Léopard, c’est le surnom de l’équipe nationale de la République Démocratique du Congo, ancien Zaïre (1971-1997). Sous les couleurs bleues, rouge et jaune, cette sélection des léopards de la RDC a joué son tout premier match de l’histoire à domicile sous le nom de Congo belge en 1948 face à Rhodésie du Nord actuelle Zambie. Et, le match s’était soldé sur le score de 3-2. Après cette rencontre, l’équipe Congolaise s’est adaptée puis a pris le jour sous une deuxième victoire de 10-1 toujours face à la Zambie le 22 novembre 1969 et celle-ci reste la plus large victoire de son histoire. Mais alors la plus grosse défaite de son histoire était face à la Yougoslavie 0-9. Avec 20 participations à la Coupe d’Afrique des Nations, la RDC a joué sa toute première CAN en 1965. 3 ans après, soit en 1968, elle a remporté sa toute première CAN. Puis, en 1970, elle a occupé la 4ème place avant de remporter, 2 ans après, soit en 1972, sa deuxième CAN sous l’aire de Ndaye Mulamba, l’éternel meilleur buteur de l’histoire de la CAN avec 9 réalisations et de Kalala Mukendi le tout premier buteur de cette équipe en 1965 lors de la rencontre RDC-Ghana(2-5). Plus impressionnante, l’équipe de la RDC s’est imposée dans la compétition avec deux titres à l’écart de 6 ans, soit trois éditions de suite. Elle a aussi raflé deux fois la 3ème meilleure place de la compétition, recevant une médaille de bronze entre 1998 et 2015, cette fois-là avec des jeunes joueurs talentueux comme Trésor Mputu, Trésor Lualua, Shabani Nonda, Dieu-merci Mbokani, Yannick Bolasie et autres. Rappelons que ces deux titres ont été remportés pendant le règne du feu Maréchal Mobutu et cette jeune équipe a raflé la troisième place en 2015 face à la Guinée Équatoriale à la séance des tirs aux buts.
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Foot : La RDC retrouvée dans le top 10 des nations avec le plus de participation à la CAN
L’équipe nationale de la RDC est classée dans la liste de top 10 des pays ayant plus de participation à la Coupe d’Afrique des Nations (CAN). La RDC occupe la 6ème position et compte 20 participations derrière l’Égypte 26 participations, Côte d’Ivoire 25 participations, Ghana 24 participations, Cameroun 21 participations, Tunisie 21 participations. L’équipe nationale congolaise vient avant l’Algérie 20 participations, le Nigeria 20 participations. Le Maroc qui est son adversaire du groupe F à la CAN 2024 est 9e et compte 19 participations. À la 10ème position, il y a la Zambie avec 18 participations. Cette même Zambie est aussi l’un des adversaires de la RDC dans le groupe F. Cette statistique prouve à suffisance la performance de la sélection Congolaise depuis le début cette prestigieuse et grande compétition appellée CAN. Il sied de noter que cette équipe de la RDC dans ses 20 participations, elle a raflé deux CAN dont la première était en 1968 et la deuxième en 1974 sous l’aire du meilleur buteur de la CAN Ndaye Mulamba avec 9 buts marqués. En suite elle a aussi gagné la 3ème place lors de la CAN 2015 sous l’époque de Florent Ibenge Ikwange.
Amical international : La RDC concède un deuxième nul face à l’Angola
Les léopards de la RDC ont enregistré un deuxième nul au Stade Shabab Al Ahli Stadium à Dubaï face aux Palancas Negras d’Angola, ce samedi 06 janvier 2024, après celui du 17 octobre 2023 à Estadio Bonfim (0-0). Une rencontre très serrée et décisive pour les deux voisins frontaliers, les léopards de la RDC n’ont créé d’occasions pour surprendre leurs adversaires. Et ceci inquiète déjà les amoureux du sport et tous les congolais car à travers cette rencontre l’équipe de la RDC était quasiment inexistante et sans flamme pour rafler une première victoire des matches amicaux. Mais cela ne met pas fin à l’avenir de cette sélection congolaise, puisqu’elle a encore une chance face au Bourkina Faso le mercredi 10 janvier 2024 afin de prouver sa suprématie et d’avoir l’élan pour la CAN Côte d’Ivoire 2024 qui s’annonce dans quelques jours. Il sied de noter que cette rencontre était dans le cadre du stage et des préparatifs de la Coupe d’Afrique des Nations Côte d’Ivoire 2024. Il faut aussi rajouter que depuis l’arrivée de Sébastien Desabre à la tête de la sélection Congolaise, la RDC a joué 4 matches amicaux dont 0 victoire, 1 défaite, 3 nuls avec 2 buts encaissés et 1 but marqué.
Présidentielle en RDC : Pendant les deux jours de vote, « le peuple s’est exprimé en faveur de FATSHI »
Congolaises et congolais Fils et filles de Kimbagu, de Lumumba, de Mzee, du cardinal Monsengwo et d’Étienne Tshisekedi. Les élections de ce 20 décembre (4ieme cycle), sont clôturées. Je félicite le peuple congolais pour son sens de nationalisme et de fermeté en répondant à ce devoir civique. Je félicite le Chef de l’état pour être le seul au début, à avoir cru en ce processus et le gouvernement pour avoir donné les moyens nécessaires à la CENI, pour qu’en 29 mois le cycle de 4 élections soit bouclé. Je félicite la Ceni pour avoir en peu de temps et avec des moyens séquencés, pu tenir le processus et donner au peuple la possibilité d’exprimer son choix à 4 niveaux électoraux. Malgré quelques ratés, cette Ceni a su répondre aux défis logistiques et temporels. La prochaine étape sera la publication des résultats provisoires. Pendant ces deux jours de vote, le peuple s’est exprimé et visiblement en faveur de FATSHI. C’est incontestable et admis par tous. Malheureusement les ennemis de la Nation, avec leurs affidés internes, qui ont fait de la nécromancie et de la divination contre ce pays, vont tout faire pour saborder la volonté du peuple En rejetant les résultats, et en discréditant le processus actuel ; Oubliant que les congolais d’aujourd’hui sont plus que matures et vont se battre jusqu’au dernier souffle pour défendre leur démocratie et leur victoire. En tenant aux élections à la date du 20 décembre, tout un plan diabolique a été déjoué. Reste à exorciser le second piège, que ces ennemis de la nation s’apprêtent à articuler, en jetant de l’opprobre sur le sacrifice de tout un peuple. Congolaises et Congolais, chers compatriotes ! Rejetons toutes tentatives qui iraient dans le sens de déstabiliser notre pays, comme certains fils égarés le font depuis peu. En ce qui concerne notre victoire prochaine lors des publications, manifestons-la, dans le calme et la méditation, en pensant à nos compatriotes de l’Est et de Kwamouth. Réjouissons-nous en pensant au travail qui nous attend autour des idées forces de Fatshi béton car on a un pays à relever, à construire et surtout des acquis à consolider.
Elections du 20 décembre : Le ROC salue les efforts de la CENI malgré quelques failles techniques
Deux jours après la tenue des élections générales en République Démocratique du Congo, des voix s’élèvent pour féliciter le travail de la Commission Electorale Nationale Indépendante malgré des failles constatées sur terrain. Des organisations de la société civile, les politiques mais aussi des confessions religieuses ont participé massivement à cet exercice démocratique afin d’élire des nouveaux dirigeants. Un rapport publié, ce vendredi 22 décembre, par le Réseau d’Observation des Confessions Religieuses (ROC) démontre que la CENI a tenu sa promesse d’organiser les élections dans le délai constitutionnel malgré certaines failles d’organisation. Comme actif, cette organisation religieuse salue également l’innovation de la centrale électorale d’organiser pour la première fois les élections des congolais de la diaspora mais aussi des municipalités de la RDC. Malgré les failles, le ROC encourage la CENI à poursuivre les étapes restantes du processus électoral jusqu’à la publication définitive des résultats. « En définitive, les irrégularités constatées dans certains bureaux de vote à travers le pays n’affectent pas la poursuite des autres étapes liées aux opérations de vote », a indiqué Eddy Ndimo, coordonnateur de cette organisation religieuse dans un point de presse tenu ce vendredi à Kinshasa. Lire aussi: Élections en RDC : Les premiers résultats vont tomber ce vendredi (Didi Manara, 1er vice-président de la CENI) Voici quelques irrégularités notées par le ROC lors de son point de presse : la difficulté dans l’octroi des accréditations de témoins et observateurs électoraux; le déficit de la sensibilisation sur l’utilisation du Dispositif électronique de vote ( DEV); le déploiement tardif des matériels constaté dans plusieurs sites de vote occasionnant une réaction populaire négative et la prolongation de la durée du scrutin ; l’affichage tardif et incomplet des listes de vote dans certains bureaux de vote; des matériels incomplets et des DEV déchargés dans certains bureaux de vote. En attendant la publication officielle des résultats, les candidats de l’opposition se revendiquent vainqueurs des élections. Une première, cette méthode, alors que seule la CENI a le droit de publier le vrai vainqueur de cette bataille.
Transparence électorale en RDC : les États-Unis mettent en garde Kinshasa
« Nous n’hésiterons pas à pointer du doigt les irrégularités qui portent atteinte, selon nous, au processus démocratique et à la volonté du peuple congolais », a rapporté, jeudi 21 décembre, le porte-parole du département d’État à Washington. Étant une puissance mondiale qui exerce une politique démocratique, l’Amérique renouvelle son « appel à des élections libres et justes, conduites dans la transparence et dans le cadre d’un processus inclusif ». Cette déclaration rejoint celle de l’opposition congolaise qui a publié plusieurs communiqués invitant la population à se tenir prêts pour la rue. Une volonté exprimée par le Front Commun pour le Congo de Joseph Kabila et le camp Katumbi. Sur ce, la Commission électorale nationale indépendante est appelée à rassurer davantage la transparence et la crédibilité de ces élections, malgré un scénario d’irrégularité, d’indignation et de désespoir qui s’est observé pendant les opérations de vote. Notons que le jeudi 21 décembre, le 2e vice-président de la Commission électorale Nationale Indépendante (CENI) Didi Manara a annoncé que les premières tendances des résultats de vote seront progressivement publiées à partir de ce vendredi 22 décembre.
Médias : Le CSAC annonce la fermeture de l’émission The Bachelor en RDC
Le président du Conseil Supérieur de l’Audiovisuel et de la Communication (CSAC) a révélé, ce samedi 09 décembre 2023, la fermeture de l’émission “The Bachelor”, au cours d’une matinée d’échange avec les étudiants de l’Université Pédagogique Nationale (UPN). Pour Christian Bosembe, cette émission porte atteinte aux mœurs et il est impératif de la suspendre pour préserver nos valeurs culturelles tel que dit la loi et notre coutume. « De la même manière dont nous avons interdit la diffusion des émissions à caractère homosexuel et autres, c’est de cette même manière que nous allons fermer The Bacholor. Cette émission de la honte, ignoble, abrutissante et perverse », a-t-il déclaré. L’émission The Bachelor est produite par Canal + présentée par l’influenceuse Emma Lohoues. Elle met en vogue la séduction, un homme va à la rencontre de 20 prétendantes pour sonder et au finale ne choisir qu’une seule femme qu’il va demander en mariage.
Élections du 20 décembre 2023 : “L’affichage des listes définitives des électeurs dans les Antennes est effectif” (Patricia Nseya)
La loi électorale en vigueur en République Démocratique du Congo (RDC), dans son article 8 et 21 de ses mesures d’application en son premier alinéa, stipule que “15 jours avant la date du scrutin, les listes électorales pour l’ensemble du territoire, de la ville ou de commune, selon le cas, sont affichées dans chaque antenne pour consultation par les électeurs, les candidats, les partis politiques ou les regroupements politiques “. Ce mardi 05 décembre 2023, 15 jours avant les scrutins combinés du 20 décembre, c’est chose faite. Les Antennes ont bel et bien obéi à la règle. Le management de la Centrale Électorale a respecté les règles du jeu. C’est le constat fait par le Rapporteur de l’Organe de gestion des élections (OGE), Patricia Nseya, qui s’est rendue ce mardi 05 décembre 2023 dans les antennes de la ville de Kinshasa pour se rendre compte de l’effectivité de cette obligation légale. “L’affichage des listes électorales définitives avec indications des sites, centres et bureaux de vote est effectif à Kinshasa comme sur toute l’étendue du territoire national, 15 jours avant la date du scrutin, comme le veut la loi électorale”, premiers mots du porte-parole de la CENI après une ronde dans bon nombre d’antennes. Tout a commencé à l’Antenne de la Gombe où les listes définitives des électeurs des 5 communes à savoir Gombe , Kintambo, Lingwala, Barumbu et Kinshasa étaient déjà disponibles et la consultation se faisait normalement. Ici, Mme Patricia Nseya a reçu les explications du Chef d’Antenne qui lui a montré comment se fait la consultation pour chaque commune. À l’Antenne de Kalamu qui comprend les communes de Kalamu, Kasa-Vubu, Ngiri-Ngiri, Bandalungwa, Selembao et Bumbu, Patricia Nseya s’est livrée au même exercice dans le but de vérifier l’effectivité de l’affichage des listes électorales définitives qui constitue une étape cruciale, en vue d’assurer la transparence et la crédibilité du processus électoral. À l’Antenne de Limete qui compte les communes de Limete, Lemba et Ngaba, la loi est respectée. “Nous avons initié cette tournée dans les Antennes de Kinshasa et incessamment dans les provinces sur instructions du Président Dénis Kadima pour nous rassurer que l’affichage des listes électorales définitives avec indications des sites, centres et bureaux de votes se fait conformément aux prescrits de la loi, 15 jours avant la date du scrutin”, a indiqué le Rapporteur de la CENI devant la presse. Et Mme Nseya de poursuivre : “Nous sommes contents du travail qui s’est fait et qui continue à se faire, car toutes les Antennes visitées ont déjà affiché les listes, nonobstant les conditions climatiques de ce jour à Kinshasa et la capacité logistique de chaque Antenne. Aux électeurs, candidats et autres parties prenantes au processus électoral, nous demandons de ne pas croire aux rumeurs qui annoncent un probable repport des élections, c’est de la manipulation et stratégie politique de certains compatriotes pour décourager d’autres candidats à battre leur campagne et désorienter les électeurs. Le 20 décembre 2023, il y aura élections en République Démocratique du Congo”, a-t-elle martelé. Cette initiative témoigne par ailleurs l’engagement de la CENI à garantir des élections crédibles, transparentes, démocratiques et apaisées.
RDC : Félix Tshisekedi attendu devant le congrès ce mardi
Le Chef de l’État, Félix Antoine Tshisekedi, sera, ce mardi 14 novembre 2023, devant les deux chambres du parlement réunies en congrès au Palais du Peuple pour une adresse à la Nation. L’annonce a été faite par le rapporteur de l’Assemblée Nationale Lembi Libula dans un communiqué. Félix Tshisekedi ne manquera peut-être pas d’évoquer la situation de la guerre qui obstrue la paix dans la région Est de la République où les affrontements se poursuivent entre les FARDC et les groupes des rebelles. Il sera aussi question dans son discours de parler des questions électorales à 5 jours du début de la campagne électorale et à 35 jours précisément de la convocation des élections générales qui se tiendront le 20 décembre prochain. Enfin, le Président de la République pourrait aussi évoquer la question du retrait des troupes onusiennes et de la force régionale de l’EAC qui sont vivement critiquées pour leur inactivité face aux rebelles. C’est la 5e fois, depuis son accession au pouvoir, que M. Félix Tshisekedi se présente devant le congrès pour s’adresser à la Nation. Le Président sortant mettra également un accent sur des actions réalisées au cours de son quinquennat. Cet exercice tire son fondement dans les dispositions de l’article 77 de la constitution qui stipule ce qui suit : “Le Président de la République adresse des messages à la Nation. Il communique avec les Chambres du Parlement par des messages qu’il lit ou fait lire et qui ne donnent lieu à aucun débat. Il prononce, une fois l’an, devant l’Assemblée Nationale et le Sénat réunis en Congrès, un discours sur l’état de la Nation”.
Société : Une journaliste et activiste des droits des femmes parle des violences sexuelles en RDC
Dans une interview accordée à Congopresse, dimanche 05 novembre 2023, la militante des droits des femmes, Brenda Basunde, s’est exprimée sur la question des violences sexuelles en République démocratique du Congo. Sur la question de l’importance que l’État accorde à ce fléau, Brenda Basunde dit être inquiéte car, pour elle, l’État congolais “banalise le viol”. « On constate qu’il y a une banalisation de ces violences par la justice congolaise sans parler des obstacles structurels et les défis opérationnels dont ce système fait face qui affectent même la lutte contre les violences sexuelles en RDC. Pouvez-vous imaginer, seuls quatre tribunaux dans tout le Sud-Kivu sont compétents pour juger d’un crime de viol. Une absurdité pour un territoire plus grand que la Suisse et comptant plus de 6 millions d’habitants. Sans surprise, le manque d’accès à l’assistance juridique est l’une des principales causes citées par les victimes pour justifier l’abandon des poursuites », a déclaré Brenda Basunde. Par ailleurs, elle loue le travail accompli par le docteur Denis Mukwege à l’Est de la République Démocratique du Congo qui soigne les femmes victimes des violences sexuelles. « Je pense très honnêtement, que le docteur Mukwege est un guerrier. Un guerrier qui œuvre pour sauver les femmes de son pays, ses actions sont remarquables. Je ne peux que saluer sa bravoure. Il y a entre autre, la honte et la culpabilité qui sont des barrières importantes à la prise de parole. La stigmatisation est l’une des principales causes de ce silence. Dans de nombreux pays, une personne violée est considérée comme impure et salie. C’est d’ailleurs le cas dans les villages, etc. », a renchéri Brenda Basunde. Et d’ajouter : « Il est très difficile pour une victime de parler de ce qu’elle a subi. Mettre des mots sur ces évènements, c’est en quelque sorte les revivre, les rendre à nouveau réels. Mais en parler est nécessaire pour mener à bien un processus de reconstruction. Même si une victime ne se sent pas capable ou ne souhaite pas porter plainte auprès de la police, il est important qu’elle se renseigne sur les structures d’aide qui peuvent l’accompagner ». Sur la question du consentement d’une fille de 14 à 18 ans pour un rapport sexuel, cette activiste a répondu sans jambage. « Déjà un enfant de 18 ans qui consent à un rapport sexuel, c’est tout à fait normal, parce qu’on suppose qu’il est déjà majeur même devant la loi. Parce contre, ceux qui sont en dessous de 18 ans, c’est un peu trop tôt à mon sens, et le plus souvent ça arrive quand ils n’ont pas assez d’information sur ce que c’est d’ailleurs le consentement à un rapport sexuel ou de ce que c’est le rapport sexuel en soi et quelles sont les conséquences qui peuvent découler de mon acte », a-t-elle souligné. « Et c’est là qu’intervient la responsabilité des parents. Il faut expliquer à l’enfant, qu’il faut se protéger, qu’il est possible de tomber enceinte dès le premier rapport sexuel si aucun moyen de contraception n’est utilisé. Qu’il est possible d’attraper une Infection sexuellement transmissible. Il faut informer l’enfant. En tant que parent, vous êtes la première source d’information sur la sexualité pour votre enfant », a conclu Brenda Basunde, journaliste podcasteuse.