Le bureau conjoint des Nations Unies aux droits de l’homme (BCNUDH) révèle que « les groupes armés ont été responsables de 301 atteintes aux droits de l’homme », durant le mois de janvier 2022, sur l’ensemble du territoire national.
Dans sa note sur les principales tendances des violations des droits de l’homme de janvier 2022, dont une copie est parvenue à Congopresse.net ce mercredi 09, le BCNUDH indique que ce nombre représente « une diminution de 3% par rapport aux 309 violations atteintes documentées au mois de décembre 2021 », lit-on dans ce rapport.
Cependant, précise le BCNUDH, « les groupes armés ont causé la mort d’au moins 189 personnes, dont 160 hommes, 23 femmes et six enfants ».
Dans cette note, le BCNUDH rapporte aussi les cas de violences sexuelles liés au conflit, qui sont majoritairement attribués aux groupes armés.
Le bureau conjoint des Nations Unies aux droits de l’homme renseigne également que « les agents de la PNC et les militaires des FARDC ont causé la mort d’au moins 42 personnes, dont 35 hommes, cinq femmes et deux enfants ».
