Assassinat de Chérubin Okende : Matata Ponyo dénonce un régime de terreur et de dictature inqualifiable

Les réactions fusent de partout après la mort “mystérieuse”, ce jeudi 12 juillet, du porte-parole d’Ensemble pour la République, Chérubin Okende. L’opposant Augustin Matata Ponyo est monté au créneau pour dénoncer la mort du collaborateur de son collègue de l’opposition, Moïse Katumbi. “Je dénonce avec la dernière énergie l’assassinat de Chérubin Okende, collaborateur de Moïse Katumbi. Cela est d’autant plus grave qu’il aurait été enlevé dans l’enceinte de la Cour constitutionnelle. Qui l’aurait cru ! Nous sommes rentrés dans un régime de terreur et de dictature inqualifiable. Mes condoléances à la famille éprouvée et au Parti Ensemble”, a-t-il réagi. L’opposant Moïse Katumbi et son parti Ensemble pour la République font actuellement face à des mauvaises nouvelles. Après l’arrestation de Salomon Idi Kalonda, conseiller spécial de Moïse katumbi, c’est maintenant la mort de Chérubin Okende qui vient d’attrister le parti. Notons que les conditions de la mort de Chérubin Okende ne sont pas encore clairement établies. D’une part, on parle d’un assassinat. En effet, cet ancien ministre des transports a été retrouvé mort ce jeudi matin dans sa voiture, criblée des balles et sa chemise tachée de sang avant d’être ramené en toute urgence à l’hôpital du cinquantenaire où sa mort a été constatée et son corps sans vie placée à la morgue.

Assassinat de Chérubin Okende : “Nous exigeons une enquête crédible et exhaustive pour identifier les commanditaires et auteurs matériels de ces faits” (ACAJ)

Tout en condamnant l’assassinat du porte-parole du parti Ensemble pour la République, l’Association Congolaise pour l’accès à la Justice (ACAJ) exige une enquête crédible et exhaustive pour identifier les commanditaires et auteurs matériels de ces faits pour qu’ils soient jugés et condamnés. “Nous condamnons avec la dernière énergie l’assassinat de Cherubin Okende, ministre honoraire des transports. Nous exigeons une enquête crédible et exhaustive pour identifier les commanditaires et auteurs matériels de ces faits, qu’ils soient jugés et condamnés”, peut-on lire sur le compte Twitter officiel de cette association des droits de l’homme de Me Georges Kapiamba. Le gouvernement congolais, également consterné par la mort de Chérubin Okende, a annoncé une enquête minutieuse afin de faire la lumière sur cet acte inadmissible. “Le Gouvernement a appris avec effroi l’assassinat du Ministre honoraire des Transports, l’Honorable Chérubin Okende Senga. Tout en condamnant cet acte odieux, il a instruit tous les services de sécurité de faire diligence pour une enquête minutieuse afin de faire la lumière sur cet acte inadmissible. Le Gouvernement présente ses condoléances les plus attristées à sa famille”, annoncé le porte-parole du gouvernement, Patrick Muyaya sur son compte Twitter. Chérubin Okende, collaborateur de l’opposant Katumbi, a été retrouvé mort, ce jeudi 12 juillet, dans sa jeep, sur l’avenue des poids lourds, dans la commune de Limete, à Kinshasa.

Indignation de Jean-Marc Kabunda après la mort de Chérubin Okende : “On ne peut pas ôter la vie de quelqu’un comme ça”

Les réactions sont nombreuses après l’annonce de la mort de Chérubin Okende, ce jeudi matin. Le porte-parole d’Ensemble pour la République a été retrouvé criblé des balles dans sa jeep, sur l’avenue des poids lourds, dans la commune de Limete, à Kinshasa. Consterné, le conseiller en communication de Martin Fayulu, Jean Marc Kabunda, a exprimé son indignation à l’égard de cet acte. “Pas jusque là ! On ne peut pas ôter la vie de quelqu’un comme ça. Incroyable ! Nous te pleurons cher aîné Chérubin. Que ceci indigne tout congolais. Trop c’est trop “, a écrit Jean Marc Kabunda via son compte Twitter officiel. Selon des sources concordantes, le corps sans vie et criblé des balles de Chérubin Okende vient d’être évacué par une ambulance et conduit à la morgue de l’hôpital du cinquantenaire. D’après certaines sources, l’ancien ministre des transports était enlevé depuis mercredi soir devant la cour de cassation jusqu’à ce qu’il soit retrouvé mort ce jeudi matin.

Afrocan Angola 2023 : imbattables, les léopards basket-ball affrontent le Nigeria en quart de finale

Les Léopards basket-ball de la RDC vont affronter, ce jeudi 13 juillet dans l’après midi, à Luanda(Angola), les Supers Eagles du Nigeria, pour le compte de la quart de finale d’Afrocan 2023. Imbattables depuis l’entame de cette 2è édition, les léopards ont réussi de battre en première rencontre d’ouverture les lions indomptables du Cameroun sur le score de 70 à 63. Aussi du titre dont ils sont détenteur, les fauves congolais ont encore battu les Os Mambas du Mozambique 77 à 58. C’est alors qu’au travers cette belle victoire qu’ils ont reçu le ticket pour la quart de finale prévue ce jeudi. Rappelons ceci, la RDC demeure tenante du titre de la 1ère édition de cette compétition d’Afrocan.

Kinshasa : le porte-parole d’Ensemble pour la République, Chérubin Okende retrouvé mort ce matin

Après son enlèvement par des éléments armés non identifiés, l’opposant Chérubin Okende a été retrouvé mort, ce jeudi 13 juillet, dans sa jeep devant les installations de SEP Congo sur l’avenue poids lourds à Kinshasa. L’information a été confirmée par ses proches collaborateurs qui sont arrivés sur place. Mais Aucune confirmation officielle n’a été faite jusque là. Son corp est conduit à l’hôpital du cinquantenaire.

Foot-Mercato : Henock Inonga prolonge son contrat jusqu’en 2025 avec Simba SC

Le défenseur congolais Henock Inonga Baka a prolongé son contrat de 3 saisons avec Simba SC jusqu’en 2025, ce mercredi 12 juillet 2023. C’est après avoir évolué durant près de 2 saisons au club Tanzanien Simba Sporting Club, que le défenseur central congolais a décidé de prolonger son contrat. Henock Inonga Baka est un joueur et défenseur potentiel. Il est passé par le FC Renaissance du Congo et le DCMP avant d’aller du côté de la Tanzanie en 2021. Il sied de noter que Henock Inonga Baka était déjà sélectionné par l’équipe nationale de la RDC, cette terre qui l’a vu naitre le 1er novembre 1993. Il a donc 29 ans et mesure environs 1,80 m de taille.

Élections RDC : pour Jean-Marc Kabunda, la décision de ne pas déposer les candidatures ne va pas fragiliser l’ECIDé

L’opposition s’assume réellement. Pas question d’aller aux élections si ses revendications ne sont pas prises en compte. Du côté de Martin Fayulu, aucune candidature de Lamuka ne sera déposée aux bureaux de la CENI, « le fichier électoral étant corrompu », ne cesse-t-il de répéter. Face à cette décision de ne présenter aucune candidature aux élections prochaines, le conseiller en communication de Martin Fayulu, M. Jean-Marc Kabunda estime que « l’ECIDé ne sera pas fragilisé et continuera d’exister ». Il l’a dit, ce mercredi 12 juillet, au cours d’une interview exclusive accordée à Congopresse.net. « Donc ceux qui veulent accompagner M. Félix Tshisekedi dans cette fraude, peuvent le rejoindre et ECiDé continuera d’exister car nul n’est indispensable. Ça ne sera pas la première ni la dernière fois que les gens partent. En conclusion ECiDé ne sera pas fragilisé au contraire nous sortirons vainqueurs dans sa lutte », a déclaré Jean-Marc Kabunda. Pour ce haut cadre du parti de l’ECIDé, ce parti ne peut pas aller aux élections dans les conditions où “le gagnant est déjà connu d’avance”. “Nous sommes en face des usurpateurs qui sont arrivés au pouvoir par la fraude et veulent se maintenir au pouvoir en trichant une nouvelle fois. On ne peut pas aller aux élections dans ces conditions où le gagnant est déjà connu d’avance. C’est pour cette raison que nous insistons sur des élections crédibles et transparentes. L’UE, les USA ont tous insisté sur la crédibilité des élections et ont clairement dit que les revendications de l’opposition devraient être prises en compte d’urgence”, a-t-il renchéri. À en croire Jean-Marc Kabunda, l’heure est maintenant à l’activation de l’article 64 de la Constitution pour « faire échec à toute forme de dictature d’où qu’elle vienne ». Jean-Marc Kabunda a, par ailleurs, rappelé la raison pour laquelle on adhère dans un parti politique, servir le peuple et la Nation. “Lorsqu’un citoyen adhère à un parti politique, il le fait par ses convictions. On vient en politique pour servir le peuple et la Nation et non s’enrichir ou avoir des calculs politiciens pour se positionner”. Rappelons que Martin Fayulu exige un deuxième audit du fichier électoral qui, selon lui, contiendrait des fictifs, des mineurs et des militaires. La CENI, par contre, juge inopportune l’idée d’entreprendre un autre audit externe du fichier électoral estimant que la préoccupation n’avait pas de fondement.

La procédure pénale contre Matata par le PG près la Cour constitutionnelle (Tribune de Me Carlos Mupili)

La Constitution a limité le pouvoir du parquet général près la Cour constitutionnelle aux deux justiciables dont le Président de la République et le Premier ministre ainsi que leurs co auteurs et complices. L’article 164 de la constitution dispose que : “La Cour constitutionnelle est le juge pénal du Président de la République et du Premier ministre pour les infractions (…) commises dans l’exercice ou à l’occasion de l’exercice de leurs fonctions. Elle est également compétente pour juger leurs co auteurs et complices.” Le procureur général de la Cour constitutionnelle fonde son action sur le principe de la cristallisation de droit pénal en justifiant que le fait infractionnel sur l’affaire Bukangalonzo a été commis par le sénateur Matata à l’époque où il était Premier ministre. Ce qui lui donne la compétence de le poursuivre en tant que Premier ministre puisque le PG près la Cour constitutionnelle n’a que le Président de la République et le Premier ministre et leurs co auteurs et complices comme justiciables. A noter que Matata comme sénateur, il serait poursuivi devant la Cour de cassation mais comme Premier ministre, c’est devant la Cour constitutionnelle. Même si l’on fait semblant d’oublier l’article 167 de la Constitution qui dispose : ” En cas de la condamnation, le Président de la République et le Premier ministre sont déchus de leurs charges.” L’interprétation de cet article remet en cause la poursuite d’un ancien Président de la République et d’un ancien Premier Ministre car il chasse l’équivoque en démontrant que seuls le Président de la République et le Premier ministre en fonction sont concernés pour être déchus en cas de leurs condamnations. Toute fois, restons dans le contexte que même l’ancien Premier ministre ou l’ancien Président de la République peut être poursuivi par la Cour constitutionnelle comme le veut le récent arrêt de la Cour constitutionnelle qui donne curieusement les effets de la rétroactivité en défaveur de l’accusé. Ceci revient à dire que le fait de lever les immunités de l’honorable Matata comme sénateur ne suffit pas pour que le procureur général près la Cour constitutionnelle fonde sa compétence pour décerner un mandat de comparution au sénateur Matata qui répond selon le procureur comme Premier ministre. Il y a une autre barrière à franchir, celle des privilèges des poursuites telles que prévoient les dispositions de l’article 166 alinéa 1 : ” La décision des poursuites ainsi que la mise en accusation du Président de la République et du Premier Ministre sont votées à la majorité des deux tiers des membres du Parlement composant le Congrès suivant la procédure prévue par le Règlement intérieur.” En lisant cet article, on comprend clairement que le procureur général n’a pas encore la compétence de lancer le mandat de comparution à l’honorable Matata car il n’est pas le procureur général près la Cour de cassation qui ouvre une action publique contre un sénateur mais il s’agit, selon sa logique, d’un Premier ministre (accusé) qui est poursuivi et que l’action judiciaire tire sa base juridique de l’article 164 ,165 et 166 ainsi que dans la loi organique sur la Cour constitutionnelle. La barrière liée aux privilèges des poursuites est de deux niveaux : l’autorisation du Congrès pour la décision des poursuites d’une part, après, l’autorisation de mise en accusation d’autre part. Le parquet général près la Cour constitutionnelle n’est pas comme le parquet général près la Cour de cassation qui jouit de la plénitude de l’action publique car il est subordonné à l’autorisation de deux tiers des membres du Congrès, et non du bureau du sénat. Le Procureur général près la Cour constitutionnelle devrait rester dans le droit constitutionnel pénal pour éviter les excès de pouvoir car toute compétence est d’attribution. Le Procureur général près la Cour constitutionnelle devrait attendre la rentrée parlementaire pour formaliser sa démarche malgré la violation de principe de “No bis in idem”. Enfin, le procureur général près la Cour constitutionnelle devrait s’interroger sur sa compétence qui est limitée politiquement par l’autorisation du Congrès et éviter que le Président de la République, Félix Tshisekedi, se plaigne encore de la mauvaise qualité de la Justice congolaise.

Justice : Matata Ponyo boude le mandat de comparution de la cour constitutionnelle

Le sénateur Matata Ponyo ne s’est pas présenté, mercredi 13 juillet, à la cour constitutionnelle. Les avocats de l’ancien premier ministre Augustin Matata Ponyo continuent de remettre en cause la compétence de la cour constitutionnelle dans l’affaire Bukanga Lonzo. Dans une conférence de presse tenue, mercredi, au sujet du mandat de comparution délivré par procureur général près la cour constitutionnelle à ce sénateur, les avocats conseils de Matata Ponyo ont exprimé leur mécontentement sur certains hauts responsables de la justice qui démontrent, selon eux, « une témérité à nulle autre pareille, quand il s’agit de violer ou détourner la constitution et la loi à leur disposition ». « Le principe d’illégal concerne aussi la procédure pénale, il n’y a pas de juge ou de juridiction sans la loi. Ce qui veut dire qu’une personne ne peut être poursuivie que devant une juridiction préalablement connue dans un texte de loi. Il s’agit d’un principe constitutionnellement garanti par l’article 17 alinéa 2 de la constitution. L’affaire Bukanga Lonzo est terminée et aucune règle de droit ne permet de la relancer », indiquent ses avocats. Notons que c’est pour la deuxième fois que la cour constitutionnelle envoie un mandat de comparution à Augustin Matata Ponyo qui ne se présente toujours pas. Le procureur général près la cour constitutionnelle explique le rebondissement de l’affaire Bukanga Lonzo par le fait qu’il y aurait des éléments nouveaux qui ont été découverts. Cependant, cette hypothèse ne passe pas chez Matata Ponyo. Le sénateur Augustin Matata avait d’ailleurs, en juin dernier, récusé le procureur général tout en criant à l’acharnement politique. « Cette affaire en justice, c’est parce que je suis candidat à l’élection présidentielle », ne cesse-t-il de répéter. Matata Ponyo se considère également comme l’unique candidat président de la République qui « fait peur » au président Félix Tshisekedi. Ce qui, selon lui, justifie « l’acharnement politique » dont il fait l’objet en justice.

Jubilé d’argent du Roi Mwami Mwenda Bantu de Bunkeya : Catherine Kathungu promet de valoriser la culture locale

En marge de la célébration des 25 ans du trône de sa Majesté Mwami Mwenda Bantu des Bayeke, la ministre de la Culture, Arts et Patrimoines, Catherine Kathungu, a visité, samedi 08 juillet, des sites historiquement culturels de Bunkeya afin de les identifier avant leur classement au Patrimoine national et mondial. Au cours de son allocution, Catherine Kathungu Furaha a exprimé la volonté du Chef de l’État de renforcer le tourisme culturel en vue de valoriser la culture congolaise qui est le gage de l’histoire et des aspirations profondes de la RDC. « Tout est précieux dans ce Royaume. Tout est Patrimoine dans cette chefferie de Bayeke. Voilà pourquoi le 28 Octobre 2022, j’ai fait jumeler Bunkeya avec la ville Cité italienne de Santantimo. Le monde entier doit savoir que c’est ici sur l’Avenue Shombeka wa Shalo que sont les tombes historiques et l’histoire de la tête décapitée jamais retrouvée de l’un des plus Grands Rois d’Afrique et du Congo », a-t-elle déclaré. Dans son souci d’appuyer les recherches archéologiques et anthropologiques ainsi que la jeunesse, la ministre Catherine Kathungu Furaha a annoncé devant tous les Yeke sa détermination à accélérer le processus du jumelage de la cité de Bunkeya de la RDC à celle d’Italie, Santantimo. Selon elle, ce jumelage permettra aux jeunes Yeke d’être en contact avec les enfants italiens et dans la même occasion faire connaître la culture de ce coin du pays. Catherine Kathungu Furaha a annoncé que le gouvernement s’est engagé à retrouver la tête du célèbre Grand Roi Fondateur du Royaume de Garanganze et de la dynastie des Bayeke décapité en décembre 1891 et la tête emportée par des militaires Belges. Cette annonce a valu une grande joie du Roi Godefroid Munongo Junior et des Yeke. « La République Démocratique du Congo est désormais engagée à retrouver la tête du Roi M’siri 1er jamais retrouvée depuis plus de 130 ans », a-t-elle fait savoir avant d’annoncer qu’une équipe des archéologues sera disposée pour réussir à retracer où se trouve cette tête. À l’en croire, dans moins de temps, tous les sites historiques seront classés dans la liste du patrimoine au niveau national. « Les arbres historiques Mulumba et les arbres de la chance Mwemwe Tuseko, les tambours des Bayeke et surtout le Mont Nkulu avec son architecture et ses contes, doivent figurer sur la liste du Patrimoine Culturel immatériel et matériel du Congo » a-t-elle lancé comme défi afin de réaliser la recommandation du programme du gouvernement dans l’axe 61 et 62 où le souci demeure de valoriser ces sites. Fils de Mwami Munongo Godefroid décédé en 1992, le Mwami Wihala, Godefroid Munongo Junior a, pour sa part, exprimé sa joie de fêter ce Jubilé d’argent autour de ses proches, amis et partenaires ayant fait les déplacements pour honorer les membres de la dynastie des Bayeke du Garengaze. Le Roi a profité de l’occasion pour rappeler les efforts qu’il a fourni pour l’amélioration des conditions de vie de ses communautés « en renforçant les infrastructures de base, en dotant les outils pour améliorer l’accès à l’eau potable et l’électricité, en soutenant l’agriculture et en créant des emplois ». Plusieurs réalisations entrent dans les actifs du Roi Godefroid Junior Munongo dans la chefferie des Bayeke avec notamment la création de l’Université Technologique M’siri 1er et le Centre des recherches scientifiques Munongo Godefroid pour ne citer que cela. Le Mwami des Bayeke a remercié le Chef de l’État « pour la paix, gage de réussite dans l’organisation des manifestations et célébrations ». Il a également remercié la Ministre de la Culture, arts et Patrimoines, Catherine Kathungu Faruha pour sa présence à ce Jubilé d’argent. La fille de Butembo fait partie désormais également des Yeke au Nom de Mwena Masele Kathungu Furaha Catherine, ce qui veut dire l’enfant qui naît dans le bonheur.