Dans un incident alarmant qui a suscité l’indignation, le ministre provincial de l’Intérieur du Kongo central, Constant Mamvidila, a ordonné de fouetter publiquement un homme dans le village de Kilawu. Cette violation flagrante des droits humains a été largement condamnée par les défenseurs des droits de l’homme.
Cet acte barbare et dégradant constitue une atteinte aux principes fondamentaux de la justice et de la dignité humaine. L’humiliation publique d’un individu va à l’encontre des normes les plus élémentaires de protection des droits de l’homme, garanties par la Constitution congolaise et les conventions internationales.
L’ordre émanant d’une personne en position d’autorité est particulièrement inquiétant. En tant que représentant de l’État, un ministre provincial est tenu de respecter les lois et les principes démocratiques. En agissant ainsi, Mamvidila a abusé de son autorité et porté atteinte à l’intégrité de sa fonction.
Les organisations de défense des droits de l’homme exigent une enquête immédiate et transparente sur cet incident. Les responsables doivent être tenus pour responsables et des sanctions sévères doivent être appliquées pour éviter que de tels actes de violence ne se reproduisent.