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Le retour triomphal de Joseph Mukungubila : un symbole d’espoir pour la RDC

Par la rédaction

Le 5 juillet 2025, Sa Grande Majesté Joseph Mukungubila Mutombo a foulé le sol du Grand Katanga, marquant un moment historique pour la République Démocratique du Congo. Ce retour, salué par des milliers de partisans, est perçu comme un coup d’arrêt au plan néfaste du duo Kagame-Kanambe, qui rêvait de conquérir cette région stratégique.

Dans un climat d’angoisse généré par l’AFC/M23 et ses relais, telles que les déclarations de Tesongo Victor, la frustration s’est amplifiée. Mukungubila, figure emblématique de la résilience congolaise, s’érige en défenseur de sa patrie depuis des décennies. Dès 1996, il dénonçait l’invasion rwandaise, appelant le peuple à s’unir autour de Mobutu face à l’envahisseur, ce qui lui a valu l’ire de nombreux acteurs politiques.

Contrairement aux accusations de rébellion, Mukungubila a toujours été le champion du développement de sa terre natale. Son exil n’a pas freiné son engagement : il a multiplié les interventions pour soutenir son peuple, tant sur la scène nationale qu’internationale. Son retour au pays et son investissement dans son village natal de Kisaala, transformant celui-ci en une cité moderne, démontrent sa détermination à bâtir l’avenir du Congo dans la paix et l’unité.

Sous sa direction, Kisaala a vu l’implantation de nouvelles infrastructures, avec un éclairage public illuminant ses nuits, symbole d’espoir et de renouveau. Les autorités locales soutiennent cette transformation, témoignant de la volonté collective de mangé ce que le Congo mérite.

Sa Grande Majesté est plus qu’un leader ; il incarne l’esprit d’un pays en quête de développement et de paix. Les Congolais, de tous horizons, célèbrent son retour, et Mukungubila ne cache pas son optimisme : une ère de paix durable est à portée de main.

Au milieu des tumultes, les pas de Mukungubila, empreints d’amour et d’espoir, résonnent comme un chant qui appelle à l’unité et à la prospérité. Au diable les détracteurs, qui sont les véritables criminels si ce n’est ceux dont les bottes sont teintées du sang congolais ? Le temps du renouveau est arrivé.

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