J’ai proposé des mesures, un décret du Premier Ministre fixant la taille, la composition et les règles de désignation des membres des cabinets pour mettre fin aux anti-valeurs : corruption, népotisme, clientélisme, tribalisme.
Mise en place de nouvelles dispositions devant garantir un meilleur fonctionnement des partis politiques en faveur de la démocratie et de la bonne gouvernance.
Réformes pour rendre la justice juste et équitablement partagée
La limitation de la taille du Gouvernement, la stabilisation de sa composition, le processus de sélection de ses membres, la définition des règles de son fonctionnement.
Renforcement de la redevabilité de l’exécutif et renforcement du contrôle parlementaire ainsi que des organes techniques de contrôle de la gestion du secteur public.
La réorganisation de l’armée, de la police et des services de renseignements avec des nouvelles règles de fonctionnement dont certaines empêcheront leur politisation et feront qu’on ne puisse pas les amener à des dérives.
Mise en place d’une stratégie de résorption de la crise à l’Est et de renforcement de la sécurité intérieure.
Réorganisation profonde et revalorisation de l’administration publique, amélioration profonde de la gestion des finances publiques et du portefeuille de l’État, amélioration et dépolitisation de la gestion de la Banque Centrale du Congo.
Amélioration de la gouvernance économico-financière, transformation profonde de l’économie (avec des stratégies sectorielles appropriées), développement de l’activité financière, utilisation des gains générés par l’économie pour réellement servir les intérêts du peuple.
Investissement massif et efficace dans l’accumulation du capital humain et dans le développement des compétences pour consolider les performances économiques et améliorer le bien-être social.
Alexandre Nshue indique, par ailleurs, que la liste n’est pas exhaustive.
