Category: politique

En RDC, un changement stratégique s’est effectué à la tête de l’Inspection générale des finances (IGF). A travers une ordonnance présidentielle du 7 mai 2025, Christophe Bitasimwa Bahii est nommé inspecteur Général des Finances et chef de service de cette institution centrale dans la régulation des finances publiques. Il remplace, à cet effet, Jules Alingete Key, en poste depuis 2020. Ce renouvellement intervient dans un contexte de fortes attentes citoyennes sur la traçabilité des fonds publics et la lutte contre les pratiques illicites. Aux côtés de Bitasimwa, Emmanuel Tshibingu Nsenga a été nommé Inspecteur Général Adjoint, constituant ainsi une nouvelle équipe dirigeante appelée à impulser un souffle nouveau à l’IGF. Parmi les priorités de cette nouvelle direction : renforcer les audits des institutions publiques, détecter et sanctionner les détournements, et accompagner les réformes économiques engagées. À quelques mois d’échéances budgétaires sensibles, le gouvernement attend de cette équipe la garantisse d’une meilleure discipline financière. Cette nomination est perçue comme un signal fort du pouvoir exécutif pour réaffirmer l’engagement de l’État à lutter contre la corruption et améliorer la gestion des ressources nationales.

Un mois après la publication officielle de la Feuille de route du processus électoral 2025–2029, le Président de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI), Denis Kadima Kazadi, a visité ce mardi 6 mai 2025, l’entrepôt central de la CENI à Kingabwa pour évaluer l’état d’avancement des opérations d’inventaire et de contrôle de la fonctionnalité des matériels électoraux. Au cours de cette descente, le Président de la CENI a suivi les explications techniques fournies par l’équipe commise à cette mission cruciale. Il s’est ainsi forgé une vision claire de l’état actuel des équipements, en vue de préparer les futures opérations électorales. “Le 4 avril dernier, nous avons publié notre Feuille de route pour les élections de 2028. Une des étapes importantes consiste à faire l’inventaire du matériel d’identification et d’enrôlement des électeurs et en connaître leur fonctionnalité. Cela nous permet de savoir quels sont les problèmes majeurs que présentent nos kits électoraux. Depuis quelques semaines les machines sont en train d’être examinées. Et dans la plupart de cas, elles sont en état de fonctionnement. Bien sûr, il y a celles qui ont quelques ennuis ou parfois en panne. Tous ces problèmes sont en instance d’évaluation. Nous avons une équipe d’experts très outillés qui, à travers les logiciels, sont en mesure de déterminer les causes. Il y a des tests physiques à effectuer qui permettent de savoir si les kits électoraux sont au point ou non. Et cela nous donnera l’occasion de connaître le nombre de machines qu’il faudrait ajouter et celles qui doivent être réparées. Cet exercice permettra ainsi de déterminer les besoins en termes budgétaires”, a relevé Denis KADIMA KAZADI. Cette démarche proactive témoigne d’une volonté claire de tirer les leçons des précédents cycles électoraux, en anticipant les étapes critiques. ” Il n’y a pas de doute possible que les choses iront dans le sens souhaité. Nous avons commencé à temps contrairement au cycle électoral passé où nous étions contraints de faire du sprint durant un marathon. Cette fois-ci, on s’y est pris suffisamment à temps. Je suis optimiste et convaincu que nous allons bien évoluer. La CENI, comme d’habitude, fait toujours sa part, si les moyens suivent tout ira pour le mieux”, a-t-il confié. Cette visite marque un signal fort d’engagement de la part de la Centrale électorale, qui entend poser les jalons d’un futur processus électoral maîtrisé et crédible.

Le président du parti politique Centre, et ministre honoraire de l’industrie, Germain Kambinga n’a pas mis sa langue dans la poche après la signature conjointe d’un communiqué des opposants en rapport avec la crise sécuritaire qui prévaut dans la partie Est du pays. Dans son compte officiel Facebook, cet ancien ministre d’industrie estime que ces opposants n’ont ‘aucune ligne rouge idéologique ou des convictions, rien que la soif de prendre le pouvoir. « ils tiennent les manettes et lorsqu’ils décident d’appuyer sur le bouton Amour, ils se jettent des fleurs des bonnes odeurs, lorsqu’ils décident d’appuyer sur le bouton de haine, ils jettent des boules puantes », a déclaré Germain Kambinga. Et de poursuivre que : « La constance selon les esprits chagrins et les vaisseaux de naissance, c’est de les suivre aveuglément dans leur tango de pouvoiriste. Non ! la constance c’est vis avis de soi, des ses idées et des convictions ». Dans un communiqué conjointement signé il y a une semaine, Joseph Kabila, Moïse Katumbi, Martin Fayulu, et Delly Sessanga, placent l’initiative de la CENCO/ECC comme condition sinequanone et salvatrice à la crise sécuritaire actuelle.

L’affaire des forages et lampadaires continue de faire des vagues en République démocratique du Congo (RDC). Blanchi de toute accusation de détournement de fonds dans ce dossier controversé, l’ancien ministre des Finances, Nicolas Kazadi, a profité d’une récente interview pour dénoncer ce qu’il qualifie de “mauvais entourage” du président Félix Tshisekedi. Selon Nicolas Kazadi, ces conseillers présidentiels seraient à l’origine des rumeurs l’accusant d’avoir malversé des fonds destinés au projet d’installation de forages et de lampadaires à Kinshasa. “Tout ce qui m’est arrivé, c’est à cause du mauvais entourage du président. J’en suis victime,” a-t-il déclaré, insistant sur le fait qu’il n’a “rien à cacher.” Le projet, qui visait à installer 1000 unités solaires de pompage et de traitement d’eau dans 1000 localités pour un montant de près de 400 millions de dollars, a fait l’objet de vives critiques en raison des sommes colossales investies et des résultats jugés insatisfaisants. Trois personnalités ont été impliquées dans cette affaire. Si Nicolas Kazadi a été blanchi, l’ancien ministre du Développement rural a été condamné à trois ans de prison. L’opérateur économique Mike Kasenga a, quant à lui, été acquitté faute de preuves suffisantes. La déclaration de Nicolas Kazadi relance le débat sur l’influence de l’entourage présidentiel et alimente les spéculations quant aux réelles raisons de cet échec retentissant.

Le sénateur Papy Labila Nkalim a effectué une visite d’inspection des travaux de rénovation de la voirie à la cité Mama Mobutu, située dans la commune de Mont-Ngafula, le 1er mai dernier. L’élu d’Idiofa a exprimé sa satisfaction quant à la reprise des travaux, un projet qu’il a initié et qui bénéficie du soutien financier de l’Hôtel de ville de Kinshasa. Cette initiative a non seulement réjoui le sénateur, mais également les habitants de cette partie de la capitale, qui ont longtemps souffert de l’état dégradé des routes. Papy Labila a souligné que ce projet va au-delà de la simple réhabilitation des artères, englobant également des actions de lutte anti-érosive. « Je suis ici pour plusieurs raisons. En tant qu’élu du peuple, ma mission est de veiller à l’intérêt de la population. La cité Mama Mobutu m’est chère, car c’est ici que j’ai grandi. Les plaintes concernant l’état des routes étaient nombreuses, et nous avons plaidé auprès du gouvernement pour obtenir les ressources nécessaires. Des promesses fermes ont été faites pour un paiement imminent, et ma présence sur le terrain vise à garantir la reprise effective des travaux », a déclaré le sénateur. L’initiative a été chaleureusement accueillie par les pasteurs locaux, qui ont exprimé leur gratitude envers Papy Labila pour son engagement. « Nous sommes les premiers bénéficiaires de ce projet. L’honorable Papy Labila est l’homme qu’il nous fallait pour répondre aux besoins de notre communauté », a affirmé un représentant des pasteurs. Les habitants, également bénéficiaires du projet, se sont réjouis de cette initiative qui promet de transformer la cité Mama Mobutu. Les travaux concernent un linéaire de 10 kilomètres, marquant ainsi un tournant significatif pour l’infrastructure locale.

Les leaders de l’opposition à l’occurrence Moïse Katumbi, Martin Fayulu, Delly Sessanga et Joseph Kabila ont dans un communiqué signé conjointement le, mercredi 30 avril, réaffirmé leur soutien à l’initiative de la CENCO et de l’ECC. Selon ces figures majeures de l’opposition, cette démarche demeure la seule initiative portée par des congolais privilégiant un dialogue ouvert à toutes les parties prenantes sans exclusive. Relativement à la signature de la déclaration des principes entre le gouvernement congolais et celui du Rwanda à Washington, cette opposition congolaise note d’une part avec satisfaction une avancée significative dans la dite démarche, mais d’autre part exige la publication des accords et arrangements pris en vue d’informer dans la transparence la nation toute en entière. Elle souligne par ailleurs une avancée significative dans les pourparlers de Washington et de Doha, bien que selon eux, ils ne constituent pas une base suffisante pour une solution durable dans la crise sécuritaire à l’Est du pays. A travers cette déclaration conjointe, les signataires affirment leur position selon laquelle, la construction de la paix, de la sécurité, et de l’intégration économique sous-régionale doit plutôt s’opérer dans le respect, tant de la souveraineté permanente de chaque pays sur ses richesses et ses ressources naturelles et de la sauvegarde des intérêts économiques. « Convaincus du fait qu’aussi louable et bienvenus qu’elles soient, les initiatives des pays amis et des organisations régionales ou internationales ne peuvent remplacer les recherches, par nous congolais, des solutions à nos problèmes », a-t-on lu dans ledit communiqué, avant d’ajouter que : « Convaincus par ailleurs que toute solution qui ne prend pas en compte les causes profondes endogènes de la crise ». Pour créer des conditions optimales quant-à ce, Moïse Katumbi, Martin Fayulu, Delly Sessanga et Joseph Kabila exige le retrait de toutes les forces étrangères, et des mercenaires du territoire congolais. Il sied important de rappeler que les quatre opposants ont dans l’unanimité boycotté les consultations politiques menées par le conseillé spécial du chef de l’État en matière de sécurité en vue de la formation du gouvernement d’Union nationale, pour faire face à la crise sécuritaire qui prévaut dans les provinces du Nord et Sud-Kivu.

Profondément ému par la disparition du Pape François, le Président Félix Tshisekedi s’est rendu, ce mardi 22 avril, à la Nonciature apostolique de Kinshasa. Il a tenu à témoigner sa sympathie à Monseigneur Mitja Leskovar, Nonce apostolique, et à l’ensemble de l’Église catholique universelle. Dans le registre de condoléances, Félix Tshisekedi a salué le Pape François comme un “pasteur d’humanité rare, [qui] a incarné l’amour, l’humilité et l’espérance, guidant l’Église et le monde vers la paix et la fraternité.” Le chef de l’État a également évoqué l’impact du voyage historique du Pape François à Kinshasa en janvier 2023, où il a “prêché et prié pour la justice en faveur de la République Démocratique du Congo.” Ce voyage, marqué par des messages forts contre la corruption et la violence, avait suscité un immense espoir au sein de la population congolaise. Selon la présidence congolaise, le Président Tshisekedi et le Nonce apostolique ont également évoqué le processus de désignation du prochain Pape. Le corps du Pape François, décédé ce lundi 21 avril, est actuellement exposé dans sa chapelle, revêtu de ses ornements pontificaux. La messe funèbre se tiendra le samedi 26 avril à 10h00 sur le parvis de la basilique Saint-Pierre, présidée par le cardinal Giovanni Battista Re. Après la cérémonie, le cercueil sera transporté à la basilique Saint-Pierre puis à la basilique Sainte-Marie-Majeure pour l’inhumation. Plusieurs chefs d’État et de gouvernement y assisteront.

Le ministre d’État, ministre de l’Agriculture et sécurité alimentaire, Grégoire Mutshail Mutomb, a exprimé sa profonde tristesse suite au décès du Pape François, survenu le 21 avril 2025. Dans une publication sur le réseau X, il a déclaré : « C’est avec beaucoup de douleur que nous avons appris la disparition du Souverain Pontife. » Mutshail a souligné l’importance du message de paix que le Pape avait délivré lors de sa visite à Kinshasa il y a deux ans. En se remémorant ses paroles réconfortantes, « La paix soit avec vous », il a rappelé l’homélie poignante du Pape sur la nécessité de restaurer la paix dans les cœurs meurtris des Congolais, en particulier ceux de l’Est du pays. François avait évoqué comment la paix de Jésus peut surgir dans les moments les plus sombres, apportant espoir et vie là où règne le désespoir. Le ministre a également présenté ses condoléances à la famille du Pape François ainsi qu’à tous les chrétiens catholiques, tant en RDC qu’à travers le monde.

Suite à l’annonce du décès du Pape François ce lundi 21 avril 2025, la Première ministre de la République démocratique du Congo, Judith Suminwa, a présenté ses condoléances à la communauté catholique du monde entier. Dans un communiqué diffusé sur les réseaux sociaux, la Première ministre Suminwa a évoqué la visite historique du souverain pontife en RDC, le 31 janvier 2023, placée sous le signe de la réconciliation (“Tous réconciliés en Christ”). Elle a salué la mémoire du Pape François, le qualifiant de “grand homme de foi, de dialogue et de paix”, et soulignant son engagement constant en faveur des plus démunis, de la justice sociale et du dialogue interreligieux. Décédé des suites d’une bronchite prolongée, le Pape François laisse derrière lui un héritage marqué par sa proximité avec les populations marginalisées et sa volonté de réformer l’Église. Conformément à la constitution apostolique “Universi Dominici Gregis”, ses obsèques s’étendront sur neuf jours, avant la tenue d’un conclave dans les 15 à 20 jours pour élire son successeur. En attendant, le cardinal camerlingue irlandais, Kevin Farrell, assure l’intérim à la tête du Vatican.

Joseph Mukungubila réagit à l’annonce de l’enquête sur Joseph Kabila, estimant que cela valide ses avertissements passés sur l’implication de l’ancien président dans des actes préjudiciables à la RDC. Il réclame également la restitution de biens confisqués par les services de Kabila. Ah il était temps, disent tous les communs des mortels (tous les humains) sur toute la planète. En ce moment précis, la couronne d’épines voudrait enfin vous parler : En fin de compte : finalement ou au final, voici arriver le moment glorieux qui me permet de dire ou de prononcer un ouf de soulagement. Puis-je dire par cette occasion de bonheur que m’offre l’Éternel Dieu du Congo, de par le geste esquissé par le chef de l’État ainsi que par les ministres : de l’Intérieur et de la Justice qui viennent de prendre des mesures contre Monsieur Le M23, le rwandais Kanambe Hippolyte. Je trouve par là l’occasion de demander à tous mes compatriotes congolais qu’il serait très imprudent de ne pas tenir en compte les paroles de Sa Majesté Joseph Mukungubila lorsqu’il alerte ses compatriotes congolais autour de tout ce qui met en danger la République ou tout simplement les Terres congolaises, parce que tout ceci constitue le trésor autour duquel Mukungubila est considéré comme étant les yeux et les oreilles de l’Éternel Dieu. Ce n’est pas d’aujourd’hui que l’on devrait considérer Kanambe comme étant ennemi, c’est au contraire depuis son entrée dans le fin fond de nos forêts que Kanambe est resté et demeure le même. Il est certes vrai, que cette finesse de l’imposture nous imposée par les étrangers (que vous savez chers compatriotes identifier vous-mêmes), comme pour me répéter, cette finesse d’imposture qui nous a été imposée nous a menés tout droit vers le martyr de notre propre peuple. A cause de cette finesse d’imposture, nous avons nous-mêmes martyrisé le peuple congolais. A aucun moment, je le dis bien, à aucun moment je le répète, M. Hippolyte Kanambe, le commandant de Kagame, n’a jamais changé. Raison pour laquelle, permettez que je dise ces mots que j’ai honte de prononcer : je n’ai pas honte d’appartenir aux Lubas dans leur ensemble, ni non plus d’appartenir au peuple katangais, mon fief, parce que c’est eux, les Lubas, que ce soit du Katanga ou du Kasaï, qui ont été ciblés malicieusement par les étrangers au point de vouloir oublier que Mukungubila Joseph est leur propre progéniture. D’autres me taxaient d’être jaloux de mon frère Laurent Désiré parce que c’était son fils alors qu’il n’en était pas ainsi. Je dis comme rappel, aujourd’hui mon coeur inonde de joie ainsi que celui de tout le peuple congolais; je dirais même que ça m’a ramené, moi Joseph Mukungubila, au jour de cette date inoubliable où Monsieur Félix Tshisekedi Tshilombo, en tant que chef de l’État, avait pris la résolution de remettre le pays entre les mains du Créateur, en lui demandant de régner en maître absolu dans ce pays de prédilection. N’ai-je pas raison de dire comme se prononce le commun des mortels : il était temps, enfin ! Il était temps ! Mais il ne serait pas juste de pointer du doigt le Katanga parce que cette finesse d’imposture a été conçue et montée par l’homme étranger et envieux de nos richesses. Moi je pense que ce sont tous les Congolais qui se sont laissés berner par l’étranger. C’est pour cela, que Mukungubila a pu endurer une souffrance de presque 4 décennies pour avoir pointé, ce qui a été considéré comme une erreur, le véritable ennemi de ces Terres congolaises et de son peuple. A propos des mesures concernant l’arrestation de Monsieur Hippolyte Kanambe et de la confiscation de tous ces biens, je pense (ce n’est qu’une proposition, le gouvernement ne m’en voudra pas), qu’ils devraient me revenir à moi Mukungubila dont les avoirs ont été pillés par les services de Kanambe dans les différentes villes. Comme vous le savez c’étaient des maisons, des charrois automobiles et de l’argent liquide. En ce jour de mon bonheur et du bonheur de tous mes compatriotes, je demande à tout le peuple ainsi qu’à tous les dirigeants, en tant que l’oeil et l’oreille du Créateur, qu’il y ait réforme de toutes les institutions parce que la raison du dérapage, ce sont les représentants dans les deux chambres. Et même au moment où je suis en train d’écrire, il y a infiltration. Dorénavant, nous ne pouvons plus nous permettre d’être distraits et d’accepter les mêmes étrangers qui sont en train de nous tuer, de nous violer, de piller nos richesses, de les accepter dans nos institutions. Je vous demande de stopper ça. Lorsque les malheurs s’abattent sur nous : oh le M23 vient de prendre Goma, oh le M23 vient de prendre telle autre ville, cette épithète, ce mot-là M23, y a-t-il encore un Congolais qui ne puisse en connaître la signification ? M23 veut tout simplement dire Rwandais. Et qui sont à la base de tous ces morts que nous sommes en train d’enregistrer ? C’est nous-mêmes Congolais. Nous oublions que nous acceptons ces criminels dans nos institutions et on les met dans des bonnes places qui ne sont même pas occupées par les autochtones. Ce n’est peut-être pas le moment d’énumérer en détail toutes nos erreurs, toutes nos distractions qui permettent aux étrangers d’avoir la latitude de nous envahir complètement. Prochainement, on aura l’occasion d’y revenir largement. Permettez très chers compatriotes, sans oublier mes très chers contemporains de partout sur toute la planète, que cela ne puisse déranger de vous exprimer mon bonheur ainsi que celui du peuple pour toutes les mesures prises par le gouvernement à partir de cette date du 19 avril 2025. Que l’Éternel mon Dieu, Dieu du Pays, maintienne la position du gouvernement qui a déniché la clé de la souffrance du peuple congolais au travers les révélations de Sa Majesté Joseph Mukungubila. Pour finir, si j’ai parlé de la finesse de l’imposture nous infligée par l’étranger, Kanambe Hippolyte n’a jamais été le Congolais que