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Football : Pas de stage pour la RDC, Sébastien Desabre s’y oppose !

Prévu initialement au mois de mars en Turquie, le stage des léopards de la RDC annulé par le sélectionneur congolais Sébastien Desabre suite à un désaccord entre lui et le gouvernement. Cependant, cette sélection a un match très important au mois de juin prochain à Dakar face aux lions de la teranga du Sénégal pour le compte de la troisième journée des éliminatoires du mondial Canada, USA et Mexique 2026. Par ailleurs, le sélectionneur congolais tient à la rediynamition de cette équipe congolaise. “Selon mon plan prévu pour ce stage, ce n’était pas de jouer les matches amicaux, plutôt c’était pour redynamiser l’équipe et revoir l’effectif des joueurs. S’intéresser aussi aux joueurs locaux et ceux qui évoluent au continent mais aussi les U20 et 21 qui ont pris part dernièrement en Tunisie”, a-t-il fait savoir. Rappelons ceci, la RDC était 4e lors de la récente CAN Côte d’Ivoire 2023 après avoir été battue par les bafana bafana d’Afrique du Sud en match de classement. Pour le compte des éliminatoires du mondial Canada, USA et Mexique 2026, elle occupe la 3e place avec 3 points derrière le Sénégal 1e et le Soudan 2e avec chacun 4 points.

[Tribune]: « Félix Tshisekedi, Artisan de la Paix en Afrique Centrale »

Dans l’arène tumultueuse des affaires mondiales, où les bruits de bottes résonnent souvent plus fort que les appels à la raison, émergent parfois des figures rares, des leaders dont la lumière éclaire le chemin vers un avenir empreint de paix et de fraternité. Aujourd’hui, il est impérieux de reconnaître en la personne du Président Félix Tshisekedi, Chef de l’État de la République Démocratique du Congo (RDC), un véritable artisan de la paix en Afrique centrale. La RDC, fière de sa puissance militaire imposante, pourrait aisément subjuguer son voisin rwandais, tant sur le plan des effectifs que sur celui des ressources allouées à son armée. Pourtant, loin de céder aux chants des sirènes belliqueuses, le Président Tshisekedi a opté pour une voie plus noble, celle de la paix. Il aurait été tentant pour le Président Tshisekedi de se laisser séduire par la force brute et de tenter d’imposer sa volonté par la violence. Mais au lieu de cela, il a préféré œuvrer pour la stabilité et la coopération régionale. Son leadership éclairé et sa vision à long terme ont permis d’éviter un embrasement potentiel dans une région déjà meurtrie par les conflits et les rivalités. *La décision du Président Tshisekedi de privilégier la voie de la paix ne découle pas d’une crainte de l’échec militaire, mais d’une conviction profonde, ancrée dans l’humanisme et la morale*. Il comprend que la véritable grandeur d’un leader réside dans sa capacité à sauvegarder des vies humaines et à promouvoir le bien-être de son peuple, plutôt que dans sa capacité à remporter des batailles sur le champ de bataille. Certes, la RDC se classe parmi les puissances militaires les plus éminentes en Afrique (8ieme) et dans le monde (72ieme), tandis que le Rwanda ne figure même pas sur cette liste. Mais renoncer à une confrontation armée ne relève pas de la lâcheté, mais plutôt de la sagesse et du respect de la vie humaine. Comme l’a si justement exprimé Marc Aurèle : “Ne pas admettre que les méchants fassent des fautes, c’est exiger l’impossible”. Ces terroristes et leur maitre a penser kagame ne feront que le pire auquel ils sont habitués depuis 1996. Mais a nous de decider et de donner une chance ultime a la voie du dialogue mais pas a n’importe quel prix. Il est temps de choisir une autre voie pour la region des grands lacs, celle de la paix et de la diplomatie, pour offrir à nos enfants et aux générations futures un avenir empreint de sécurité et de prospérité. En choisissant la voie de la paix, le Président Tshisekedi adresse un message fort au monde entier : la résolution des conflits ne passe pas nécessairement par la violence, mais par le dialogue, la diplomatie et le compromis. Son exemple inspirant nous rappelle que la paix est non seulement possible, mais aussi indispensable pour bâtir un monde plus juste et plus harmonieux. Car là où de manière aveugle les rdf et leurs supplétifs du m23 peuvent bombarder sans état d’âme, notre armée ne le peut, car pour elle la vie humaine est sacrée. Kishishe en a été la preuve, ou des populations ont été massacrées sans pitié par ces terroristes sans ames. Et même récemment à saké, ces derniers ont bombardé un marché en plein jour. En reconnaissant et en célébrant le leadership du Président Félix Tshisekedi en tant qu’artisan de la paix en Afrique centrale, nous rendons hommage non seulement à sa personne, mais aussi aux valeurs universelles de paix, de tolérance et de solidarité qui sont essentielles pour édifier un avenir meilleur pour tous. Dans pensée pour moi-même, Marc aurele a dit : “ne punit que celui qui a commis le crime”. L’homme à blâmer c’est kagame et sa bande, ainsi que leurs thuriféraires. Ni le peuple rwandais, encore moins le vaillant peuple congolais n’ont à subir la sueur, le sang et la poussière d’une guerre voulue et souhaitée depuis 1997 par le tipotipo des temps modernes.

[Tribune] : « Retour en arrière avec la levée du moratoire sur la peine de mort »

Le Conseil Supérieur de la Défense de la République démocratique du Congo a récemment recommandé la levée du moratoire sur la peine de mort, suscitant des inquiétudes quant à la régression des droits de l’homme dans le pays de Kimpavita, Kimbangu et Lumumba. Une proposition faite lors de la réunion du Conseil Supérieur de La Défense du 5 février dirigée par le président de la République Felix Antoine Tshisekedi, est préoccupante à plusieurs égards. *Une situation aberrante qui va plonger notre pays dans un rétropédalage malsain en matière judiciaire qui va renvoyer le pays à l’antiquité.* La proposition de réintroduire la peine de mort, principalement pour les militaires accusés de trahison, soulève des questions fondamentales sur la justice et l’humanité. Alors que le monde progresse vers l’abolition de la peine capitale, la RDC semble faire des pas en arrière, adoptant une mesure qui évoque des temps plus sombres de l’histoire. Ce qui est particulièrement troublant, c’est le contraste apparent entre cette politique et la présence de figures politiques au sein du gouvernement, dont certaines ont été pardonnées pour des actes similaires dans le passé. Il est difficile de ne pas noter l’hypocrisie qui règne alors que des personnalités impliquées dans des épisodes douteux de l’histoire récente occupent des postes de pouvoir et semblent promouvoir une politique de deux poids, deux mesures. Parmi ces figures controversées, on retrouve l’actuel vice-premier ministre de la Défense, rappelant l’amnésie sélective du gouvernement en matière de justice. Comment peut-on sérieusement envisager d’appliquer la peine de mort tout en laissant impunis certains individus responsables d’actes tout aussi graves dans le passé ? En cette ère du 21e siècle, où la tendance mondiale est à l’abolition de la peine de mort, la RDC risque de s’isoler en adoptant une approche aussi draconienne. Plutôt que de favoriser la réconciliation et la construction d’une nation pacifique, cette mesure risque de semer la division et d’encourager une culture de la vengeance. Il est impératif que la RDC reconsidère cette décision et s’engage sur la voie de la modernité en respectant les normes internationales des droits de l’homme. Les citoyens méritent une justice équitable, dépourvue de compromis et exempte d’hypocrisie. La levée du moratoire sur la peine de mort est une régression inacceptable qui appelle à une réflexion approfondie sur les valeurs fondamentales du pays.

Ce programme ambitieux de Guy Mafuta pour la remontada du Kasaï

Candidat en course au gouvernorat du Kasaï, le député doublement élu de Tshikapa ville et territoire, Guy Mafuta Kabongo n’a pas tardé à présenter peu à peu les piliers de son programme d’actions, une fois élu gouverneur de province. Sur sa page Facebook, l’élu de Tshikapa va de la politique au sport en passant par l’environnement et l’économie, cela en touchant tous les 5 territoires du Kasaï sans oublier son chef-lieu Tshikapa dont il entend «faire la ville la plus coquette de la RDC». Guy Mafuta Kabongo connaît le Kasaï À lire les piliers du programme, le candidat Guy Mafuta Kabongo prouve à suffisance qu’il connaît parfaitement le Kasaï et ses programmes. Le premier cas, c’est quand il promet d’aborder la détérioration du tissu environnemental du territoire de Luebo. Aux Londoniens (appellation pour habitants de la ville de Luebo) Guy Mafuta fait une unique promesse : «Les érosions de Luebo n’emporteront pas ma ville». Cette promesse vaut son pesant d’or car la ville de Luebo, ancien chef-lieu du District du Kasaï, risque de disparaître de la carte du Kasaï si jamais des mesures adéquates ne sont pas prises en aval par le gouvernement provincial. La cité d’Ilebo, ex Port Franquis, étant le maillon de connexion du Kasaï au fleuve congo, le candidat Guy Mafuta y insiste dans son programme «La réhabilitation du port d’ilebo est la priorité des priorités».Sur le plan économique. Il entend créer un Fonds provincial pour financer des projets des jeunes. À l’en croire, ce Fonds devrait «encourager les jeunes à s’organiser en associations, identifier leurs vrais besoins;financer les projets porteurs; et favoriser la création des chaînes de valeurs.». Guy Mafuta n’a pas oublié le diamant de Tshikapa, d’où il promet de résoudre certains faits qui ont toujours fait obstacles à l’accès de la population du Kasaï à l’exploitation de ces pierres précieuses. «Les diamants du Kasaï aux populations locales, je le ferai: déchoir certains les miniers non en ordre;transformer quelques uns en zone d’exploitation artisanale;favoriser les créations des coopératives des jeunes; créer aussi des zones agricoles avec accès préférentiel aux jeunes et femmes.Nous aurons des produits agricoles transformés à Tshikapa Made in Tshikapa je vous le dis en vérité.» Le candidat Guy Mafuta promet de mouiller également le maillot pour la cohésion provinciale. D’où il entend inscrire son mandat dans la lutte contre la haine tribale «la tribu ne développera jamais le Kasaï, mais les idées.Alors débattons autour des idées s’il vous plaît.Le Kasaï ne se développera jamais sans un Plan directeur de transport (PDT).J’y travaille.Ça ne sera jamais mon affaire personnelle, nous travaillerons ensemble, main dans la main pour sauver le Kasaï». Mécène sportif et président du club de football AC Dibumba, Guy Mafuta entend remonter le niveau des sports au Kasaï, une fois élu gouverneur. D’où il se lance un défi. «T.P Mazembe, V-Club et autres viendront jouer à Tshikapa et on les battra chez nous, je vous le promets.Ainsi la réhabilitation du stade, l’homologation de ce dernier par la FECOFA;et la montée des clubs de Tshikapa à la ligue 1 restent un défi pour moi.». Le Kasaï, une province désarticulée et surendettée par le gouverneur sortant, Dieudonné Pieme, a besoin d’un gouverneur manager pour affronter les défis. Dans pareils cas, Guy Mafuta Kabongo présente un profil idéal pour gérer la province. On lui reconnaît l’esprit managérial, sa passion pour la culture du Kasaï, son engagement comme mécène sportif, sa communion avec la jeunesse, sont entre autres atouts qui poussent les Kasaïens à jeter leur dévolu sur lui. Rendez-vous aux urnes !

Un tribunal pénal international sur les massacres commis en RDC exigé en Belgique

Dans une conférence de presse organisée ce jeudi à Bruxelles en Belgique, le collectif des élus et mandataires belges d’origine congolaise exige la création d’un tribunal pénal international sur les massacres commis en République démocratique du Congo (RDC ). À cette occasion, ce collectif a invité les pays de la communauté internationale à reconnaître enfin qu’un génocide est en cours de perpétration en RDC depuis des années. « …Nous exigeons haut et fort la création d’un tribunal pénal international en vue de juger les seigneurs de guerre, de mettre fin à l’impunité et de réparer les préjudices causés par toutes ces atrocités », ont-ils expliqué. Notons que cette sortie médiatique a connu la participation de plusieurs politiciens d’origine congolaise, réunis pour la première fois sans distinction de tendance politique.

RDC : le syndicat de la DGI n’est pas contre le DGA Abdon Etina

Contrairement aux nouvelles répandues sur les réseaux sociaux, aucun membre du syndicat de la Direction Générale des Impôts (DGI) n’est contre le Directeur Général Adjoint Abdon Etina Bekile. Après vérification, il s’agit plutôt d’une intox dont l’auteur est bien identifié. « C’est un journaliste bien identifié qui se fait passer pour un maître chanteur de grand chemin. C’est un escroc connu des services judiciaires du pays. Il n’est pas à son premier coup. Il bouffe à tous les râteliers. En effet, ce monsieur a pris le plaisir de colporter depuis un temps, les informations du groupement AAAP vers le groupement APOCM dont Abdon Etina est leader. Et de rapporter aussi les nouvelles d’APOCM vers AAAP. Et ce, en espérant être payé en retour. Repoussé et n’ayant pas trouvé gain de cause à l’APOCM, il a jugé bon de faire des chantages à son leader. Il attise le feu sur les réseaux sociaux et certains médias fictifs pour ses propres intérêts en ternissant l’image du groupement AAAP. Toutefois, l’opinion doit retenir que tout ce qu’il a raconté sur Abdon Etina, c’est faux », racontent les proches de ce haut responsable de la DGI. D’après les rumeurs publiées sur la toile, le syndicat de la DGI aurait mis en garde Abdon Etina car il serait cité dans plusieurs dossiers sales de la République.

RDC : Modeste Bahati démissionne de son poste de président du Sénat

Le président du Sénat, Modeste Bahati Lukwebo a démissionné, mardi 20 février 2024, de son poste. “L’honorable Modeste Bahati a rénoncé à ses fonctions de président du Sénat pour siéger à l’Assemblée nationale. Il a écrit au bureau d’âge et au président de la République”, a déclaré à l’ACP, Jimmy Mulumba son Conseiller en Communication. Notons que Modeste Bahati Lukwebo est président de la chambre haute du parlement depuis le 02 mars 2021 après avoir assumé les fonctions de l’informateur en janvier 2021 en vue d’identifier la majorité parlementaire qui a conduit à la formation du gouvernement Sama Lukonde.

RDC: Auguy Kalonji retenu dans l’équipe de l’informateur

Doublement élu député national et provincial à Kinshasa, Auguy Kalonji est retenu dans l’équipe de l’informateur Augustin Kabuya. Il a lui-même fait cette annonce lundi 19 février via son compte X. «Nous avons été retenus dans l’équipe technique de l’informateur Augustin Kabuya. Au sein de cette équipe, nous travaillons d’arrache-pied pour mener à bon port ce travail qui est consideré comme une étape clé en vue de la formation du prochain gouvernement. Merci à l’infornateur Augustin Kabuya pour la confiance placée en ma modeste personne», a écrit Auguy Kalonji. L’informateur Augustin Kabuya a officiellement entamé ses consultations le week-end dernier, en vue de trouver une majorité à l’Assemblée nationale.

Nord-Kivu : L’aéroport de Goma visé par des bombardements présumés du M23

L’aéroport international de Goma a été visé par un drone dont les origines ne sont pas encore déterminées. L’information est confirmée par plusieurs sources qui rapportent qu’un avion de chasse congolais aurait même été touché sur le tarmac. Les autorités militaires congolaises ne se sont pas encore prononcées sur le dossier mais nombreuses affirmations l’indiquent. A les en croire, il s’est agi des drones kamikazes silencieux qui ont tenté de pulvériser l’avion sukhoi congolais vers 2h du matin de ce samedi 17 février avant d’être repéré par les services. Un incident enregistré au moment même où un mini-sommet se tient à Addis-Abeba (Ethiopie) sur le conflit entre la République démocratique du Congo et le Rwanda. La partie congolaise accuse constamment Kigali d’être au Congo via le M23 pour déstabiliser le Nord-Kivu. Des accusations que le gouvernement rwandais rejette régulièrement. Il faut rappeler qu’il y a quelques jours, d’autres bombardements ont visé Mugunga, quartier périphérique de Goma où ils ont fait des blessés. Des affrontements se poursuivent à une trentaine de kilomètres de la ville, les troupes gouvernementales continuent de faire face à la rébellion qui ne semble pas prête à désarmer.

RDC : Après sa rencontre avec l’informateur Augustin Kabuya, le Nouvel Élan de Muzito exprime ses attentes

L’ancien premier ministre Adolphe Muzito a rencontré l’informateur Augustin Kabuya, le vendredi 16 février à l’hôtel Hilton, à Kinshasa. Et ce, accompagné des haut-cadres de son parti le Nouvel Elan. Pendant plus ou moins 1 heure, les deux parties ont échangé dans le cadre des consultations initiées en cours au pays, pour identifier la nouvelle majorité au sein de l’Assemblée nationale, qui va permettre au Président de la République de former un nouveau gouvernement. « Nous attendons une équipe du gouvernement qui va conduire le pays selon les attentes de la population. Le nouvel Élan a présenté à l’informateur le programmé que l’ancien premier ministre Adolphe Muzito avait mis en place pendant la campagne électorale. Après, nous avons suivi aussi la présentation de la mission de l’informateur. Les deux partis se sont mises d’accord autour de certains nombres des points par rapport à la marche de la république et aux réformes que nous devons engager pour faire avancer le pays. Toutefois, la primeur de ce qui a été conclu est réservée à l’informateur, qui va le dévoiler à la fin de sa mission au Président de la République », a dit Blanchard Mongomba, Secrétaire Général du Nouvel Elan. Ce dernier a, au nom de son parti, encouragé l’informateur de bien mener sa mission afin d’aboutir à un résultat satisfaisant pour le peuple congolais. « La mission de l’informateur est constitutionnel. N’ayant aucun parti ou regroupement qui a pu avoir la majorité absolue, le Chef de l’État ne pouvait que passer par lui pour matérialiser la coalition qui va l’aider à avoir une majorité parlementaire… Nous ne pouvons que donner une chance à la mission de l’informateur pour faire le rapport au Président de la République dans le délai. Il faut noter que les attentes de la population sont multiples. Nous attendons une équipe gouvernementale qui va prendre à bras-le-corps les problèmes du peuple. L’intégration du Nouvel Elan au prochain gouvernement, ce n’est pas de la magie. Tout est possible. C’est question de discuter comme nous venons de le commencer avec l’informateur. Le reste pourrait arriver. Le plus important, nous sommes pour l’avancement de la république. Toutefois, après le travail de l’informateur, le Nouvel Elan va faire une communication officielle pour annoncer sa nouvelle vision par rapport au combat qui consiste à faire développer le pays », a conclu Blanchard Mongomba. Lors de son point de presse du 15 février dernier, l’informateur Augustin Kabuya avait exprimé le vœu de n’ exclure personne dans sa mission pendant les consultations.