Un coup dur pour la musique gospel, la sœur Lucie Kunda du groupe Kunda sisters vient de tirer sa révérence ce lundi 08 avril 2024 au grand matin dont la cause n’est pas connue jusque là informe plusieurs de nous sources. Une chantre de l’éternel remplie de beaucoups des talents qui ne cessaient d’édifier les chrétiens et les amoureux de la musique gospel. La sœur Lucie Kunda et ses deux sœurs Élie Kunda et Péguy ont fait bouger la musique gospel depuis les années 80 jusqu’à nos jours par leurs chansons comme : “Yesu ndeko na bolingo” et tant d’autres. Il sied de noter que la sœur Lucie Kunda et ses deux sœurs Élie et Péguy sont des enfants d’un ancien diacre de l’église le missionnaire dont elles ont reçues l’encadrement de leur père biologique.
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RDC : L’industrialisation; défis et opportunités au centre de la matinée scientifique du CES-UDPS
Le Corps d’Elite Scientifique de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social CES-UDPS a respecté ce jeudi 4 avril 2024 son rendez-vous hebdomadaire de matinée scientifique, autour du thème relatif à l’industrialisation de la République Démocratique du Congo : Défis et opportunités. L’intervenant du jour, s’exprimant à la presse à la fin de la matinée scientifique, a révélé que le développement ou la croissance économique d’un pays dépend de son taux d’industrialisation. Le Vice Coordonnateur scientifique du CES-UDPS a souhaité à cet effet, que la RDC puisse augmenter son niveau d’industrialisation, qui est un projet contenu dans le programme du gouvernement à travers le plan d’industrialisation de la RDC a-t-il indiqué. Il a fait savoir en outre, que dans l’industrialisation, il existe des défis à relever qui sont de différents secteurs à savoir : Énergie, Infrastructures, sécurité ainsi que la main d’oeuvre qualifiée importante pour soutenir le processus d’industrialisation du pays. Le Prof Elysée Ilunga a reconnu par ailleurs l’importance de l’industrialisation qui consiste à créer plus industries et plus d’emplois pour les congolais, chassant ainsi le chômage et la pauvreté, telle est la vision du Président de la République Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo. Cela va permettre de répondre au marché intérieur. Si nous produisons pour satisfaire aux besoins des congolais, cela permettra que nous puissions exporter, générer des devises étrangères ainsi renflouer le trésor public. Par ailleurs, le Professeur Jean-Marie Beya a précisé que l’industrialisation constitue la base du développement. Les pays industrialisés sont souvent développés. Le Coordonnateur scientifique du CES-UDPS et Doyen de la Faculté de Polytechnique de l’Unikin, a dévoilé dans le même ordre d’idée que la prochaine grande conférence portera sur ” les préalables d’une industrialisation durable et effective. Comme préalables, il a cité les ressources humaines, l’énergie, les infrastructures, le financement, l’éducation, la liste n’est pas exhaustive, en reconnaissant qu’il faut puiser dans les détails pour définir ces préalables de l’industrialisation. Le Professeur Jean-Marie Beya a terminé par rappeler que le développement est basé sur l’industrialisation de notre économie et mêmes les 6 objectifs du Président de la République, ne peuvent être réalisables que par l’industrialisation, la création d’emplois. La sécurité, le pouvoir d’achat, l’accès aux services de base doivent passer par l’industrialisation, donc un thème capital qui peut nous aider en tant que pays qui cherche à prendre de l’envol, a-t-il conclu.
RDC : Les enjeux financiers pour l’industrialisation au centre de la matinée scientifique du CES-UDPS
Le Corps d’Elite Scientifique de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social CES-UDPS a respecté sa tradition d’organiser la matinée scientifique chaque jeudi. Il n’a pas dérogé à la règle, ce jeudi 21 mars les échanges ont tourné autour des enjeux de financement de l’industrialisation en République Démocratique du Congo. Une occasion pour le Professeur Cyprien Mulumba, de juger ce thème pertinent au regard de l’immensité du territoire de la RDC qui mérite d’être industrialisé. Pour l’intervenant du jour, les enjeux financiers de l’industrialisation nous préoccupent à travers la stratégie de la diversification. Selon lui, il existe plusieurs enjeux sur le plan financier. D’où la nécessité de se poser la question qui doit financer l’industrialisation, les capitaux publics ou privés ? Pour le Professeur à la faculté de l’économie de l’université de Kinshasa, pour industrialiser un pays immense comme la RDC, il faut que le gouvernement à travers le budget de l’État puisse consacrer une enveloppe conséquente en terme de budget d’investissement à fin de supporter l’ensemble d’ouvrages liés à l’industrialisation du pays. Un autre enjeu est lié à la lutte contre la corruption, le détournement des deniers publics en RDC. Ce dernier fait échapper beaucoup d’argent qui pouvait être investi dans des secteurs comme l’agriculture, le tourisme et la transformation des produits miniers a fait savoir le Professeur Cyprien Mulumba. Ajouter à cela, la lutte contre le blanchiment des capitaux et du financement du terrorisme. Également Professeur à la faculté de pétrole et gaz, Cyprien Mulumba a fait remarquer que tous ceux qui opèrent dans notre pays, que ça soit les banques ou les industries minières, elles doivent faire en sorte que les bénéfices qu’elles génèrent par leurs activités soient réinvestis autant de fois dans l’économie pour permettre à ce que les revenus soient créés et les emplois ainsi que l’économie devienne diversifiée. Abordant la question de la monnaie, il a expliqué que lorsqu’on détient un billet de banque, la monnaie est un instrument qui sert de moyen de change, d’unité de compte et de réserve de valeur. Ce billet de banque ne vous appartient pas parce qu’il est l’attribut de la souveraineté nationale. Ce billet doit être gardé à la banque et vous devez avoir un titre qui représente la monnaie que vous avez pour pouvoir effectuer vos paiements. Vous n’avez pas besoin donc de vous trimballer avec les billets de banque au risque de sombrer dans la thésaurisation. Par ailleurs, présent à cette matinée scientifique, le Professeur Elysée Ilunga a rappelé un élément important, qu’au niveau du CES-UDPS, chaque jeudi les matinées scientifiques sont organisées pour discuter autour des différents sujets d’actualité et autres thèmes intéressants qui touchent le développement de notre pays. Les différents orateurs; Professeurs d’universités ou cadres d’entreprises viennent présenter et expliquer le sujet aux membres de la structure et du parti. Le Vice Coordonnateur scientifique du CES-UDPS a précisé que le but poursuivi par les matinées scientifiques est de mener des réflexions sur une thématique donnée qui serviront au gouvernement et décideurs de les intégrer dans leurs politiques mais aussi ces échanges sont bénéfiques pour tous. Concernant le thème du jour, le Professeur Elysée Ilunga a rappelé la volonté du Président de la République Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo qui veut faire des congolais, des millionnaires. Cela n’est possible que par la création d’entreprises dont le financement peut provenir du secteur public comme privé a-t-il conclu.
RDC: Magdallah Kasonga remercie Felix Tshisekedi pour le choix de Judith Suminwa au poste de Premier ministre
Félix Tshisekedi a nommé une femme au poste de Premier ministre en République démocratique du Congo, en la personne de Judith Suminwa Tuluka. Elle est depuis une année ministre du Plan au gouvernement Sama Lukonde 2. Dans une communication parvenue à la rédaction de Yaelnews, le même jour de cette nomination, la coordonatrice internationale des dépendants des militaires et policiers, Magdallah Kasonga , remercie premièrement le président de la République, Félix Tshisekedi , pour avoir redoré encore une fois de plus l’image de la femme , à cette même occasion, elle félicite Mm Judith Sumimwa , pour sa nomination au poste du Chef du gouvernement. “ Le président, Félix Tshisekedi est en train de montrer à la population congolaise ainsi que le monde entier, la parité qui est entre une femme et un homme. Lors de mon passage sur la chaîne du peuple d’abord TV, j’avais bien souligné que la femme est un canal de paix. Pour dire si la femme peut détruire, donc elle peut construire aussi, donc donnons la chance à notre à notre premier ministre, Mm Judith Sumimwa et ensemble avec ma communauté, nous la souhaitons un fabuleux mandat au sein du gouvernement”, a déclaré Magdallah Kasonga. Pour rappel, avant d’être ministre du Plan, Mme Tuluka, qui est membre de l’UDPS, était experte nationale dans un projet d’appui communautaire dans l’Est du pays. Elle a ensuite travaillé au cabinet du ministère du Budget avant de devenir coordonnatrice adjointe du Conseil présidentiel de veille stratégique (CPVS). Judith Suminwa Tuluka est la première femme à occuper le poste de Premier ministre en République démocratique du Congo.
RDC : Clôture du forum des femmes leaders sur la réduction de la mortalité maternelle, l’égalité du genre et l’autonomisation des filles et femmes
Après trois jours d’intenses réflexions, le forum des femmes leaders sur la réduction de la mortalité maternelle, l’égalité du genre et l’autonomisation des filles et femmes en RDC s’est clôturé, ce jeudi 28 Mars 2024, à Kinshasa, en République Démocratique du Congo. Ce forum organisé par la Première Dame de la République, Denise Nyakeru Tshisekedi en collaboration avec le gouvernement congolais et ses partenaires au chapiteau de l’OUA, s’est clôturé par le lancement d’un nouveau projet dénommé “Nous sommes tous égaux”. Ce nouveau projet lancé par Denise Nyakeru Tshisekedi est l’initiative de l’association des Premières Dames d’Afrique, d’après Nathalie Kambala, Directrice pays de l’ONG Femme main dans la main pour le développement intégral (FMMDI) qui a participé activement à ce forum de trois jours, plusieurs résolutions ont été faites et les recommandations lues par les femmes leaders. Revenant sur le déroulement de ce forum, Nathalie Kambala trace les activités menées pendant les 3 jours de travail. Quelques grandes questions de discussion dans ce forum ont tourné autour des stratégies de la mise en garantie le respect des droits de la santé de reproduction et l’autonomisation des filles et femmes en RDC et les résultats prioritaires d’ici 2030, financement des questions du genre, l’autonomisation de la santé de la mère et du nouveau né, les enjeux, défis et perspectives ; ainsi que les ressources humaines de qualité pour la promotion de la santé de la mère et du nouveau né en RDC, les situations des sages femmes, des médecins obstétriciens, des pédiatres infirmiers et anesthésistes ont été abordées le premier jour. Le deuxième jour a été destiné à la visite dans le village Bomoko Ya Muasi dans la commune de N’djili où il y a eu présentation des actions que mènent les femmes en rapport avec la santé maternelle et de la reproduction ainsi que l’autonomisation de la femme. Ici il a été rappelé aux certains droits notamment : l’enregistrement de mariage civil et des enfants à l’état civil, le droit à l’héritage, l’autonomisation ainsi que la lutte contre les VBG. Le troisième jour consacré au rappel du rôle et responsabilité des femmes leaders dans la promotion de la santé de la mère et l’enfant pour améliorer l’accès de l’utilisation des services ainsi que l’autonomisation des femmes en RDC.
RDC : La réunion de conjoncture économique conclut des mesures pour la valorisation du franc congolais
Le premier ministre, Jean-Michel Sama Lukonde a présidé, ce mercredi 27 mars 2024, à Kinshasa, la réunion de conjoncture économique. Cette réunion qui a réuni quelques membres du gouvernement notamment le ministre du Budget et celui des Finances était élargie à la Fédération des Entreprises du Congo (FEC). Le Chef su gouvernement a lancé, par ailleurs, un appel à la FEC pour la matérialisation la mesure d’installation des terminaux de paiement électronique dans les commerces afin de favoriser les transactions en monnaie nationale. C’est ce qu’a rapporté le ministre du Budget, Aimé Boji qui a rendu compte de cette réunion devant la presse. « On a épinglé certaines mesures urgentes qui s’imposent, notamment celles visant à inciter les consommateurs à utiliser de plus en plus le franc congolais comme monnaie de préférence, notamment avec la mise à disposition des terminaux de payement dans les supermarchés et dans les autres lieux de commerce pour permettre à ce que les consommateurs puissent utiliser le franc congolais », a fait savoir Aimé Boji. Notons qu’au mois de janvier 2024, lors de la réunion du comité de conjoncture économique, le gouvernement avait noté que les mesures prises par la Banque Centrale du Congo à la fin de l’année 2023, avaient permis d’éviter la grande dépréciation monétaire. Ainsi, avaient-ils conclu à la maximisation de la production locale en vue de redonner de l’embellie à la monnaie locale qui est le franc congolais.
RDC : Les femmes s’engagent à accélérer les progrès en faveur de la réduction des décès maternel et néonatal
C’est ce mardi 26 Mars 2024 qu’est ouvert le forum des femmes leaders sur la réduction de la mortalité maternelle, l’égalité du genre et l’autonomisation des filles et femmes en RDC, par Denise Nyakeru à la cité de l’ OUA à Kinshasa capital de la République démocratique du Congo. Ces travaux de trois jours sont organisés sur initiative de la première dame, Denise Nyakeru en collaboration avec le gouvernement congolais et ses partenaires techniques et financiers, les bailleurs, le secteur privé et le bureau conjoint du Chef de l’État. Participant à ce forum, Nathalie Kambala, Directrice pays de l’ONG Femme main dans la main pour le développement intégral (FMMDI) remercie l’UNPA RDC pour avoir identifié FMMDI parmi les structures qui luttent contre les VBG-AES-HS en République démocratique du Congo. D’après Nathalie Kambala, ce premier jour était caractérisé par les allocutions des officiels et de présentations des panels sur plusieurs thématiques. Pour ce mercredi, une visite est prévue sur terrain dans le district de Tshangu pour rencontrer les femmes vulnérables. A l’issue de ces travaux, trois objectifs devront être atteint notamment : Organiser un dialogue politique de haut niveau pour accélérer les efforts en faveur des droits de la maternelle et néonatale, l’égalité du genre et l’autorisation de la femme, rencontrer les femmes autour d’un village dénommé “Bomoko ya Muasi” ; lancer un appel à l’action en faveur de la santé maternelle, les droits et l’autonomisation des femmes.
Société : l’UPN et l’ISP organisent une conférence pour le mois de la femme
Dans le cadre de la Journée Internationale de la Femme (8 Mars), celle de la Francophonie (20 Mars), celle de la Langue Maternelle (22 Mars), et celle de la poésie (21 Mars) célébrée chaque année, la faculté des lettres et sciences Humaines de l’Université Pédagogique Nationale (UPN) en collaboration avec le CRESEDIP de l’Institut Supérieur Pédagogique de la Gombe organisent une conférence. Cette conférence aura lieu le vendredi 22 Mars 2024, au sein de l’Université Pédagogique Nationale, dans la commune de Ngaliema, à Kinshasa. Cette activité sera placée sous le thème « Mars, mois de la Femme et littérature dans un joyau à l’orée des volcans de Jacques Fumunzanza ». Par ailleurs, le professeur Florent Babaapu, doyen de la faculté des lettres et sciences humaines à l’UPN, M. Justin Mwamba, chef de CRESEDIP et le doctorant Georges Songabo, secrétaire de CRESEDIP, seront les principaux animateurs de cette conférence.
Tribune : « ceux qui attaquent la levée du moratoire sont complices des ennemis de la RD Congo »
La levée du moratoire sur la peine de mort en République Démocratique du Congo est une mesure nécessaire et urgente pour protéger notre nation contre les traîtres et les criminels qui sapent la sécurité et la stabilité de notre pays. Depuis 2003, ce moratoire a été maintenu par des considérations de clémence, mais face aux défis sécuritaires et existentiels actuels, il est temps d’agir avec fermeté. Les traîtres qui vendent des informations à l’ennemi ne méritent aucune pitié. Leurs actes perfides alimentent la guerre qui nous oppose au Rwanda, entraînant la perte de vies humaines innocentes et mettant en danger la sécurité de notre nation. Il est temps de rendre justice à ceux qui trahissent leur patrie, qu’ils soient de l’armée, des services de sécurité, de la police ou civils. En parallèle, le fléau du banditisme urbain qui sévit depuis des décennies dans nos villes doit être éradiqué. Des vies innocentes sont perdues chaque jour à cause de la violence de ces criminels. Il est de notre devoir de protéger nos concitoyens et de mettre fin à cette menace. Pour ceux qui critiquent la décision du gouvernement, je les invite à confronter la réalité brutale de ces crimes. Qu’ils argumentent devant les fils et filles qui ont vu leurs proches assassinés, des mères enceintes à qui on a découpé des ventres, par des terroristes qui ont gagné du terrain a cause de perfidie de certains des nôtres, sans scrupules. Qu’ils se tiennent devant les familles des soldats tombés au front non pas puisque le gouvernement n’a pas donné la logistique nécessaire mais juste en raison de la trahison de leurs frères d’armes. Comparons-nous aux États-Unis, première démocratie du monde, où la peine de mort est appliquée pour des crimes graves. Pourquoi devrions-nous être plus cléments envers ceux qui déchirent le tissu même de notre société ? Dans notre marche vers un avenir meilleur, nous devons être prêts à prendre des mesures difficiles pour assurer la sécurité et la stabilité de notre nation. Comme le peuple de Dieu guidé par Josué, nous devons nous dresser contre ceux qui trahissent et dérobent, pour assurer un avenir sûr pour nos enfants. Certains peuvent tenter de politiser cette question, mais je refuse de sacrifier la sécurité de notre nation pour des gains politiques. Certains vont jusqu’à se cacher derrière l’article 61 de notre loi fondamentale. Je tiens a leur dire ceci: Cet article de la Constitution congolaise garantit certains droits fondamentaux, notamment le droit à la vie, l’interdiction de la torture et des peines inhumaines, et le principe de légalité des infractions et des peines. Cependant, la levée du moratoire sur la peine de mort ne serait pas nécessairement contraire à cet article si des conditions strictes sont respectées. 1. La peine de mort est envisagée dans ce cas ci dans le cadre de crimes particulièrement graves, où d’autres peines ne seraient pas suffisantes pour dissuader ou punir adéquatement les auteurs; 2. Le gouvernement a promis des garanties procédurales strictes qui sont mises en place pour assurer un procès équitable et éviter les erreurs judiciaires, cela est conforme au principe de légalité des infractions et des peines. 3. La levée du moratoire sur la peine de mort est limitée dans son application, ne s’appliquant qu’à des circonstances exceptionnelles et avec des garanties procédurales renforcées pour protéger les droits des accusés mesquins. À mort les traîtres, et que leur mémoire soit maudite pour l’éternité.
Contentieux des législatives : Le front des dépendants de militaires et policiers récupère un siège dans la circonscription de Mont Amba !
La Cour constitutionnelle, siégeant en matière de contentieux des résultats des législatives nationales de décembre 2023, a réhabilité, mardi 12 mars, plus de 40 députés nationaux. après près de deux mois de la publication provisoire des législatives par la Commission électorale nationale indépendante (CENI), le front des dépendants des militaires et policiers, qui est coordonné par Sébastien Mabunda Kazaka , a réussi de récupérer un siège dans le district de Mont Amba, il s’agit de Hermione Balumbe Bakando. À Cette même occasion , le front des dépendants des militaires et policiers félicite le député nationale Hermione Balumbe pour sa brillante élection. «Nous étions tous stressés, car on a battu campagne dans tous les coins de la République Démocratique du Congo , afin de pousser les dépendants des militaires et policiers au parlement , pour défendre notre communauté, malheureusement la réalité politique a décidé autrement, on avait aucun député au sein de notre structure, mais après les recours, on a réussi à récupérer même un siège dans la circonscription de Mont Amba , c’est vraiment une bonne chose pour notre structure, nos sincères félicitations à notre élue , madame Hermione Balumbe pour sa brillante élection », à déclaré Sebastien Mabunda Kazaka. Cette structure des dépendants des militaires et policiers , qui est coordonné par Sébastien Mabunda Kazaka ,encourage félicite aussi les candidats malheureux du front. «Soyons tous unis , même ceux là qui n’ont pas été élus , nous vous demandons à ne pas baissé les bras, nous devons savoir que dans la politique, il y’a plusieurs réalités, nous devons également assumer nos erreurs, pour mieux corriger dans le futur. Nous devons pas attendre 2028 pour se préparer, c’est maintenant ou jamais. Soutenons tous notre député nationale, pour son mandat au sein de l’ Assemblée nationale, afin qu’elle réalise ses projets pour le bien de notre communauté », a-t-il ajouté. Signalons que le front des dépendants des militaires et policiers, avait réuni les femmes ainsi que les enfants des militaires avant la tenue des élections du décembre 2023, pour exhorter aux dépendants des militaires de voter uniquement les candidats de cette structure.