RDC : la situation économique du territoire de Luozi laisse à craindre

Nous sommes dans la province du Kongo-Central, précisément dans la localité de Luozi où les bacs sont bloqués au niveau du beach, car dans cette partie de la République, c’est la voix de jonction entre le territoire de Luozi et le grand centre ville et d’autres villes du pays. La rédaction de Congopresse a joint son correspondant occasionnel sur place, M. Peter Wakalulu, pour éclairer la lanterne sur cette situation. « Tout part de la seule voix de jonction entre le territoire de Luozi et les grandes villes. Les bacs qui font le transport ont connu une panne et même les bacs privés ont du mal à transporter la masse importante de la population de ce coin et aussi elle dénonce la mauvaise gestion de l’argent perçu par la Communauté Évangélique du Congo (CEC) sur l’achat de deux moteurs plus deux moto pompes », a dit le correspondant occasionnel. Pour lui, la solution définitive et durable sera l’achat des nouveaux bacs de plus ou moins 60 tonnes. Ces gens qui passent leur temps à faire les navettes au bord des bacs pour nourrir leurs familles et faire des déplacements sont bloqués par rapport à cette situation. Il est donc difficile de traverser en face pour aller à Songololo et prendre la route nationale numéro 1 (RN 1). Jusque-là aucune réaction des autorités de la province et de la ville. La population lance un cri de détresse aux autorités de leur venir au secours. Signalons que cette situation laisse les pauvres habitants en péril.

RDC : la ministre du Genre échange avec le gouverneur du Kongo-Central en marge de la clôture de la quinzaine de la femme africaine

La ministre du Genre, Famille et Enfants, Mireille Masangu Bibi Muloko a échangé, lundi 14 août 2023, avec le gouverneur ad intérim de la province du Kongo-Central, Grâce Bilolo. Leurs échanges ont tourné autour des activités de la quinzaine de la femme africaine, édition 2023, lancée depuis le 31 juillet dernier. « Je suis arrivée hier soir à Matadi, au Kongo-Central. J’ai une délégation de 26 membres, ce sont des cadres du ministère du Genre, Famille et Enfant, en commençant par leur chef administratif, le secrétaire général au Genre. Nous sommes arrivés ici à Matadi pour continuer les activités que nous avons commencées à Kinshasa, c’est-à-dire que le 31 juillet, c’était la journée internationale de la femme africaine et il y a eu plusieurs activités au niveau de Kinshasa. Il y a eu des foires avec les femmes entrepreneures, des conférences débat et Aujourd’hui, nous avons décidé que pour la continuité des activités restantes et pour les conférences débats, pour un peu secouer la femme congolaise, à partir de Kongo-Central, nous nous sommes décidés de venir ici, chez nous pour faire la continuité des activités sur la journée internationale de la femme africaine », a déclaré la ministre du Genre, Famille et Enfant. « Il y a de libre échange commercial. Alors, nous avons vu que Matadi est vraiment très attaché à un État voisin, qui est la République d’Angola. Il y a également le Katanga, avec Kasumbalesa et la Zambie, mais, notre choix était au Kongo-Central, tout près de Kinshasa, pour venir un peu échangé avec nos soeurs congolaises et surtout réveiller pour exciter l’homme sur la politique nationale de notre Chef de l’État, le président Félix Antoine Tshisekedi, sur la masculinité positive. C’est une politique qui engendre la femme, l’homme, la jeune fille et le jeune garçon », a renchéri la ministre du Genre. La patrone de genre et famille a agencé ses allocutions pour éveiller la conscience de l’homme dans la politique. Après son entretien avec le vice-gouverneur, la ministre du Genre, Famille et Enfant a directement participé à la clôture de la quinzaine des activités de la journée panafricaine. Dans son allocution, Madame Mireille Masangu Bibi Muloko a souligné l’implication du Chef de l’État dans la réussite et le développement de la femme congolaise. « Pour la petite histoire, la journée internationale de la femme africaine est célébrée chaque année le 31 juillet. Elle est aussi appelée journée panafricaine de la femme. Elle témoigne la reconnaissance des contributions et des réalisations des femmes africaines au développement et à la libération de l’Afrique. C’est depuis 1964, que cette journée a été consacrée, en vue de commémorer la lutte et la bravoure de la femme africaine. Le choix de la ville de Matadi, province du Kongo-Central, pour contribuer et clôturer la quinzaine de cette célébration, s’explique par la volonté du Chef de l’État de voir toutes les femmes congolaises se lever pour le développement de la RDC, en participant par leur force et leur sagesse à la contribution de la paix et la mise en œuvre de la zone de libre échange africaine », a-t-elle indiqué. « Ce choix s’explique également par le fait que la province du Kongo-Central est frontière à la République du Congo et d’Angola et largement concernée par la question du commerce transfrontalier où la force et la sagesse de la femme congolaise s’avèrent nécessaires pour accélérer la zone de libre échange entre nos deux États. Au fin de faire participer toutes les femmes, il a été prévu plusieurs thématiques qui continuent d’être développées par les différents intervenants. La célébration de cette journée, nous interpelle au plus haut niveau, elle rappelle et encourage les femmes africaines à travailler pour leur libération totale, en vue de participer au développement et à la reconstruction de leurs États respectifs », a souligné Madame Mireille Masangu Bibi Moloko. « En RDC, les femmes sont encouragées par le premier citoyen de notre pays, j’ai cité, le Président de la République Démocratique du Congo, Chef de l’État, son Excellence Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, dans sa quête de la prise en compte de la femme dans son programme et sa politique de reconduire la Respublica », a conclu la patronne du Genre, en RDC. Rappelons que ces activités de la clôture de la quinzaine de la femme africaine, se célèbrent à Matadi, sous les thèmes “Mettre en commun la sagesse et la force des femmes, pour construire la paix et accélérer la mise en œuvre de la zone de libre échange africaine”, sur le plan régional et ” Femme Congolaise et africaine construisons la paix pour les échanges économiques”, sur le plan national.   Soulignons que la ministre du Genre, Famille, et Enfant, Mireille Masengu a bouclé sa journée du lundi à la division provinciale du Genre du Kongo Central. La clôture des activités de la quinzaine de la femme africaine interviendra ce mardi 15 août à Matadi.

RDC: Félix Tshisekedi lance les travaux d’évaluation de l’état de siège

Le Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi, a lancé, ce lundi 14 août 2023, au Palais du peuple, à Kinshasa, la table ronde sur l’état de siège dans les deux provinces de l’Est. Cette mesure de l’état de siège a déjà duré deux (2) ans et trois (3) mois. Cette table ronde porte sur ces trois propositions principales: “le maintien de l’État de siège, la requalification de l’État de siège, la levée de l’état de siège”. « Je suis conscient que cette situation voulue par le constituant n’a pas vocation à s’éterniser. Évaluation solennelle sous la forme d’une table ronde inclusive. Je vous demande de prendre la mesure, la vraie, car il n’y a pas de la survie de la Nation tout entière. Dans un esprit d’unité, de cohésion. Cet exercice permettra une orientation concertée », a déclaré le président de la République, Félix Tshisekedi. Signalons que ces assises auront une durée de trois jours.

RDC : Kavel Mutond n’est plus recherché par la justice

La justice a retiré, ce vendredi 11 août 2023, l’avis de recherche contre Kalev Mutond, ancien administrateur général de l’Agence Nationale des Renseignements (ANR), poursuivi depuis 2021. « Suite à notre avis de recherche n°1272/RMP.2475/PG.023/a/KP/ ALLU/KAD/KNZ du 11 mars 2023, il y a lieu de cesser les recherches concernant le nommé Kalev Mutond, étant donné que les raisons qui ont justifié cet avis de recherche ne subsistent plus », peut-on lire dans un document signé par le Procureur Général Robert Kumbu Phanzu. Cet ancien administrateur général de l’Agence Nationale des Renseignements (ANR) a fait l’objet des poursuites judiciaires avant de disparaitre de la surface. Il était reproché d’avoir orchestré des arrestations arbitraires et détention illégale avec tortures corporelles et extorsion. En octobre 2022, Robert Kumbu Phanzu avait présenté des excuses à certains de ses plaignants.

Économie : le Japon décide d’accompagner la RDC pour accroître

Le vice-premier ministre de l’économie nationale, Vital Kamerhe, a reçu, ce jeudi 10 août 2023, dans son cabinet de travail, le ministre japonais de l’économie, commerce et industrie, Yasutoshi Nishimura pour accroître ses commerciaux avec la République Démocratique du Congo. Au cours de leurs échanges, le ministre japonais de l’économie a agencé ses allocutions pour dire qu’il était venu pour examiner la mise en pratique de l’accord qui était signé entre son pays et la République Démocratique du Congo. « J’étais venu principalement pour examiner, ensemble avec les autorités congolaises, la possibilité de la mise en œuvre du protocole d’accord signé entre le Japon et la RDC représentée par la Ministre des Mines, Marie Antoinette N’samba Kalambayi lors de sa mission officielle effectuée, à Tokyo, en décembre 2022 », a expliqué le ministre japonais de l’économie. « Mon gouvernement est prêt à mobiliser un budget d’un milliard de dollars américains pour accroître cette coopération en l’élargissant à d’autres secteurs de développement », a-t-il renchéri. Il sied de rappeler qu’en RDC, les startups japonais travaillent déjà sur l’énergie solaire, l’urbanisation de la capitale Kinshasa, l’adduction d’eau, l’énergie hydraulique et le barrage d’Inga. En effet, pour le vice-premier ministre en charge de l’Économie nationale, Vital Kamerhe s’est dit favorable au renforcement de la coopération économique entre la RDC et le Japon à travers des projets bénéfiques à grande échelle et un partenariat gagnant-gagnant. D’après, Vital Kamerhe cette coopération devrait non seulement viser l’exploitation minière mais aussi le transfert des compétences, l’agriculture, le développement des industries, la santé ainsi que l’éducation. Il a réaffirmé la vision du Chef de l’État Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo qui prône une amélioration du climat des affaires pour attirer plus d’investisseurs en RDC et l’amélioration des conditions de vie des congolais. Signalons que le vice-premier ministre, Vital Kamerhe, a félicité l’appui du Japon notamment sur le barrage d’Inga et la construction d’autres micros-barrages, pour la lutte contre la matérialisation.

RDC : la ministre du Genre échange avec une délégation de l’ONU sur les droits des victimes des violences sexuelles

La ministre du Genre, Famille et Enfants, Mireille Masangu Bibi Moloko, a échangé, mercredi 09 août 2023, avec une délégation conduite par la sous-secrétaire générale des Nations Unies (NU), Jane Frances Connors. Leurs échanges ont porté sur la situation des défenseurs des droits des victimes d’abus sexuels en République Démocratique du Congo. C’est une réflexion au tour des solutions pour lutter contre ce système. La délégation de l’ONU a proposé quelques stratégies de collaboration avec des institutions gouvernementales, les organisations de la société civile, les organisations nationales de défense des droits de l’homme afin de créer des réseaux de soutien aux victimes en matière d’assistance. « La ministre a une discrétion très excellente et nous avons également donné notre position sur les violences basées sur le genre. Nous avons eu des échanges très cordiaux et riches et nous avons pensé comment travailler ensemble pour assister les victimes de ces atrocités », a indiqué la sous-secrétaire générale de l’ONU. Jane Frances Connors a, par ailleurs, souligné que dans son rapport intitulé « Dispositions spéciales visant à prévenir l’exploitation et les atteintes sexuelles: une nouvelle stratégie », la sous-secrétaire générale s’est engagé pour que les Nations Unies mettent les droits et la dignité des victimes au premier plan ainsi que des efforts visant à prévenir et à remédier à l’exploitation et aux atteintes sexuelles.

RDC : Sama Lukonde encourage des innovations dans le secteur de génie scientifique congolais

En marge de sa visite, mercredi, au Palais du peuple, le premier ministre, Jean-Michel Sama Lukonde, a souligné la nécessité des initiatives innovatrices en vue d’augmenter sa capacité de résilience dans tous les domaines. Cette visite s’inscrit dans le cadre de l’inspection des travaux des préparatifs du premier (1er ) conclave du génie scientifique congolais, mercredi, au Palais du Peuple. « Nous sommes venus dans un secteur porteur où, de plus en plus, nous avons besoin de voir de l’innovation dans notre pays. De manière que nous puissions augmenter notre propre capacité de résilience, et cela, dans tous les domaines », a souligné Sama Lukonde. « J’ai tenu à venir voir un peu les préparatifs de ce premier conclave du génie congolais, où plusieurs produits seront présentés, particulièrement dans l’agroalimentaire, dans l’agro-industrie, mais aussi dans d’autres domaines pharmaceutiques et aussi du numérique », a-t-il expliqué. Le thème choisi pour ce premier conclave est le suivant : « La Recherche scientifique et l’innovation technologique est le cerveau du développement d’une Nation ». En outre, Sama Lukonde a ajouté que le numérique, tel que le prône le Président de la République, doit avoir tous les jours une production locale, avant de signaler que des produits existants ont besoin d’être encouragés en termes de production industrielle. « C’est donc intéressant de visiter les stands, voir ce qui se fait et pouvoir encourager cette promotion scientifique que nous avons », a-t-il ajouté. Signalons que le premier ministre, Jean Michel Sama, a encouragé aussi ce travail de bravoure que le ministère de la Recherche scientifique est en train d’effectuer, en corrélation avec les autres domaines de formation universitaire ou professionnelle.

RDC : création d’une agence nationale de cybercriminalité, les magistrats sensibilisés sur l’importance du code du numérique

Une journée de réflexion sur l’Ordonnance-Loi n°23/010 du 13 mars 2023 portant Code du Numérique à l’intention des magistrats de la RDC a été organisée, ce mardi 08 août 2023. C’est une initiative du Conseil Supérieur de la Magistrature (CSM) en partenariat avec le ministère du Numérique, dirigé respectivement par Dieudonné Kamuleta et Désiré-Cashmir Kolongele. En effet, ce rendez-vous qui a eu lieu dans la salle des conférences du ministère des Affaires Étrangères, à Kinshasa, a commencé par la projection d’une vidéo expliquant de manière détaillée le contenu de cette loi et son apport dans l’exercice du droit en République Démocratique du Congo. Prenant la parole lors de ces assises, le président du Conseil Supérieur de la Magistrature, Dieudonné Kamuleta a expliqué au corps judiciaire que le ministère du Numérique a convié les magistrats congolais à cette activité pour renforcer leurs connaissances dans le domaine du numérique et surtout, pour identifier les dispositions nécessitant l’action de la justice contre ceux qui, à travers l’outil informatique, se lancent dans la petite délinquance comme dans la grande criminalité. À cet effet, M. Désiré-Cashmir Kolongele a profité de l’occasion pour annoncer la création dans les prochains jours, de l’Agence Nationale de Cybercriminalité (ANCY). Cette agence aura pour notamment « la possibilité de bloquer un site qui diffuserait les contenus interdits ou sanctionnés par le Code du Numérique, ainsi que de bloquer les sites malveillants qui utilisent les moyens technologiques adéquats ». Signalons que l’applicabilité de cette loi innovatrice permettra la régulation du secteur du numérique en RDC, qui est dominé par les insanités et contenus indésirables.

Sous-traitance : Luc Kabunangu met à nu deux alternatives favorable pour la création d’emplois et la réduction de la pauvreté

« La sous-traitance avec ses 2 volets d’ouverture des marchés aux PME et la promotion du contenu local, reste la voie indiquée pour créer l’emploi et réduire la pauvreté », a révélé le père de la philosophie Léopards, mardi 18 août 2023, dans une déclaration parvenue à congoprese.net. Le défenseur des entrepreneurs congolais a estimé que cette démarche doit être accompagnée « Des rapports chiffrés avec taux de participation des petites moyennes entreprises suivis des sanctions contre les récalcitrants, à la place du cosmétique ». L’homme d’affaires et entrepreneur congolais a, comme de coutume revendiqué, « des sanctions », à l’endroit des entreprises qui ne respectent pas la loi fixant les règles applicables à la sous-traitance dans le secteur privé de la sous-traitance. Il estime que l’efficacité des « deux volets » de la sous-traitance, suivie des sanctions « permettront la création rapide des millionnaires ». « Il y a presque 2ans que le Président a demandé des sanctions, y compris des fermetures », a-t-il dit avant de revenir sur l’exigence de la transparence dans les missions de contrôle. Pour Luc Kabunangu, ces deux volets « reste la voie indiquée pour créer l’emploi et réduire la pauvreté », dans un pays où plus de 62 % de la population soit 60 millions de personnes vivent avec moins de 2,15 dollars par jour, selon la dernière étude de la Banque mondiale. Une triste réalité qui positionne le pays parmi les nations les plus pauvres du monde. À savoir que les entrepreneurs congolais réclament également la transparence dans les missions de contrôle de l’Autorité de régulation de la sous-traitance dans le secteur privé.

RDC: Cobiofil, une innovation dans l’assainissement non collectif lancée à Kinshasa

Une cinquantaine de congolais ont pris part le samedi dernier, au lancement officiel et présentation de Congo Biofil ( COBIOFIL), une entreprise moderne de construction générale œuvrant dans le secteur de l’environnement. Cette entreprise dont le système d’exploitation est déjà utilisée dans d’autres pays, tient à apporter une innovation notamment dans le domaine de l’assainissement non collectif et la création des fosses septiques biologiques filtrées non vidangeables. « C’est une entreprise spécialisée quasiment sur l’assainissement non collectif facilitant la gestion des déchets humains et bien surtout en minimisant les risques sanitaires. Elle dispose d’un bureau d’études de tout corps d’état, et dispose ainsi un portefeuille de service notamment la réalisation de tous les travaux de construction, le nettoyage de façades extérieures , l’entretien et maintenance complet des bâtiments, l’évacuation des déchets dans les locaux et le nettoyage des cuves mais aussi des baignoires», a expliqué Isaac Newton Mabenga. Pour le Directeur chargé du commercial et de la communication de Biofil, l’entreprise collabore avec plusieurs expatriés basés en RDC, en Afrique et ailleurs. « Certes, c’est une initiative qui voit le jour au pays grâce à un jeune architecte congolais, toutefois l’innovation de Cobiofil bénéficie d’un apport de ses différents partenaires internationaux. Nous offrons plusieurs services de qualité. Avec nos toilettes, vous n’allez pas vous inquiéter pour les vider. Et pourtant, ce qui n’est pas le cas avec les fosses septiques classiques. Grâce à Cobiofil, vous pouvez faire plus de 25 ans sans vider la fosse septique pour un usage de huit personnes dans une parcelle. En plus de cela notre coût du travail est faible par rapport aux fosses septiques habituelles». De son côté, le chef du projet de Cobiofil a déclaré que cette entreprise qui tient à devenir la première grande institution dans l’assainissement non collectif dans le pays , peut offrir ses services au-delà des frontières de la RDC dans un avenir proche. «La joie est immense car nous réalisons ce jour notre rêve. Plusieurs clients ont déjà bénéficié de nos services il y’a déjà quelques mois. Aujourd’hui, c’est un lancement officiel pour que les gens sachent que Cobiofil est là et ils peuvent nous approcher pour découvrir nos spécialités. Nous avons l’objectif de nous étendre au-delà de Kinshasa voir au-delà de la République Démocratique du Congo», a fait savoir Jean Richard Antipas Malala Il sied de rappeler que Congo Biofil ( Cobiofil) a pour mission entre autres d’empêcher empêcher automatiquement les organismes de propager les maladies et doter à la communauté un cadre sanitaire très efficient.