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CES-UDPS : L’impact du numérique sur le système économique mondial au centre des discussions

Le Corps d’Elite Scientifique de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social UDPS CES-UDPS a organisé le samedi 3 février dernier son café informatique autour du thème principal qui est la science au service du peuple, avec comme sous-thème, l’impact du numérique sur le système économique mondial. Une occasion pour l’intervenant du jour l’ingénieur Maximilien Kanyinda de souligner que son exposé s’est inscrit dans le cadre de la présentation d’un nouveau système dans le monde du numérique en rappelant que le numérique devient incontournable dans tous les secteurs de la vie humaine. Il a fait savoir que son intervention fait suite à celle de la semaine passée qui a abordé la question de l’évolution du numérique dans le secteur économique, les échanges commerciaux ainsi que les questions concernant les business en général. L’ Ir Maximilien Kanyinda a évoqué la particularité de son intervention de ce jour qui concerne les monnaies numériques au niveau national et international dans les échanges commerciaux. Il s’agit de la cryptomonnaie qui est une forme de monnaie numérique, virtuelle qui fonctionne indépendamment des organisations ou systèmes centralisés tels que les banques centrales ou les pays, a-t-il indiqué. Il a, en outre, fait savoir que nous avons aujourd’hui plus de 10 milles monnaies numériques appelées cryptomonnaies alors que le Bitcoin qui est la première cryptomonnaie est apparu en 2009 après la crise économique qui a frappé le monde, il a fallu une nouvelle alternative, un nouveau système d’échanges commerciaux donc une nouvelle monnaie qui devait remplacer le fiduciaire. Ir Maximilien Kanyinda Expert en Cryptomonnaies a précisé que présentement les État, les organisations à travers le monde entier veulent se procurer de cryptomonnaie pour pouvoir se positionner au niveau national qu’international. A titre d’exemple le Nigéria a mis en place sa monnaie numérique nommée eNaira, la République Centre Africaine le Sango coin et le Président de la République Touadéra a officialisé le Bitcoin comme seconde monnaie officielle centrafricaine à travers le pays comme le Salvador aussi. Le Kenya, l’Afrique du Sud, le Maroc, l’Argentine sont également sur des projets similaires de création des Cryptomonnaies locales a-t-il indiqué. Ces séances d’information visent à réveiller les africains et particulièrement les congolais à se lancer sur l’information relative à la cryptomonnaie, au Bitcoin et à s’en procurer. En avertissant que bientôt un évènement important aura lieu, il s’agit d’un cycle qui revient après 4 ans et l’année 2024 est butoire pour célébrer le Halving, une année où le monde va connaître un bouleversement économique hors du commun où les détenteurs des comptes en Cryptomonnaies pourraient voir leurs comptes connaître un accroissement spectaculaire en monnaies numériques capables d’être converties en monnaies fiduciaires. Ir Maximilien Kanyinda termine par encourager les congolais et particulièrement les jeunes à se lancer dans cette aventure qui garantit un avenir meilleur. Il ne s’agit donc pas d’un investissement comme le marketing en réseau ou le système pyramidal ou le placement des fonds vers un certain système contrôlé par des individus ou entreprises, de triste mémoire, qui ont été simplement une escroquerie organisée qui continue à décourager des nombreuses personnes.

Désignation de l’informateur: ” Le Président de la République vient de placer au-dessus de la mêlée son principal homme de confiance” (Junior Mata M’elanga)

Directeur Général de la CNSSAP, Junior Mata M’elanga et cadre de l’UDPS ne pouvait nullement garder sa langue en poche après la désignation de son chef hiérarchique du parti, le SG Augustin Kabuya, comme Informateur. C’est dans ce cadre qu’il a réagi à chaud après cette nomination de l’informateur chargé d’identifier la majorité au parlement afin de composer le prochain gouvernement. ” Son Excellence Monsieur le Président de la République, Felix-Antoine TSHISEKEDI Tshilombo, vient de placer au-dessus de la mêlée son principal homme de confiance. Félicitations à celui qui est tout à la fois Secrétaire Général de l’UDPS, Député National et maintenant Informateur en vue de l’identification de la majorité à l’Assemblée nationale pour la formation du futur Gouvernement, j’ai cité l’Honorable Augustin KABUYA Tshilumba, à qui je souhaite plein succès dans ses nouvelles attributions », a-t-il déclaré.

RDC : Vers un compromis entre UDPS et PCR, la première réunion s’est tenue mardi

Partage du pouvoir dans le prochain gouvernement, les différentes structures politiques de l’Union sacrée s’approchent en vue du partage du gâteau. Après une période de tractation dûe à la création du Pacte pour un Congo Retrouvé de Vital Kamerhe et d’autres leaders, place à la réconciliation. Une importante réunion a mis ensemble autour d’une même table, ce mardi 6 février, les responsables du regroupement Pacte pour un Congo Retrouvé (PCR) et les dirigeants de l’Union pour la Democratie et le Progrès Social (UDPS). Rien n’a filtré de cette réunion mais selon certaines indiscrétions, il s’agissait d’une rencontre d’harmonisation d’idées et du renforcement de la cohésion et des liens au sein de l’Union Sacrée de la Nation en vue de la formation de la grande majorité parlementaire et pour joindre les efforts pour la matérialisation des six engagements du Chef de l’État Felix Antoine Tshisekedi Tshilombo pris, face à la population Congolaise, lors de son discours d’investiture. La délégation de l’UDPS était conduite par le Secrétaire Général Augustin Kabuya. Du côté du PCR, le Président ai de l’UNC, Billy Kambale, a chapeauté la délégation en compagnie du Secrétaire Général de AAAP de Tony Kanku, Jacques Thimoté, Président ai de B50, Jean-Marie Katokolio Bakomito, Président de la commission PAJ du Sénat, Eustache Muhanzi et Adrien Bokele, deux membres du Gouvernement sortant.

CAN 2023 : La RDC vs la Côte d’Ivoire en demi-finale, deux équipes qui se connaissent bien !

Les léopards de la RDC affrontent, ce mercredi 07 février 2024, les éléphants de la Côte d’Ivoire. Ce sera la 6e fois que les deux équipes se croisent dans un match comptant pour la Coupe d’Afrique des Nations (CAN). La première fois était en 1965. La RDC avait perdu par 0-3 face à la Côte d’Ivoire. En 1988, la RDC et la Côte d’Ivoire s’étaient quittés dos à dos sur un score nul d’un but partout (1-1). 14 ans plus tard, soit en 2002, la RDC prend sa revanche et bat la Côte d’Ivoire par 3-1. En 2015, alors que les deux équipes se rencontrent en demi-finale de la CAN, les léopards s’inclinent 1-3 devant les éléphants qui finissent par remporter la coupe. La dernière confrontation à la CAN entre les deux sélections remonte à 2017. Les fauves congolais et les éléphants ivoiriens s’étaient neutralisés par un score nul de deux buts partout (2-2). Notons qu’au total, la Côte d’Ivoire compte 2 victoires sur la RDC. Les léopards n’ont qu’une seule victoire sur les éléphants. Et les deux équipes ont fait deux fois matches nuls. Il convient de signaler que le vainqueur de RDC vs Côte d’Ivoire affrontera, en finale, le vainqueur de Nigeria vs Afrique du Sud.

RDC : « Aucune négociation secrète avec Kigali n’est en cours » (Tina Salama)

Après une fausse information diffusée par certains médias sur l’état des négociations entre les autorités de la République Démocratique du Congo et celles du Rwanda concernant l’agression que subit la RDC, la porte-parole du Président de la République, Tina Salama, a démenti cette information. « Aucune négociation secrète avec Kigali n’est en cours. La position du Président de la République a toujours été claire à ce sujet. Attention à la manipulation et à la désinformation », a posté Tina Salama, porte-parole du Président Félix Tshisekedi, sur son compte X. Il convient également de mentionner qu’au cours d’un point de presse, ce mardi 06 février 2024, le porte-parole du gouvernement Patrick Muyaya a annoncé que la ville de Kirotshe dans la province du Nord-Kivu en République démocratique du Congo avait été reprise par les vaillantes Forces Armées de la République.

RDC : Les députés de l’Ensemble autorisés à siéger au Parlement (déclaration)

Les députés élus pour le compte du parti politique Ensemble pour la République sont autorisés à siéger au Parlement. Cette décision a été prise lors d’un forum de deux jours organisés à Lubumbashi. La nouvelle nous est parvenue à travers une déclaration rendue publique ce mardi. Cette décision est prise dans le but de respecter la population qui a porté son choix sur Moïse Katumbi à la dernière élection. Ce parti de l’opposition promet de mener une opposition républicaine, bien qu’il dénonce le hold-up électoral. Ensemble pour la République exige la libération de ses cadres et membres emprisonnés par le « régime de Félix Tshisekedi », notamment Mike Mukebayi, Salomon Idi Kalonda. Le parti de Moïse Katumbi exige aussi la libération du journaliste Stany Bujakera. Au-delà de tout, précise cette même déclaration, le parti de Katumbi demande l’arrestation immédiate de tous les agents de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI), ayant donné des DEV (Dispositifs électroniques de vote) aux membres de l’Union sacrée de la Nation, une plateforme du pouvoir en place. Il faut noter qu’une déclaration a été rendue publique à l’issue de la clôture de deux jours d’échange dans les quels ont pris part les directoires de partis de l’opposition Avançons-MS et Alternance ainsi que Ensemble, sur initiative de Moïse Katumbi, président national de Ensemble pour la République.

CAN Cote d’Ivoire 2023 : Charles Pickel révèle l’ambition de la RDC en demi-finale lors de la conférence d’avant-match

Le milieu de terrain des léopards de la RDC, Charles Pickel a relevé, ce mardi 06 février 2024, l’ambition de la RDC en cette demi-finale de la Coupe d’Afrique des Nations, édition 2023. Ce joueur congolais accompagnait le sélectionneur congolais Sébastien Desabre dans la conférence d’avant-match en prélude de la rencontre prévue, ce mercredi, entre les fauves congolais et les éléphants ivoiriens. « C’est un match de demi-finale. Ça reste un match comme les autres. On aimerait faire le mieux dans ce match là, ça sera incroyable. On se parle entre nous joueurs. Nous allons tout donner demain comme si ça sera le dernier », a déclaré Charles Pickel. Le milieu défensif des léopards a profité de cette occasion pour exprimer sa tristesse et la compassion de toute l’équipe aux victimes des tueries à Goma, dans la province du Nord-Kivu, dans l’Est de la RDC. « Nous sommes au courant de ce qui se passe dans l’Est de la RDC et très triste. Nous sommes ici pour finir un travail et nous sommes de coeur avec nos compatriotes de l’Est », s’alarme Charles Pickel. Le sélectionneur principal de l’équipe nationale congolaise, Sébastien Desabre a fait savoir de son côté que ça sera une déception pour nous si on ne se qualifie pas en finale. Pour besoin d’histoire, en 2015 les léopards de la RDC avaient affronté les éléphants de la Côte d’Ivoire en demi-finale. Ces derniers avaient éliminé ces premiers, et s’étaient qualifiés pour la finale qu’ils ont remporté avec succès devant le Ghana. Rappelons que le match entre la RDC et la Côte d’Ivoire est prévue, ce mercredi, à 21h, au stade Alassane Ouattara d’Abidjan. Le vainqueur de ce challenge affrontera en finale le vainqueur de l’autre match qui opposera le Nigeria à l’Afrique du Sud.

CAN 2023 : La RDC fouette la Guinée et se hisse en demi-finale, neuf ans après

Les léopards de la RDC ont donné trois coups de fouet aux syli national de la Guinée et n’en ont reçu qu’un seul en revanche, ce vendredi 02 février 2024, à l’issue d’un match rempli de spectacle comptant pour le quart de final de la CAN Côte d’Ivoire 2023. À la 17e minute des jeux, la défense congolaise commet une faute dans le dernier carré qui attire l’attention de l’arbitre algérien. Celui-ci accorde un pénalty aux syli national. Un pénalty transformé de pied de maître par la Guinée qui prend désormais l’avantage des le début du deuxième quart d’heure de la première période. La réponse de la RDC ne va pas tarder à venir. Les congolais obtiennent un corner, quelques minutes avant la pause. Ce corner tiré par Yoane Wissa traverse la défense guinéenne jusqu’à Chancel Mbemba. Ce défenseur de la RDC reçoit le ballon de son genou gauche et renvoie la balle au premier poto jusqu’au fond du filet. C’est le but de l’égalisation. La voie vers le filet est enfin ouverte par celui qu’on surnomme à Kinshasa « l’homme de la justice divine ». Le score à la pause reste inchangée. Un but partout, les deux équipes sont renvoyées aux vestiaires. Au retour des vestiaires, le coach des léopards opère un changement qui va payer ensuite. Mechack Elia est remplacé par Silas Katompa qui apporte un vent nouveau à l’équipe congolaise. Silas Katompa, balle au pied, lance la course avec le défenseur guinéen jusqu’au dernier carré. Une faute guinéenne sur Silas, l’attaquant congolais obtient un pénalty. Ce pénalty est transformé par Yoane Wisa. Et, dans le marquoir, l’avantage est congolais. Quelques minutes avant l’arrêt de jeu, Arthur Masuaku, sur un coup de pied arrêté, permet à la RDC d’inscrire le but de 3-1. La chicotte des léopards sur les syli national permet à ces premiers de se hisser en demi finale. La RDC connaitra son adversaire, ce samedi, à l’issue d’un autre match de quart de finale qui va opposer le Mali à la Côte d’Ivoire, pays hôte. Rappelons qu’il fait pratiquement neuf avant depuis que les léopards n’ont plus atteint cette étape de la demi-finale. La dernière fois, c’était en 2015, l’année où la RDC avait fini 3e de la compétition.

Économie : Le Taux de Change au cœur d’une matinée scientifique du CES-UDPS

Le Corps d’Elite Scientifique de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (CES-UDPS) a respecté sa tradition en organisant, le jeudi 1er février 2024, une matinée scientifique autour du thème : « Le Taux de Change en RD Congo ». Cette matinée politique a eu lieu en son siège situé sur la 7e rue dans la Commune de Limete, à Kinshasa. Une occasion pour l’intervenant principal du jour, le Professeur Daniel Mukoko Samba de saluer devant la presse l’importance du thème choisi qui touche directement le pouvoir d’achat des ménages congolais. Il a remarqué à cet effet, que l’économie congolaise est fortement dollarisée avec comme conséquences, les congolais qui sont payés en Francs congolais, doivent acheter les biens et services qui sont d’une manière ou d’une autre libellés selon le taux de change. L’ancien ministre du budget au gouvernement Matata Ponyo a fait savoir que pour tous les congolais, le taux de change est un élément important qui détermine comment protéger les épargnes et le pouvoir d’achat. Il a rappelé dans le même ordre d’idées, que pendant la campagne électorale à la présidentielle de décembre 2023 dernier, le Président de la République Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo dans chacun de ses 53 meetings a été interpellé par les congolais venus l’écouter sur cette question de la dépréciation du Franc Congolais donc de la volatilité du taux de change. Selon Daniel Mukoko Samba, Professeur de l’économie à l’Université de Kinshasa, cette interpellation est l’expression de cette préoccupation des congolais qui vivent cette question dans leur chaire. Il s’agit ici de la capacité de ces ménages à préserver leur pouvoir d’acheter les biens et services et à pourvoir aux besoins de leurs ménages. En rapport avec la genèse de cette volatilité du taux de change en RDC, il remonte cela aux années 1990 avec les pillages que le pays a connu, le désordre dans les finances publiques avec le niveau d’inflation extrêmement élevé, ce qui a provoqué la fuite des congolais vers une monnaie plus stable qui est le dollar américain avec comme conséquences, la dépréciation actuelle du Franc Congolais par rapport au dollar américain. Il a souligné que parmi les six engagements qui constituent le programme du Chef de l’État pour son nouveau quinquennat, il y a l’engagement de protéger le pouvoir d’achat des congolais. Le Prof Mukoko Samba a, par ailleurs, reconnu que cette situation n’est pas spécifique à la RDC. Tous les pays du monde ont été frappés par le niveau d’inflation plus élevé par la dépréciation de leurs monnaies par rapport au dollar américain. A titre d’exemple, nous avons remarqué à partir de 2022, beaucoup de pays africains ont mis en place des politiques de lutte contre la vie chère. Cette question du coût de la vie qui prend de l’ascenseur est une question politique et sociale importante. En tant qu’expert, Daniel Mukoko Samba propose des pistes de solution pour le second mandat du Chef de l’État en saluant l’engagement de ce dernier à anticiper et de ne pas être en mode de réaction. D’être alerté sur les risques de volatilité du taux de change c’est-à-dire qui bouge à tout moment. L’État Congolais doit désormais être attentif et anticiper par rapport aux politiques monétaires mises en place par les pays développés qui ont de l’impact sur nos économies. Anticiper par rapport aux questions sécuritaires dans le monde : les bandits qui attaquent les navires au Yémen, les marchandises stoppées ou détruites peuvent nous affecter économiquement, le guerre entre Israël et Hamas, le conflit entre la Russie et l’Ukraine avec le programme des céréales Ukrainiens a-t-il conclu. Pour sa part, le Professeur Jean-Marie Beya Coordonnateur scientifique du CES-UDPS a fait savoir que ce thème sur le taux de change s’inscrit dans les fondamentaux de l’industrialisation de la RDC qui sera l’objet de plusieurs conférences durant cette année. Le Doyen de la Faculté des Polytechniques de l’Université de Kinshasa a retenu de la question du taux de change, l’arrêt de consommer les produits qui viennent de l’étranger en promouvant la production locale, on doit industrialiser tous les secteurs du pays dont l’agriculture, nous devons avoir nos propres banques et combattre le système bancaire qui se trouve aux mains des étrangers et avoir une gestion technocrate et non politique des entreprises c’est-à-dire avoir des congolais compétents, consciencieux de leurs responsabilités pour développer le pays. Enfin, le Dr Donat-soft Mukuna Coordonnateur national du CES-UDPS qui a apprécié la qualité de la question abordée, a invité l’assistance au café scientifique ce samedi 3 février, la suite du numérique dans l’économie mondiale ainsi qu’à la cérémonie d’échanges des vœux prévue le 10 février prochain.

« Le temps des idées et des propositions pour un avenir prospère est venu ! », [Tribune]

Le président Félix Tshisekedi a fixé des objectifs ambitieux pour la RD Congo, visant à stimuler l’emploi, protéger le pouvoir d’achat des ménages, assurer la sécurité des citoyens. Pour concrétiser ces aspirations, nous formulons 30 propositions concrètes et objectives dont 5 pour chaque objectif clé : Objectif 1: Créer plus d’emplois 1. Incubateurs d’emploi Etablir des espaces communautaires équipés de ressources pour la formation professionnelle, l’entrepreneuriat et l’innovation, offrant ainsi aux jeunes et aux chômeurs des opportunités de développement de compétences et de création d’entreprises. 2. Diplomatie économique active Créer des équipes dédiées dans les ambassades pour promouvoir les opportunités d’exportation des biens et services congolais, favorisant ainsi la croissance des industries nationales et la création d’emplois. 3. Programme de travail à distance national Encourager les entreprises à adopter des politiques de travail à distance et à soutenir la mise en place d’espaces de coworking dans les communautés locales, offrant ainsi des opportunités d’emploi flexibles et adaptées aux réalités modernes du marché du travail. 4. Fonds d’investissement pour les start-ups Créer un fonds national dédié au financement des start-ups et des initiatives entrepreneuriales, offrant un soutien financier crucial et favorisant l’innovation et la création d’emplois. 5. Programme national de reconversion professionnelle Mettre en place un programme de reconversion pour les travailleurs dans les secteurs en déclin, offrant une formation et un accompagnement pour faciliter leur transition vers des emplois dans les secteurs émergents. Objectif 2: Protéger le pouvoir d’achat des ménages en stabilisant le taux de change 1. Banque de stabilisation monétaire Créer une institution dédiée à la gestion proactive des fluctuations du taux de change, mettant en œuvre des mécanismes de stabilisation pour atténuer les effets de la volatilité des devises. 2. Plateforme de commerce électronique nationale Développer une plateforme en ligne pour encourager le commerce national, offrant ainsi aux citoyens un accès direct aux produits locaux à des prix stables et compétitifs. 3. Promotion des monnaies locales complémentaires Encourager l’utilisation de monnaies locales complémentaires dans les échanges commerciaux locaux, offrant ainsi une stabilité économique au niveau des communautés et des régions. 4. Alliance pour la stabilité des prix des denrées de première nécessité Créer une alliance entre le gouvernement, les producteurs et les détaillants pour stabiliser les prix des denrées alimentaires de base, garantissant ainsi l’accessibilité pour tous les ménages. 5. Campagnes nationales d’éducation financière Mettre en place des programmes éducatifs nationaux visant à renforcer la littératie financière des citoyens, les aidant ainsi à mieux gérer leur budget et à faire face aux fluctuations économiques. Objectif 3 : Assurer avec efficacité la sécurité des populations et de leurs biens 1. Force de sécurité communautaire Mettre en place des programmes de recrutement et de formation pour établir des forces de sécurité locales, permettant aux communautés de participer activement à la protection de leur environnement. 2. Plateforme nationale d’alerte citoyenne Développer une application mobile et une plateforme en ligne permettant aux citoyens de signaler rapidement les incidents et les menaces, facilitant ainsi une réponse rapide des forces de sécurité. 3. Réforme des services de renseignement Restructurer les services de renseignement pour inclure des représentants des communautés locales, favorisant ainsi une collecte de renseignements plus efficace et une meilleure compréhension des besoins des populations. 4. Programme national de prévention de la violence – Mettre en place un réseau de surveillance communautaire en utilisant la technologie de reconnaissance faciale pour renforcer la sécurité dans les quartiers urbains et ruraux, tout en garantissant la protection des données personnelles. – Créer des “unités de médiation pour la sécurité” composées de membres de la communauté, de policiers et de travailleurs sociaux pour résoudre les conflits locaux et prévenir la violence, en s’inspirant des modèles de médiation réussis dans d’autres pays. – Établir un programme national de prévention de la criminalité axé sur l’éducation, la formation professionnelle et l’accès à des opportunités économiques pour les jeunes, afin de réduire les facteurs de risque de la délinquance et de la violence. 5. Créer une force spéciale de réaction rapide, formée pour intervenir dans les zones à haut risque – Mettre l’accent sur la coordination avec les forces de sécurité locales et l’utilisation de renseignements prédictifs pour anticiper les menaces. – Développer une plateforme mobile d’alerte citoyenne permettant aux résidents de signaler rapidement les situations d’urgence, tout en intégrant des mécanismes de réponse rapide par les forces de sécurité, pour une action immédiate en cas de danger. Objectif 4: Poursuivre la diversification de l’économie 1. Zone économique spéciale verte Créer des zones économiques spéciales dédiées aux industries vertes et durables, offrant des incitations fiscales et des facilités réglementaires pour encourager l’investissement dans les énergies renouvelables, la gestion des déchets et l’agriculture durable. 2. Pôle d’innovation industrielle Établir un pôle d’innovation industrielle axé sur la recherche et le développement de technologies de pointe dans des secteurs tels que l’exploitation minière responsable, la transformation des ressources naturelles et la fabrication de produits à forte valeur ajoutée. 3. Programme de reconversion économique régionale Mettre en place des programmes de formation et de soutien pour aider les communautés dépendantes des industries extractives à diversifier leurs activités économiques vers des secteurs plus durables, tels que le tourisme, l’agriculture biologique et les énergies renouvelables. 4. Incitation fiscale à l’innovation Instaurer des incitations fiscales pour les entreprises qui investissent dans la recherche et le développement de nouveaux produits, de nouvelles technologies ou de nouveaux modèles d’affaires, favorisant ainsi l’innovation et la diversification économique. 5. Partenariats public-privé pour la diversification Encourager les partenariats entre le secteur public et le secteur privé pour développer des initiatives de diversification économique, offrant ainsi des opportunités d’investissement dans des secteurs émergents et innovants. Objectif 5: Garantir plus d’accès aux services sociaux de base 1. Plateforme nationale de santé digitale Mettre en place une plateforme en ligne pour les services de santé, offrant des consultations à distance, des dossiers médicaux électroniques et des programmes de sensibilisation, garantissant ainsi un accès équitable aux soins de santé pour tous les citoyens. 2. Réseau national d’éducation à distance Développer un réseau d’éducation à