La Conférence débat dénommée « JIFAC », à l’occasion de la journée internationale de la Femme Africaine organisée par Chamylia Signature autour du thème : « Renaître de ses cendres », a bel est bien eu lieu au Musée Nationale.
Cette 2ème édition avait pour objectif de motiver les femmes surtout en cette période de Covid19, à se valoriser et entreprendre.
Chacun des orateurs alignés à cette occasion, notamment Maître Georges Kapiamba, Nadine Tshilombo, Al Kitenge, Sandrine Ngoma, Henri Ileka et Louise Pala Kamango, ont bien exploités leurs sous-thèmes.
Le président de l’ONG ACAJ Georges Kampiamba, a lui martelé sur la défense des droits socio-économiques de la femme dans le contexte de la Covid-19.
Pour lui, chacun doit encrer en lui le principe de l’égalité de sexe afin d’éviter toute discrimination telle qu’inscrit dans l’article 13 de la constitution de la RDC.
Pour sa part, Nadine Tshilombo, responsable de Chamilya signature, coach en image et communication a encouragée les femmes à avoir confiance en soi et se relever quelques soient les difficultés.
Al Kitenge un stratège en économie et innovateur social a parlé de la contribution des femmes dans la mise en place d’un modèle financier et économique africain, question d’être en mesure de planifier pour bien réussir. Il estime que pour parler développement en RDC, il faut principalement quitter l’extraversion économique et réduire les activités informelles.
Francine Ngoma, ambassadrice YMCA RDC dans l’espace Europe-Suisse, a appelé les femmes à se réinventer dans leur travail en période post Covid c’est à dire elle doivent être capables de formaliser, former et fédérer.
Les participants ont été également motivé par le coach Henri Ileka. Il a appris trois expressions à l’assistance que sont : Lâcher prise, se redécouvrir et s’assumer.
Il a invité les femmes à se réinventer pendant et après ce temps de crise.
La directrice de la recherche à l’institut du musée nationale du congo a de son côté rappelé l’importance de l’alphabétisation et l’éducation de la jeune fille et la femme en générale.
Rose Muzaliwa N’ancha.