Dans son arrêté pris lundi 21 juin, le gouverneur de la ville de Kinshasa, Gentiny Ngobila Mbaka, a renforcé les mesures de lutte contre la propagation de la troisième vague de la COVID-19 qui sévit déjà à Kinshasa, avec des variants indien et sud-africain.
Il interdit notamment la vente sur la voie publique, le rassemblement ou manifestations de plus de vingt personnes aussi bien sur les lieux publics que privés clos, les port obligatoire et convenable de cache nez,pour tout contrevenant a cette mesure ,une amende de 10.000 francs congolais (5 USD) lui sera infligé.
Cette mesure qui est source de remou dans la relation police – civil car étant source de plusieurs bavure policière, la dernière en date l’assassinat de honoré shama , étudiant à l’université de Kinshasa, tué à bout portant par un policier.
Nous avions interrogé Monsieur Yves Mukanya , habitant de la commune de Matete qui pense que l’état doit revoir cette mesure : « je m’étonne que les policiers qui nous traque pour non port du cache-nez,le font de fois sans respecter la loi ,eux même n’en porte pas,il nous exigé une amande 10.000fc mais il nous donne jamais le quittance donc sans tracabilite,notre demande est que l’état puisse y veille car nous avons comme l’impression que cette pratique est fait pour enrichir les policiers et leurs familles »
Réagissant face aux diverses bavures des policiers enregistrées ces dernières semaines dans la capitale congolaise,
le commissaire divisionnaire adjoint de la Police nationale congolaise (PNC) de Kinshasa, Sylvano Kasongo,à au cours d’une parade spécial organiser,lundi 2 Juillet au stade de Martyr, rappelé ses troupes à l’ordre « Les policiers n’ont pas le droit d’utiliser les armes létales contre les citoyens ».
Ces mesures qui sont prise presque dans toutes les parties du monde sont utile pour anéantir la propagation de l’ennemi numéro un, qui est la covid-19.
