des conflits d’identité et les implications morales attachées à de telles accusations dans un contexte politique déjà tendu. Christian Bahati, par cette prise de position, cherche non seulement à se défendre personnellement, mais également à rappeler l’importance de l’honnêteté et de la transparence dans la vie publique. La réponse de Bahati témoigne de l’importance qu’il accorde à sa réputation et à son engagement envers la vérité, alors que la situation continue de se développer dans les jours à venir. La rédaction
RDC : Le Président Félix Tshisekedi reçoit Sam Mangwana, légende de la rumba congolaise
Le président de la République démocratique du Congo, Félix Tshisekedi, a reçu en audience, ce jeudi 24 juillet 2025, à Kinshasa, l’artiste musicien Sam Mangwana, figure emblématique de la rumba congolaise, en séjour dans la capitale. Cette rencontre, placée sous le signe de la reconnaissance, a été l’occasion pour l’artiste de remercier le chef de l’État pour les honneurs et les marques d’estime dont il a fait l’objet ces derniers mois. « L’essentiel pour moi, c’était d’arriver à Kinshasa pour remercier le Président de la République du geste qu’il avait posé. La surprise était tellement grande et c’est pourquoi je me suis dit d’arriver à Kinshasa pour lui dire merci », a déclaré Sam Mangwana à l’issue de l’audience. Il y a quelques mois, Sam Mangwana avait reçu la médaille d’or du Mérite en Arts, Sciences et Lettres, la plus haute distinction que le Congo puisse décerner à un artiste, lors d’une cérémonie organisée par l’ambassade de la RDC en Angola. À cette occasion, le président Tshisekedi avait offert un véhicule 4×4 à l’artiste, en signe de reconnaissance de son immense contribution à la promotion de la culture congolaise et africaine. Après son entretien avec le chef de l’État, Sam Mangwana a confié que Félix Tshisekedi était un grand mélomane, capable de se souvenir de détails de son parcours artistique que lui-même avait oubliés. « Il m’a rappelé des choses sur mon parcours artistique que moi-même j’avais oubliées, entre autres la chanson Waka Waka que j’avais enregistrée à Paris. J’ai donc décidé de refaire ce morceau en son honneur et pour tous les mélomanes », a-t-il annoncé. Véritable ambassadeur de la rumba congolaise, Sam Mangwana a rappelé son rôle dans l’expansion de cette musique dans le monde entier. « Mon initiation chez Tabu Ley et Franco m’a permis de traverser toute l’Afrique noire et d’essayer de planter la rumba congolaise en langues locales partout où je suis passé », a-t-il déclaré. De retour en Afrique, l’artiste, originaire d’Angola et né à Kinshasa en 1945, entend relancer sa carrière et faire revivre la rumba originelle, aux côtés des Congolais, des Angolais, des Gabonais et des Camerounais. Interprète de chefs-d’œuvre tels que Fatimata, No me digas no, Mabele (Ntoto) et Faute ya commerçant, Sam Mangwana reste une figure incontournable de la musique africaine. S. Tenplar Ngwadi
Agriculture en RDC : Clôture des ateliers des agropoles par le Ministre d’État Grégoire Mutshail Mutomb
Dans un discours empreint de gratitude et d’optimisme, Grégoire Mutshail Mutomb, ministre d’État, ministre en charge de l’Agriculture et sécurité alimentaire, a clôturé jeudi 24 juillet 2025, les Journées Agropoles tenues à l’Hôtel Sultani River. Cette initiative, qui vise à promouvoir la “Revanche du sol sur le sous-sol”, a réuni divers acteurs des secteurs public et privé pour discuter des perspectives d’une agriculture durable et moderne en République démocratique du Congo (RDC). Le ministre d’État a débuté son allocution en remerciant chaleureusement le Président de la République pour sa vision audacieuse, ainsi que la Première ministre pour son engagement dans le Programme d’Actions du gouvernement 2024-2028. Il a également exprimé sa gratitude envers la Banque Africaine de Développement et le Fonds Social de la RDC pour leur soutien dans la mise en œuvre des Journées Agropoles, tout en saluant la contribution de l’expert international, le Professeur Alexandro, qui a partagé son expérience sur le concept des agropoles. Mutshail Mutomb a souligné l’importance capitale du secteur agricole pour l’économie nationale, déclarant que l’expérience des agropoles constitue une opportunité majeure pour relancer ce secteur longtemps délaissé. Il a ainsi révélé que, sur instructions du Président de la République, l’Initiative d’Aménagement des Pôles Agro-pastoraux pour la Révolution Agricole en RDC (IPAPAR-RDC) a été conçue pour concrétiser cette vision. Au terme des cinq jours de débats enrichissants, le ministre a dressé un bilan positif des ateliers, listant plusieurs réalisations majeures : – Clarification du concept d’agropole congolais. – Identification des leviers techniques, économiques et organisationnels de mise en œuvre. – Partage d’expériences internationales, tant les succès que les échecs. – Recueil de recommandations opérationnelles et multisectorielles. Les prochaines étapes incluent le lancement imminent des études de faisabilité détaillées sur 37 sites prioritaires. Le ministre a insisté sur l’importance de l’alignement des agropoles avec les stratégies gouvernementales en matière d’énergie, de territoire, de commerce et d’emploi. De plus, une attention particulière sera accordée à l’élaboration d’un cadre législatif pour établir des normes de certification de crédit carbone et de traçabilité agro-alimentaire. Le ministre a également proposé une valorisation des savoir-faire locaux, un guide pour cartographier les bassins de production et infrastructures, ainsi qu’une mobilisation des financements nécessaires. Il a évoqué l’importance d’améliorer la communication sur les agropoles à travers divers canaux, tels que les médias locaux et les plateformes numériques. Parmi les actions à venir, on note : – Visites de terrain : Des visites seront organisées sur les sites pilotes de Nkuadi, Nkundi, Lukula, Mongata et Bukanga Lonzo. Le programme de ces visites est en cours d’élaboration. – Création d’un vadémécum : Un guide des orientations pour les Agropoles de la RDC sera mis en place afin de standardiser et d’orienter les initiatives au niveau national. – Partage de constats : Des séances de partage mettront en lumière les principaux constats et les leçons tirées des expériences sur le terrain, ainsi que les jalons à atteindre pour mener à bien cette initiative. – Partenariats multilatéraux : La formalisation de partenariats sera engagée pour garantir le financement vert nécessaire à la mise en œuvre de ces projets ambitieux. – Structure multisectorielle : La mise en place d’une structure consacrée à la coordination des études et à la mise en œuvre de l’Initiative Présidentielle sera également établie pour faciliter le suivi et la réussite des projets. Le ministre a également souligné l’importance d’un engagement collectif, en exhortant tous les participants à faire circuler les fruits de ces travaux au sein de leurs communautés. « Je compte sur vous pour que les fruits de ces travaux se multiplient et se transmettent de bouche à oreille, et que le partage des connaissances nous conduise vers un engagement commun plus solide, qui est celui de transformer véritablement l’Agriculture Congolaise à travers la mise en place des Agropoles », a-t-il déclaré. Enfin, Grégoire Mutshail Mutomb a appelé à la mise en place de stratégies durables, intégrant l’économie circulaire et la traçabilité, afin d’assurer la pérennité des initiatives agropoles. S. Tenplar Ngwadi