Le président de la Commission électorale nationale indépendante (CENI), Denis Kadima, a échangé ce jeudi 21 juillet, avec une délégation du Consortium Démocratie et Droits de l’Homme conduite par le coordonnateur national de la Nouvelle Société Civile congolaise (NSCC), Jonas Tshombela.
À l’issue de cette rencontre, ce dernier en a donné la substance tout en se disant « satisfait des informations fiables puisées à la bonne source » au lieu de prêter aux ragots.
« Nous sommes venus pour nous imprégner de l’état des lieux du travail de la CENI, essentiellement du processus électoral déclenché depuis quelques mois dans notre pays. Mais également présenter le Consortium, son champ d’intervention, sa mission auprès de la CENqi. Car, dans le travail que la CENI est en train de mener, il y a une bonne partie des tâches qui incombent à la société civile. Ce qui explique évidemment le sens de notre démarche, celle d’échanger d’abord des informations afin de nous mettre à jour sur l’agenda de la Centrale électorale. Il y a la cartographie qui touche à sa fin, l’enrôlement qui s’annonce, les innovations qui y sont contenues. Bref, tout cela nécessite l’implication de tous et nous avons pensé venir nous abreuver à la source pour obtenir des vraies informations de manière à les relayer auprès de la communauté. Des informations fiables au lieu de prêter foi aux rumeurs ou celles des réseaux sociaux. Voilà ce qui nous a amenés à rencontrer le président de la Ceni et son équipe pour nous projeter pour les échéances qui vont suivre après dans la suite de l’organisation des élections que nous souhaitons tous paisibles pour notre pays », a déclaré le coordonnateur national de la NSCC.
Avant d’ajouter : « Nous avons posé pas mal de questions en lien notamment avec la sécurité, l’implication de la diaspora et comment va se dérouler l’enrôlement, les cartes d’identité, etc. Nous en sortons satisfaits tout en promettant d’y revenir au cas où nous serons encore face aux zones d’ombre ».