L’inspecteur général des finances Jules Alingete n’est pas d’accord avec des allégations satiriques du directeur pays de la banque mondiale qui estime que les pays membres (Angola, Burundi,RDC….) ne sont pas totalement à l’abri de la corruption.
M.Albert G.zeufack, le directeur pays de l’Angola, le Burundi, la République Démocratique du Congo et Sao Tomé-et-prince a récemment salué l’économie de Kinshasa ces deux dernières années tout en s’inquiètent sur l’étendue de la corruption dans le pays.
Mais le patron de l’inspection générale de finances n’a pas digéré ces propos, car il estime que la corruption en République Démocratique du Congo n’a plus la même réputation qu’avant.
« il n’y a donc pas lieu de minimiser cette volonté politique et cet élan populaire consistant à dénoncer et à réprimer ouvertement la corruption en évoquant une quelconque augmentation de ce phénomène» a évoqué Jules Alingete.
Le traqueur de délinquants financiers fustige la banque mondiale « qui ne construit que des analyses critiques, au lieu d’appuyer les efforts fournis les institutions de contrôle »
En lieu et place de stigmatiser le travail que fournit l’inspection générale de finances, Jules Alingete invite la banque mondiale à quitter les simples analyses et de bureau pour descendre et de palper les réalités sur terrain de la RDC.
