Les activités du mois de la femme ont été clôturées, vendredi 31 mai 2024, par une cérémonie de grande envergure organisée par la cellule genre de la division urbaine de la communication et médias de l’hôtel de ville de Kinshasa dans la commune de la Gombe.
Cette deuxième édition n’a pas laissé muette Madame Myrthe Bonane, Cheffe adjointe du nouveau comité de cette cellule genre.
“Je suis ravie de la réussite totale de cette activité d’autant plus mes impressions sont bonnes parce que c’était une bataille très difficile pour réaliser cette activité commençant par la genèse de la démarche d’intégrer la division urbaine de la cellule genre auprès du ministère genre, famille et enfants. Dieu a permis que ça soit réalisée et nous sommes très joyeuses aujourd’hui d’être reconnues vu que nous avons reçu la présence du directeur juridique qui a représenté le secrétariat général du ministère du genre, famille et enfants. Notre joie est grande”, a-t-elle exprimé.
De ce fait, elle a présenté une plaidoirie auprès de ces autorités et représentants des responsables des institutions qui ont été reçues et ont acceptée avec quiétude.
“Nous sommes rassurées d’un accompagnement puisque personnellement nous avons causé avec le représentant du ministère de genre, famille et enfants et il nous a rassurées de nous emmener le document restant puisque c’est ce document qui va faire preuve de notre intégration au sein du ministère de genre et va nous permettre de vaquer librement. Et en suite, nous sommes sûres et rassurées que notre message est passé auprès de tous ces représentants. Nous avons eu la présence du ministre de la Fonction publique, le ministre de Genre, et notre chef de division qui a permis que nous lancions ce message”, a-t-elle dit.
“Pour la troisième édition, nous aimerions que ça soit un mixage c’est-à-dire nous n’aurons pas seulement les femmes d’un seul ministère mais nous allons lancer l’invitation aux femmes des autres ministères. Et pour une forte mobilisation, je lance un message aux femmes qui croisent encore les bras d’être dynamiques puisque nous avons été créées et nous sommes pour le dynamisme pas pour la passivité alors nous demandons à chaque femme de connaître d’abord qui elle est et de s’accepter et en suite de se mettre en mouvement pour son bien être et celui de la société”, a-t-elle enrichi.
