La guerre à l’EST du Congo, une véritable tragédie à ciel ouvert, véritable chambre à gaz, la shoah, l’EST de notre pays est devenu un immense camps de concentration comme ce fût le cas en Pologne. Crime de guerre, crime contre l’humanité, génocide, etc…, tout ça, sur le sol congolais. Tuer un congolais est devenu un jeu d’enfants à notre époque, trop c’est trop!!! Par conséquent, Nous dénonçons l’impuissance et le silence de Nations-Unies (ONU), un silence qui s’apparente à la complicité, nous dénonçons l’implication de nos pays voisins de l’EST, qui se font maîtres dans la manipulation de groupes armées, afin de mieux piller nos richesses à coeur joyeux, nous dénonçons la complicité d’un certain nombre de nos propres compatriotes, nous dénonçons avec force et véhémence, l’incurie, la mollesse, la nonchalance de notre gouvernement à éradiquer les groupes armées à l’EST de notre pays, qui continuent à verser les sangs de nos frères au vue et au su de tout le monde. C’est pourquoi, nous congolais, toute tendance confondue, exigeons à la communauté internationale, la création d’un tribunal international pour juger tous ces crimes ignobles, perpétués sur le sol congolais depuis 1998 jusqu’à ce jour, comme ce fût le cas d’ailleurs, après la seconde guerre mondiale, où le tribunal de Nuremberg fut établi pour juger les nazis qui avaient initiés l’extermination des juifs, ça n’est sera que justice, car une bonne justice procure une bonne paix, disait Montesquieu. Congolais lève toi, car c’est affaire te concerne. *Louison Seke, le rejeton de la république !!*
Day: January 18, 2021
Le Pasteur Ngoyi Mulunda, ancien président de la CENI aux arrêts
Le pasteur Ngoyi Mulunda, ancien président de la commission électorale nationale indépendante CENI et fondateur de l’ONG PAREC, a été arrêté ce lundi 18 janvier 2021 et amené à l’agence nationale de renseignements (ANR) à la suite d’un mandat d’arrêt émis contre lui par le Redoc de la ville de Lubumbashi. Il est reproché “d’incitation à la haine tribale” rapporte des sources sécuritaires. Selon Félix Kabange membre du front commun pour le Congo FCC, Le pasteur Ngoyi Mulunda “est arrêté suite à sa prédication de ce 16 janvier à l’occasion du 20 ème anniversaire de l’assassinat de Mzee Laurent Désiré Kabila”.
Mende : «Jean-Marc Kabund n’est pas notre commandant, nous n’avons qu’un seul commandant c’est le président Félix Tshisekedi »
L’ancien porte-parole du gouvernement congolais Lambert Mende était l’invité de Télé 50 ce lundi 18 janvier 2021. Ancien membre du Front Commun pour le Congo (FCC), plateforme de l’ancien président Joseph Kabila puis ayant décidé de rejoindre l’Union sacrée du président Félix Tshisekedi comme la plupart de ses camarades. Faisant désormais partie de l’Union Sacrée du Chef de l’État, Cet élu national et président de CCU et alliés, a tenu à remettre les pendules à l’heure: « Jean-Marc Kabund n’est pas notre commandant, nous n’avons qu’un seul commandant c’est le Président Félix Tshisekedi », précise-t-il. Il sied de noter que, le président a.i de l’UDPS Jean Marc Kabund, est celui qui dirige les négociations au sein de l’Union sacrée et a été à la manœuvre de plusieurs adhésions de certains députés nationaux à l’Union sacrée.
RDC : 3 décès et 152 contaminations ce dimanche
Alors que les parties prenantes à l’éducation en République Démocratique du Congo haussent le ton pour exiger de plus en plus la réouverture des écoles et universités, le Secrétariat Technique à la riposte contre le coronavirus fait état de 215 nouveaux cas confirmés ce dimanche 17 Janvier, dont 170 à Kinshasa. Dans son bulletin journalier couvrant 602 échantillons testés, l’équipe mentionne également 24 contaminations au Kongo-Central, 10 dans le Haut-Katanga, 6 au Sud-Kivu, 4 au Nord-Kivu et 1 à la Tshopo. Le secrétariat technique sanitaire confirme un nouveau décès parmi les cas confirmés à Kinshasa. Cette structure de lutte contre la covid-19 se plaint des coupures intempestives d’électricité, qui plongent les différents Centres de traitement dans le noir. Rappelons qu’en RDC, l’épidémie a été déclarée le 10 mars 2020. Actuellement, le cumul des cas est de près de 21000, avec un total de 631 décès.
Union Sacrée : Bientôt une réunion pour les derniers réglages
Une réunion de tous les députés membres de l’Union sacrée, est prévue ce mardi 19 janvier 2021, annonce le bureau de Jean Marc Kabund, président a.i de l’UDPS. Une rencontre pour les derniers réglages ; en a croire des sources proches, il sera question de la présentation du ticket de l’Union sacrée en vue de l’élection du nouveau bureau définitif de l’Assemblée nationale. Il sera également question de la motion de censure contre le gouvernement Ilunkamba. Cette même motion qui a déjà recueillie pour l’heure près de 300 signatures. Dans l’entre-temps, après les menaces des députés de l’Ensemble pour la République de Moïse Katumbi, de quitter l’Union sacrée, les négociations continuent entre leurs délégués et Jean Marc Kabund et qu’une solution à l’amiable est prévue.
[Tribune]: « le Premier ministre de l’Union Sacrée ne devrait pas être un candidat à la présidence en 2023 »
Comme à l’époque de la CNS où le Zaïre n’avait que deux fils valables, suivant l’expression de Kin Key Mulumba, Mobutu et Tshisekedi, à ce jour de la vie politique, le Congo a deux fils valables : Kabila et Tshisekedi, fait démontré par la transition pacifique dont ils ont été les principaux acteurs. À l’époque, les deux fils du Zaïre surcités n’ont pas pu donner le meilleur d’eux-mêmes à cause de leurs machines politique respectives. Nous aurions pu croire que cette histoire ne se répètera pas, mais hélas ! Infestées par l’extrémisme et le radicalisme, les deux machines, FCC et CACH, ont réussi à ternir cet évènement aussi inédit et glorieux qu’étaitl’alternance. Tout comme l’indépendance, suivie très rapidement par les mutineries, rébellions et coups d’états, l’alternance politique, vécue il y a deux ans, a eu son lot d’évènements malheureux qui risquent à ce jour d’hypothéquer encore plus dangereusement l’avenir de 80 millions de Congolais. La leçon que nous retenons de l’alternance, c’est la nécessité de travailler tous ensemble, parce qu’il n’y a que dans l’union que le Congo sait avancer. D’où nous saluons l’initiative de l’Union Sacrée, telle que voulue par le Président de la République SE FelixAntoine TSHISEKEDI TSHILOMBO. Il faut beaucoup de courage pour se remettre en question, pour reconnaître ses erreurs et il en faut encore beaucoup plus pour avancer après diagnostic. Le Président a donc fait preuve de beaucoup de courage et l’histoire lui en sera reconnaissante. Cependant, cette union doit éviter de verser dans les erreurs des unions passées. Notre réflexion tourne donc autour de 3 questions a savoir : comment voulez-vous avancer avec des personnes dont le radicalisme perturberaitla cohésion ? Comment voulez-vous avancer avecune structure dans laquelle aucune règle n’est établie ? Comment voulez-vous que l’union avance avec deux pilotes ? Pour y répondre, nous estimons qu’il faut : – Eviter le radicalisme des uns et des autres, qui a été la principale cause de l’échec de la classe politique depuis 60 ans ; – Réguler l’Union, en d’autres termes, établir le règlement d’ordre intérieur de l’Union sacrée afin d’éviter la démocratie de l’embuscade telle que nous la vivons aujourd’hui ; – Prôner la Coresponsabilité tout en évitant le Co–pilotage : le Président de la République sera, avec toute l’Union, responsable devant 80 millions de Congolais. Il faut donc que le prochain Premier Ministre ne soit pas un potentiel adversaire qui se mettrait en compétition avec le Chef de l’Etat. En clair, le prochain Premier Ministre ne devrait pas avoir d’ambitions présidentielles, du moins pour 2023. Cela permettra à ce que ce dernier travaille de manière fidèle pour la réussite du mandat du Chef de l’Etat dont il sera coresponsable. Les époques Kasa-Vubu/Lumumba et Kasa-Vubu/Tshombe nous renseigne suffisamment sur le danger de ce Co–pilotage. Toutes ces questions doivent être les priorités de la classe politique impliquées dans l’Union Sacréeavant les questions relatives au « partage du butin » et aux ambitions des uns et des autres. Notre seule ambition aujourd’hui doit être celle de sauver la Nation et de promouvoir le développement de la RDC. Aimons le Congo, aimons les Congolais, et bien au-delà, prouvons-le en evitant l’égocentrisme politique, la boulimie du pouvoir et le diktat de la médiocrité.
Michel Okongo: « Nous avons complètement perdu notre souveraineté pourtant chèrement acquise »
Le président national du parti “Unité des valeurs” Michel Okongo Lomena, a dans un communiqué de presse de ce dimanche 17 janvier 2021, jour de la commémoration de la mémoire de Patrice-Emery LUMUMBA; il a tenu premièrement à passer en revue les circonstances de la mort de ce héros national, à exposer en quelques lignes la situation générale du pays 60 après l’assassinat de celui qui fut le tout premier ministre de la RDC, Patrice-Emery Lumumba. En ce jour commémoratif de l’assassinat de LUMUMBA, la mémoire collective devra retenir que c’est sous la Présidence du président américain EISENHOWER, et avec la complicité du Premier ministre belge, Gaston EYSKENS que Patrice Emery LUMUMBA fut assassiné, en compagnie de ses deux collaborateurs, Joseph OKITO et Maurice MPOLO, après qu’un travail de main-noire effectué par Allen DULLENS, Directeur de la CIA ; CLARE TIMBERLAKE, Ambassadeur des USA en République démocratique du Congo ; DELVIN LARRY LAWRENCE, Chef d’antenne de la CIA en RDC, et Joe de Paris, Agent de la CIA dépêché depuis Langley, ainsi que certains officiels congolais qui accomplirent sans le savoir la prophétie de LUMUMBA qui disait, de son vivant que ‘‘ si je meurs demain, ce sera parce qu’un blanc aura armé un noir’’. Soixante ans après l’accession de notre pays à indépendance, notre lutte pour le développement, la croissance et l’émergence a perdu toute sa noblesse, car en complicité avec l’ennemi, le congolais a constamment retourné son arme contre son frère congolais, inondant le sol de notre pays par le sang des innocents. Puis, il s’est associé à l’ennemi étranger pour massacrer par dizaines des millions plusieurs de nos compatriotes, et piller sans cesse les richesses nationales. Le sort de la RDC est tantôt décidé à Washington, tantôt à Paris, où encore au Rwanda et en Angola, mais aussi à Bruxelles, Londres, et dans les capitales des pays de l’Afrique australe, ainsi que dans de nombreuses capitales de pays asiatiques et européens. A ce jour, chacun de neuf pays voisins de la RDC s’est accaparé d’une portion de nos territoires sans que cela ne suscite aucune réaction percutante de la part des dirigeants congolais ni de la Communauté internationale. Le Rwanda, principal pays colonisateur de la RDC a annexé des pans entiers de notre territoire ; imposé un Ambassadeur tueur dans notre pays, Vincent KAREGA ; exigé puis obtenu l’ouverture d’une ligne aérienne entre Kigali et Kinshasa dont seule la compagnie aérienne rwandaise a conservé le monopole de transport ; installé une base en toute illégitimité sans qu’aucune autorité congolaise lève son petit doigt pour condamner. En effet, la lutte pour la paix, la grandeur, la prospérité, la justice sociale, et la préservation de la souveraineté de notre pays, sont les différents segments contenus dans le ‘‘ RÊVE CONGOLAIS ’’ que les différents régimes qui se sont succédé dans notre pays ont par méchanceté criminelle, brisé l’un après l’autre tout au long de 60 années de notre indépendance. Sur le plan politique, ayant constaté sa volonté de vouloir rebâtir le Congo et de se mettre au service de la nation, nous encourageons le Chef de l’Etat à prendre des options politiques courageuses et de s’assurer de l’appui de la nouvelle génération politique dont émarge Unité des Valeurs, car il est absurde de concéder un ‘‘ménage à plusieurs’’ après avoir rejeté un régime de mariage polygamique compliqué avec le FCC. Le Président de la République devra s’assurer que de par son article 69, la Constitution de notre pays du 18 février 2006, fait du Chef de l’Etat, le Garant de la nation ; donc l’Unique Chef à bord… Que Dieu veille sur la République démocratique du Congo.
[Tribune]: « L’arrêt R. Const. 1453 de la Cour constitutionnelle devrait mettre fin à la dictature des autorités morales »
Pour le constitutionnaliste, l’Arrêt R.Const. 1453 de la Cour constitutionnelle sur l’interdiction de tout mandat impératif confié aux députés nationaux constitue un pas en avant sur la voie de l’État de droit consacré à l’article 1 de la Constitution. Il convient de féliciter non seulement la Cour constitutionnelle et le procureur général près cette Cour, mais aussi le président du Bureau d’âge de l’Assemblée nationale (AN), Honorable Christophe Mboso, et son avocat, Me Sylvain Lumu En effet, l’article 101 de la Constitution stipule: “Le député national représente la Nation. Tout mandat impératif est nul”. L’Arrêt R.Const. 1453 met à genoux le Front commun contre le Congo (FCC) qui était intervenu dans cette affaire à travers le PPPD et le RRC, deux petits partis inconnus du grand public mais que la kabilie avait créés de toutes pièces pour s’arroger une majorité au Parlement. L’Arrêt de la Cour sanctionne également les avocats kabilistes dont il ne cite même pas les noms comme il le fait pour Me Sylvain Lumu. Cet Arrêt confirme une fois de plus la thèse du professeur André Mbata selon laquelle tout le monde n’est pas juriste, tout juriste n’est pas constitutionnaliste et toute juriste qui s’autoproclame tel n’est pas nécessairement un bon ou un vrai constitutionnaliste. Depuis l’alternance démocratique qui a eu lieu à l’issue des élections de décembre 2018, la RDC a vu l’émergence de nombreux charlatans ou «marchands du droit constitutionnel», notamment dans les rangs des tambourinaires et des thuriféraires du FCC. A l’heure actuelle, la plate-forme kabiliste qui semble couler comme le Titanic et dont le capitaine semble avoir ordonné le “save-who-can” (sauve-qui-peut) général aux passagers qu’il avait embarqués et nourris pendant près de vingt ans souffre d’un manque criant de constitutionnalistes authentiques. La preuve en est la décision de la Conférence des présidents du FCC de déposer des pétitions en vue de la déchéance des membres du Bureau d’âge lorsqu’aucune disposition légale ne le permet et que l’article 31 du Règlement intérieur (RI) invoqué ne concerne que les membres du bureau élu. Il en va de même de leur tentative de saisir la Cour constitutionnelle pour demander l’interprétation du RI de l’AN qui est un acte de nature législative à ne pas confondre avec la Constitution visée à l’article 161 ou pour obtenir l’annulation du communiqué de presse du directeur du cabinet présidentiel relatif à la mission d’identification d’une coalition majoritaire confiée à l’honorable Modeste Bahati Lukwebo («informateur») sur la base de l’article 78 de la Constitution comme s’il s’agissait d’une loi ou d’un acte ayant la force de loi relevant de l’article 160 de la même Constitution. On ne peut que se réjouir que l’accession au pouvoir de Félix Tshisekedi leur ait permis d’ouvrir grandement les yeux et que même quand ils ont encore du mal à la comprendre, ils n’hésitent plus à brandir la Constitution qu’ils avaient pourtant ignorée ou violée pendant les 18 ans de règne de leur «autorité morale». Les membres impénitents du FCC sont loin de comprendre les méandres du droit constitutionnel congolais même lorsque la Constitution utilise un français facile pour rejeter tout mandat impératif pour les parlementaires ou lorsque la Cour constitutionnelle n’utilise aucune métaphore dans l’interprétation de cette disposition constitutionnelle. Cependant, ils ne sont pas les seuls. Au nom de la fameuse discipline partisane, tous les “démocrates” qui dirigent nos partis – tous “démocratiques”(!) – ont tendance à dénier l’indépendance aux parlementaires qui sont aussi prompts à y renoncer pour éviter des problèmes avec leurs chefs ou «autorités morales» de leurs partis ou regroupements politiques. Par son Arrêt, la Cour constitutionnelle a mis fin à la dictature des «autorités morales», une notion que dans sa fraude permanente à la constitution, la Majorité présidentielle (MP) qui avait précédé le FCC avait inventée pour permettre à ses membres de surmonter l’obstacle des incompatibilités des fonctions de Président de la République et de membre du Gouvernement avec toute responsabilité au sein d’un parti politique (Art 97). Par la suite, le terme «autorité morale» a été utilisé pour désigner tout chef de parti ou groupe politique et a séduit plusieurs partis et regroupements politiques, du pouvoir comme de l’opposition, à l’exception notable des partis comme l’UDPS. Cependant, le président de la République et les députés nationaux sont élus par le peuple et représentent la nation (arts 69 et 101 de la Constitution). Ils ne devraient pas avoir des ‘”autorités morales”. S’ils devaient en avoir une, cette “autorité morale” ne pourrait être que le Peuple ou la Nation! Il est déplorable que plusieurs députés nationaux continuent de l’ignorer lorsqu’ils disent attendre des instructions ou des ordres de leurs dirigeants de partis, regroupements politiques, ou de leurs «autorités morales» pour s’exprimer à l’Assemblée nationale, voter, signer une pétition ou une motion. Pour revenir à l’Arrêt 1453, il reste encore beaucoup à faire au niveau de la Cour constitutionnelle. Les juges ont besoin d’un armement théorique et moral solide et continu pour mieux remplir leur mission. En autorisant chaque député national à soumettre au Bureau de l’AN une déclaration d’appartenance (à la majorité ou à l’opposition), l’Arrêt R.Const. 1453 allait à l’encontre du RI de l’AN (art 26) qui reconnait cette compétence exclusivement aux partis et regroupements politiques et que la Cour elle-même avait déclaré conforme a la Constitution dans son Arrêt R.Const. 891 du 1 avril 2019. Il s’agit d’un revirement de jurisprudence qui affecte certains articles du RI de l’AN. Pour mieux faire, l’Arrêt R.Const. 1453 devait contenir des réserves et une recommandation qui pourrait conduire l’AN à modifier son RI d’autant plus que cette AN dominée par le FCC avait exclu de l’article 5 de son RI la disposition de l’article 101 de la Constitution sur la nullité du mandat impératif. La Cour aurait pu aller plus loin en invitant l’AN à revisiter l’article 5 de son RI pour y inclure la disposition de l’article 101 de la Constitution interdisant tout mandat impératif. Elle devrait également recommander à l’AN d’en tirer toutes les conséquences concernant la déclaration individuelle d’adhésion (à