Rentrée scolaire 2025-2026 : Joseph Mukungubila effectue une visite de revitalisation éducative et sociale au complexe scolaire Kyabilwa

Sa Majesté Joseph Mukungubila Mutombo, a effectué ce mardi 2 septembre 2025, une descente au complexe scolaire Kyabilwa, accompagné de son cabinet royal, des reines, princes et princesses. Cette visite est dans le cadre d’une mission de revitalisation éducative et sociale.   Le cortège royal a été encadré avec professionnalisme par les forces de l’ordre, sous la coordination du Colonel Dieudonné Kanema et du chef de poste du service de renseignement, assurant une sécurité optimale tout au long de la visite.   À son arrivée, Sa Majesté a été chaleureusement accueilli par le préfet des études, suivi d’un mot de bienvenue prononcé par trois élèves du complexe scolaire Kyabilwa, témoignant de la reconnaissance de la communauté éducative.   Le Grand Roi Joseph Mukungubila Mutombo a effectué une visite guidée des différentes salles de classe. Face à l’état de dégradation des infrastructures — toitures endommagées, absence de tableaux et de bancs — il a pris la décision stratégique de suspendre les travaux en cours afin de lancer une réhabilitation complète et urgente de l’établissement, à réaliser avant l’arrivée des premières pluies.   Connu sous le surnom de “Le Bâtisseur”, Sa Majesté a réaffirmé son engagement philanthropique en finançant les travaux sur fonds propres. À l’écoute des doléances du chef d’établissement, il a ensuite procédé à la présentation officielle du corps enseignant, valorisant ainsi les acteurs clés de l’éducation locale.   Dans une ambiance festive, les élèves ont reçu des cartables pliables de haute qualité, conçus pour être imperméables, afin de protéger leurs fournitures scolaires des intempéries. Ce geste symbolique, offert de la main du Divin Roi de Kisaala, a été salué comme un acte de bienveillance et de soutien à la scolarisation.   “Joseph Mukungubila, déterminé à redorer le blason du C.S Kyabilwa” L’événement phare de la journée fut la pose de la première pierre du nouveau complexe scolaire Kyabilwa, réalisée par Sa Majesté Joseph Mukungubila Mutombo, marquant le début d’un chantier structurant pour l’avenir éducatif de Kisaala.   “Je suis déterminé pour reconstruire kisaala avec mes fonds propres d abord avant de tendre la main aux institutions bancaires. Aujourd’hui je pose la première pierre pour la reconstruction de cette école, que Dieu nous prête vie afin de faire bcp pour cette population dans le Tanganyika pronfond”, a-t-il déclaré. Émerveillés par cette initiative, le préfet des études Misongo Kiboko Philo ainsi qu’un élève de l’établissement ont exprimé leur gratitude et ont salué cet acte porteur d’espoir pour la jeunesse locale.   “Je suis dans une joie immense de voir le Prince de paix de kisaala surnommé le bâtisseur venir visiter notre école Kyabilwa et aussi promouvoir l éducation dans le Tanganyika profond en construisant cet établissement éducatif pour l avenir de nos enfants. Au nom de tout les enseignants et élèves du complexe scolaire kyabilwa à Kisaala nous disons infiniment merci au faiseur de paix à kabalo pour ce geste que d autres personnalités civiles et politiques doivent emprunter pour le développement local”, a fait savoir ce chef d’établissement.   Dans sa dynamique de transformation territoriale, le Bâtisseur a également inauguré un magasin d’approvisionnement à Kisville, destiné à faciliter l’accès aux denrées de première nécessité. En guise de surprise, il a offert aux mamans de Kisaala des pagnes de grande qualité, renforçant ainsi son lien avec la communauté. Les femmes de Kisaala ont exprimé leur reconnaissance avec émotion, louant l’engagement du Bâtisseur pour le bien-être collectif.   “Nous sommes reconnaissantes nius femmes et parents ici à kisaala de voir ce grand homme rempli de n amour divin et qui a décidé de reconstruire cette localité et transformer cette dernière en une ville,et surtout la pose de la première pierre pour la construction de l ecole Kyabilwa ,enfin de donner force,courage à nos enfants qui vont désormais étudier dans des bonnes conditions”. Il convient de souligner que c’est par amour pour son pays et pour son Kabalo profond que Sa Majesté Joseph Mukungubila Mutombo s’est engagé dans la modernisation du Tanganyika profond, inscrivant son action dans une vision durable de développement territorial.   La Rédaction

RDC – Condamnation de Constant Mutamba : « Une élimination politique », dénonce Jean-Claude Katende

Au lendemain de la condamnation de l’ancien ministre de la Justice, Constant Mutamba, à trois ans de servitude pénale pour détournement de fonds publics, les réactions ne se font pas attendre. Jean-Claude Katende, président de l’Association africaine de défense des droits de l’homme (ASADHO), y voit une décision à forte connotation politique.   « Je ne suis pas surpris par la sentence prise contre Mutamba. Il est éliminé politiquement », a-t-il réagi sur son compte X (anciennement Twitter), soulignant ce qu’il qualifie d’instrumentalisation de la justice pour affaiblir un acteur politique en pleine montée.   Constant Mutamba a été reconnu coupable d’avoir attribué de manière irrégulière un marché public de près de 19 millions de dollars à la société Zion Construction SARL pour la construction d’une prison à Kisangani. Outre la peine de prison, il écope également d’une interdiction de cinq ans de voter et d’être éligible, une fois sa peine purgée.   Ali Biayi

RDC – Justice : Constant Mutamba condamné à trois ans de prison, ses partisans tenus à l’écart

La Cour de cassation a tranché. Ce mardi 2 septembre 2025, l’ancien ministre de la Justice, Constant Mutamba Tungunga, a été condamné à trois ans de servitude pénale pour détournement de fonds publics. En cause : une attribution jugée frauduleuse d’un marché de 19 millions de dollars destiné à la construction d’un centre pénitentiaire à Kisangani.   En plus de la peine de prison, la Cour a prononcé à son encontre une interdiction de voter et d’être éligible pendant cinq ans. Le verdict, bien que moins sévère que les dix ans requis par le ministère public, reste un coup dur pour cet acteur politique en pleine ascension, qui n’a cessé de clamer son innocence tout au long de la procédure, affirmant que les fonds n’avaient jamais été décaissés.   Aux abords de la Cour, un important dispositif sécuritaire a empêché les partisans de Mutamba de s’approcher du palais de justice. Déçus, certains dénoncent un procès à motivation politique, évoquant une volonté manifeste d’écarter une figure montante de l’opposition.   Dans les coulisses du pouvoir comme dans les rangs de l’opposition, le jugement alimente le débat sur l’indépendance de la justice, la gestion des deniers publics et les dynamiques politiques internes à la majorité.   Nathan Kumba

RDC – Dialogue sur la paix en Afrique : entre ouverture régionale et souverainisme, la classe politique congolaise divisée

À l’approche du Dialogue africain sur la paix et la sécurité, prévu du 3 au 6 septembre 2025 à Johannesburg, les positions divergent au sein de la scène politique congolaise. Organisée par la Fondation Thabo Mbeki, cette deuxième édition suscite à la fois adhésion, prudence et rejet.   Le Cadre de concertation des forces politiques et sociales de la Nation, conduit par Seth Kikuni, a confirmé sa participation. Il voit dans ce forum continental une opportunité stratégique pour discuter des enjeux sécuritaires africains, notamment la crise persistante dans l’Est de la RDC. Une posture partagée par Delly Sesanga et son parti Envol, qui saluent une démarche panafricaine favorable à la diplomatie et à la réforme institutionnelle.   Même tonalité du côté d’Ensemble pour la République de Moïse Katumbi, qui participera activement aux échanges, misant sur la collaboration régionale comme levier de stabilité pour la RDC.   À l’opposé, Martin Fayulu et la coalition Lamuka ont décliné l’invitation. Dans un communiqué, l’ancien candidat à la présidentielle insiste sur l’urgence d’un dialogue national inclusif, porté par les confessions religieuses congolaises, en particulier la CENCO et l’ECC. Selon lui, la paix ne viendra que d’une solution endogène, émanant du peuple congolais lui-même.   Ce clivage révèle deux lignes de fracture au sein de l’opposition : d’un côté, ceux qui plaident pour une diplomatie régionale proactive, et de l’autre, les tenants d’un processus strictement interne pour résoudre les crises nationales.   Nathan Kumba

RDC – Détournement présumé : Constant Mutamba placé en résidence surveillée, la justice intensifie la pression

L’étau judiciaire se resserre autour de Constant Mutamba Tungunga, ancien ministre d’État à la Justice, désormais visé par une procédure judiciaire de grande envergure. Il a été placé en résidence surveillée à Kinshasa, sur décision du Parquet général près la Cour de cassation, dans le cadre d’un dossier de détournement présumé de 19 millions de dollars, destinés à la construction d’un centre pénitentiaire à Kisangani.   Le mandat de dépôt, signé le 1er septembre 2025 par le procureur général Firmin Mvonde Mambu, s’appuie sur l’article 68 du Code de procédure pénale, qui permet cette mesure pour garantir la comparution d’un prévenu encore libre. L’objectif : assurer sa présence à l’audience décisive prévue ce 2 septembre, devant la plus haute juridiction pénale du pays.   Selon une source judiciaire, Mutamba réside désormais sous surveillance policière dans sa maison située au quartier des Anciens Combattants, dans la commune de Ngaliema. Le commissariat provincial de la police à Kinshasa a été mobilisé pour exécuter strictement les dispositions du mandat, et tous les services de sécurité sont appelés à collaborer.   La rédaction

RDC : « Le Repos du Soldat », symbole de mémoire et d’honneur, officiellement inauguré par le Président Tshisekedi

Dans une cérémonie empreinte de solennité et de recueillement, le président Félix Tshisekedi a inauguré, ce mardi, le cimetière militaire baptisé « Le Repos du Soldat », une nécropole d’envergure nationale érigée dans la périphérie de Kinshasa, en hommage aux militaires tombés au champ d’honneur.   « Repos du Soldat est un champ d’honneur, un sanctuaire de dignité et de reconnaissance éternelle », a déclaré le Général Christian Tshiwewe Songesha, chef d’état-major des FARDC, saluant un projet inédit dans l’histoire militaire congolaise.   Implanté sur un vaste terrain de 74 hectares, ce site constitue le plus grand cimetière public de la capitale. Géré par la Garde Républicaine, il est subdivisé en plusieurs quartiers de 600 caveaux chacun, dont 51 sont déjà prêts à l’usage. Un espace y est également réservé aux civils officiels, marquant une volonté d’ouverture et de reconnaissance nationale au-delà des seules forces armées.   Prenant la parole, le chef de l’État a tenu à rendre un vibrant hommage aux militaires récemment disparus, notamment le Général-Major Peter Cirimwami, mort en opération, et le Colonel Alexis Rugabisha, tous deux qualifiés d’exemples de loyauté, de courage et d’engagement patriotique.   « Le Général-Major Peter Cirimwami a vécu et combattu en soldat ; il est tombé en soldat, dans l’accomplissement du devoir le plus sacré : protéger la Nation (…). Le Colonel Rugabisha, lui, appartenait à cette lignée de cadres qui, dans l’adversité, savaient décider et agir sans bruit, mais avec efficacité », a déclaré Félix Tshisekedi.   Dans un message à la fois ferme et porteur d’espoir, le président a promis que justice sera faite :   « Nous poursuivrons la traque de tous les auteurs, commanditaires et complices des crimes commis contre nos populations (…). Nous honorerons nos morts en agissant avec constance, discipline et sens du devoir ».   S. Tenplar Ngwadi

RDC : Hommage national aux généraux Cirimwami et Rubagisha, tombés au front

Le Président Félix Tshisekedi a présidé, ce lundi 1er septembre, une cérémonie solennelle d’hommage national en mémoire du général Peter Cirimwami, gouverneur militaire du Nord-Kivu, et du colonel Alexis Rubagisha, tous deux tombés sur le champ de bataille en début d’année. Une reconnaissance ultime rendue à deux figures de l’armée congolaise, célébrées pour leur bravoure et leur engagement dans la défense de la nation.   La cérémonie s’est tenue à Kinshasa en présence des présidents des institutions, de plusieurs membres du gouvernement, de hauts gradés des FARDC, ainsi que des familles des défunts. Le Chef de l’État, accompagné de la Première dame Denise Nyakeru, s’est recueilli devant les deux cercueils recouverts du drapeau national, saluant la mémoire de ceux qu’il a qualifiés de « soldats tombés pour la République ».   Dans un geste symbolique fort, les deux officiers ont été promus à titre posthume : le général Cirimwami au grade de lieutenant-général, et le colonel Rubagisha au rang de général de brigade. Ils ont également été admis dans l’ordre national des « Héros Nationaux Kabila-Lumumba », l’une des plus hautes distinctions honorifiques du pays, en reconnaissance de leurs loyaux services.   La cérémonie s’est poursuivie au cimetière militaire de la N’sele, baptisé « Repos du soldat », situé à une cinquantaine de kilomètres de Kinshasa. Le chef de l’État a personnellement accompagné les dépouilles des deux officiers jusqu’à leur dernière demeure, dans une atmosphère empreinte d’émotion et de solennité.   Le commandant de la Garde républicaine, le général Ephraim Kabi, a pris la parole pour saluer la mémoire des disparus et remercier le président Tshisekedi pour l’attention portée aux forces de défense. Il a notamment souligné l’importance du « Repos du soldat » comme lieu de mémoire dédié à ceux qui ont servi la République jusqu’au sacrifice ultime.   S. Tenplar Ngwadi

RDC : En attendant le verdict, les partisans de Constant Mutamba violemment dispersés par les forces de l’ordre à Kinshasa

À quelques heures du très attendu verdict dans l’affaire de détournement de fonds publics impliquant l’ancien ministre d’État en charge de la Justice, Constant Mutamba, la tension est montée d’un cran à Kinshasa. Ce mardi matin, des forces de l’ordre ont brutalement dispersé un rassemblement de ses partisans devant sa résidence, située dans la commune de Ngaliema.   Depuis plusieurs jours, des dizaines de militants s’étaient installés sur l’avenue où réside l’opposant, veillant nuit et jour en scandant des chants appelant à son acquittement. Ce climat de ferveur populaire a été stoppé net ce matin, avec une forte mobilisation de militaires et policiers, comme en témoignent plusieurs vidéos partagées sur les réseaux sociaux. On y voit des chaises en plastique renversées ou brisées, preuve de la panique et de la violence de l’intervention.   L’affaire remonte à la période où Mutamba était aux commandes du ministère de la Justice. Il est accusé de détournement de 19 millions de dollars destinés à la construction d’un centre pénitentiaire à Kisangani. Le dossier, devenu hautement médiatique, divise l’opinion publique et suscite de vives réactions dans les cercles politiques et citoyens.   Le 27 août dernier, alors que la Cour de cassation devait initialement rendre sa décision, des échauffourées avaient déjà éclaté entre partisans de Mutamba et forces de l’ordre. La forte mobilisation de ses soutiens avait contraint la Cour à reporter le prononcé du verdict au 1er septembre.   S. Tenplar Ngwadi

Haut-Katanga : la justice réhabilite Joyce Tunda, mais Kafwimbi refuse de céder

La crise institutionnelle qui secoue la mairie de Lubumbashi depuis plusieurs mois a connu un nouveau rebondissement ce lundi 1ᵉʳ septembre 2025. La Cour d’appel du Haut-Katanga a procédé à l’installation officielle de Joyce Tunda Kazadi en tant que maire intérimaire, conformément à l’ordonnance rendue par le Conseil d’État le 10 juillet dernier. Cette décision vient confirmer la légalité de sa nomination et relancer le débat sur la gouvernance de la capitale provinciale.   La cérémonie d’installation, formalisée par un procès-verbal signé par l’huissier maître Zébédée Kandolo et Patrice Kiakulenga, chef de division urbaine, a réaffirmé que Joyce Tunda demeure la seule autorité légitime à la tête de la mairie. Visiblement émue, l’intéressée a exprimé sa gratitude envers le Président de la République, la Première ministre et la justice congolaise, qu’elle a remerciés pour « avoir défendu l’État de droit ». Elle a promis de travailler au service des Lushois, en privilégiant la stabilité et la bonne gouvernance municipale.   Cependant, cette réhabilitation n’a pas dissipé les tensions. Quelques heures après la cérémonie, Patrick Kafwimbi, également reconnu comme maire intérimaire par une autre frange politique, s’est présenté à la mairie. Son arrivée, saluée par ses partisans, a entretenu la confusion et confirmé l’existence d’un conflit de légitimité persistant entre deux figures issues de l’UDPS. Cette dualité inquiète la société civile locale, qui redoute un blocage du fonctionnement administratif et un impact négatif sur la gestion quotidienne de la ville.   Depuis février dernier, la mairie de Lubumbashi est plongée dans une bataille juridique et politique. Si le Conseil d’État avait jugé illégale la nomination de Patrick Kafwimbi, le terrain reste miné par des rivalités internes et des calculs partisans. La semaine dernière déjà, l’Assemblée provinciale du Haut-Katanga avait exhorté les deux protagonistes à « privilégier l’intérêt de la population » plutôt que des ambitions personnelles. Reste à savoir si cette nouvelle étape marquera le début d’une stabilité ou prolongera l’incertitude qui paralyse la deuxième ville du pays.   La rédaction

RDC : Martin Fayulu décline l’invitation de la Fondation Thabo Mbeki et appelle à privilégier le dialogue national inclusif

Le leader de l’opposition congolaise, Martin Fayulu, a annoncé ce lundi 1er septembre 2025 son refus de participer au Deuxième Dialogue Annuel sur la Paix et la Sécurité en Afrique, organisé par la Fondation Thabo Mbeki du 3 au 6 septembre en Afrique du Sud. Dans une lettre adressée à Max Boqwana, directeur exécutif de la fondation, Fayulu exprime ses réserves quant au manque de transparence de l’événement et plaide pour un soutien accru au processus de dialogue national inclusif en cours en République démocratique du Congo (RDC).   Fayulu souligne que, à deux jours de la conférence, des informations essentielles telles que la liste des participants, les thématiques abordées, l’agenda des panels et les dispositions protocolaires restent non communiquées. Cette opacité suscite, selon lui, une certaine perplexité.   Par ailleurs, l’opposant met en avant le processus de dialogue national inclusif actuellement en gestation en RDC, piloté par les autorités religieuses congolaises issues de diverses confessions.   Ce processus, soutenu par une large majorité de la population, vise une résolution endogène, pacifique et durable des crises profondes qui affectent la nation. Fayulu rappelle également que l’Union africaine a désigné le président togolais Faure Gnassingbé comme facilitateur du processus de paix en RDC, avec le soutien de quatre anciens chefs d’État africains.   Dans ce contexte, Fayulu appelle la Fondation Thabo Mbeki à accorder la priorité au processus de Kinshasa, en encourageant la participation de l’ensemble des acteurs nationaux, sans exclusive. Il estime qu’un appui sincère à cette initiative interne, relayé à l’échelle régionale et internationale, serait non seulement pertinent et légitime, mais également porteur d’un véritable impact pour la paix durable en RDC.   Cette décision de Fayulu intervient alors que d’autres figures politiques congolaises, telles que le président Félix Tshisekedi, ont également décliné l’invitation à la conférence de la Fondation Thabo Mbeki, exprimant des préoccupations similaires quant à la transparence et à la légitimité de l’initiative.   La rédaction