Le vice-premier ministre de l’économie nationale, Vital Kamerhe, a reçu, ce jeudi 10 août 2023, dans son cabinet de travail, le ministre japonais de l’économie, commerce et industrie, Yasutoshi Nishimura pour accroître ses commerciaux avec la République Démocratique du Congo.
Au cours de leurs échanges, le ministre japonais de l’économie a agencé ses allocutions pour dire qu’il était venu pour examiner la mise en pratique de l’accord qui était signé entre son pays et la République Démocratique du Congo.
« J’étais venu principalement pour examiner, ensemble avec les autorités congolaises, la possibilité de la mise en œuvre du protocole d’accord signé entre le Japon et la RDC représentée par la Ministre des Mines, Marie Antoinette N’samba Kalambayi lors de sa mission officielle effectuée, à Tokyo, en décembre 2022 », a expliqué le ministre japonais de l’économie.
« Mon gouvernement est prêt à mobiliser un budget d’un milliard de dollars américains pour accroître cette coopération en l’élargissant à d’autres secteurs de développement », a-t-il renchéri.
Il sied de rappeler qu’en RDC, les startups japonais travaillent déjà sur l’énergie solaire, l’urbanisation de la capitale Kinshasa, l’adduction d’eau, l’énergie hydraulique et le barrage d’Inga.
En effet, pour le vice-premier ministre en charge de l’Économie nationale, Vital Kamerhe s’est dit favorable au renforcement de la coopération économique entre la RDC et le Japon à travers des projets bénéfiques à grande échelle et un partenariat gagnant-gagnant.
D’après, Vital Kamerhe cette coopération devrait non seulement viser l’exploitation minière mais aussi le transfert des compétences, l’agriculture, le développement des industries, la santé ainsi que l’éducation.
Il a réaffirmé la vision du Chef de l’État Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo qui prône une amélioration du climat des affaires pour attirer plus d’investisseurs en RDC et l’amélioration des conditions de vie des congolais.
Signalons que le vice-premier ministre, Vital Kamerhe, a félicité l’appui du Japon notamment sur le barrage d’Inga et la construction d’autres micros-barrages, pour la lutte contre la matérialisation.