Dans une courte vidéo publiée dans les réseaux sociaux, on peut voir le candidat à la présidentielle prochaine debout pendant plus de 8 minutes évoquant les problèmes que traverse notre pays sur divers plans : sécuritaire, économique, etc.
Pour lui, le phénomène de détournement et la corruption tue d’avantage la République démocratique du Congo. Katumbi estime qu’il profiner des stratégies concordantes pour stopper cette hémorragie. Il indique, par ailleurs, que « la paix reste la priorité ».
« Le temps est arrivé de mettre un terme à l’insécurité et aux tueries surtout dans la partie Est de notre République. De repartir équitablement les richesses du pays et de dissiper la misère de la population. De mettre fin à la gabegie financière, au détournement, à la corruption et au tribalisme », a déclaré le président d’Ensemble pour la République.
Par ailleurs, Moïse Katumbi salue la constance et la rationalité de la CENI et la Cour Constitutionnelle dans le traitement impartial des candidatures pour le scrutin présidentiel. Ce candidat à la présidentielle demande à ces deux institutions de garder le même tempérament jusqu’à la fin des opérations électoraux.
« Malgré les faiblesses observées, et plusieurs fois dénoncées, je tiens à saluer l’attitude de la CENI et la Cour Constitutionnelle pour le traitement équitable des candidatures à l’élection présidentielle. Je les exhorte à garder la même attitude jusqu’à la fin du processus électoral en vue de redorer l’image de notre pays », a-t-il renchéri.
Moïse Katumbi vient de faire face à la justice car deux requêtes ont été introduites à la Cour Constitutionnelle pour invalider sa candidature pour plusieurs griefs. Cependant, la Cour Constitutionnelle l’a justifié. Ce qui lui permet désormais de se lancer dans la course pour la magistrature suprême, chose qu’il n’a pas faite en 2018 car il était empêchée d’accéder au pays pour plusieurs raisons.
