Christian Bahati, président national de la Fondation Bahati Christian (FOBAC), a fermement réagi ce vendredi 25 juillet à la polémique soulevée par un communiqué du professeur Modeste Bahati Lukwebo, deuxième vice-président du Sénat. Ce dernier accusait un individu se présentant sous le nom de "Christian Bahati Musengo" d'usurpation d'identité.
Dans une déclaration pleine de détermination, Christian Bahati a qualifié les accusations proférées par Modeste Bahati Lukwebo de « diffamatoires » et infondées. Il a exprimé son indignation face à des allégations qu'il considère comme nuisibles à son honneur et à sa réputation. « Ce communiqué n’est basé sur aucun élément de preuve et ignore les préjudices moraux que cela me cause », a-t-il affirmé.
Précisant sa position, Bahati a rappelé que son nom est légalement inscrit sur tous ses documents officiels, y compris son passeport. Il a fait savoir qu’il n’a jamais eu recours à son identité pour simuler une autre personnalité. « Je suis et je resterai fier d’être fils de Bahati Yabanga, et je ne céderai à aucun chantage », a-t-il insisté, soulignant sa ferme volonté de défendre son héritage familial.
Face à cette attaque, Christian Bahati a confirmé son intention de porter l’affaire devant les tribunaux. « Je suis résolu à saisir la justice contre toute tentative de nuire à ma personne », a-t-il déclaré, faisant entendre sa détermination à préserver sa dignité et son intégrité.
Cette affaire soulève des questions sur la gestion des conflits d'identité et les implications morales attachées à de telles accusations dans un contexte politique déjà tendu. Christian Bahati, par cette prise de position, cherche non seulement à se défendre personnellement, mais également à rappeler l’importance de l’honnêteté et de la transparence dans la vie publique.
La réponse de Bahati témoigne de l'importance qu'il accorde à sa réputation et à son engagement envers la vérité, alors que la situation continue de se développer dans les jours à venir.
La rédaction