FIFA MONDIAL 2026 : les résultats du tirage au sort sont connus, la RDC tombe dans le groupe B

La capitale ivoirienne Abidjan a abrité, ce jeudi 13 juillet, le tirage au sort des qualifications pour la Coupe du monde 2026 qui sera organisée conjointement par le Mexique, les États-Unis et le Canada. Pour rappel, neuf sélections africaines prendront part à la prochaine édition du Mondial. Une 10e nation africaine pourrait participer à cette joute si elle arrive à gagner le match des barrages face à une sélection d’un autre continent. Le tirage au sort des qualifications africaines pour le Mondial a donné lieu aux poules suivantes: Groupe A – Egypte – Burkina Faso – Guinée Bissau – Sierra-Leone – Ethiopie – Djibouti Groupe B – Sénégal – RDC – Mauritanie – Togo – Soudan du Sud – Soudan Groupe C – Nigéria – RSA – Bénin – Zimbabwe – Lesotho – Rwanda Groupe D – Cameroun – Cap-Vert – Angola – Libye – Ile Maurice – Eswatini Groupe E – Maroc – Zambie – Congo Brazzaville – Tanzanie – Erythrée – Niger Groupe F – Côte d’Ivoire – Gabon – Kénya – Gambie – Seychelles – Burundi Groupe G – Algérie – Guinée – Uganda – Mozambique – Somalie – Botswana Groupe H – Tunisie – Guinée équatoriale – Namibie – Malawi -Sao Tomé et principe – Libéria Groupe I – Mali – Ghana – Madagascar – RCA – Tchad – Comores

Kinshasa : le porte-parole d’Ensemble pour la République, Chérubin Okende retrouvé mort ce matin

Après son enlèvement par des éléments armés non identifiés, l’opposant Chérubin Okende a été retrouvé mort, ce jeudi 13 juillet, dans sa jeep devant les installations de SEP Congo sur l’avenue poids lourds à Kinshasa. L’information a été confirmée par ses proches collaborateurs qui sont arrivés sur place. Mais Aucune confirmation officielle n’a été faite jusque là. Son corp est conduit à l’hôpital du cinquantenaire.

Élections RDC : pour Jean-Marc Kabunda, la décision de ne pas déposer les candidatures ne va pas fragiliser l’ECIDé

L’opposition s’assume réellement. Pas question d’aller aux élections si ses revendications ne sont pas prises en compte. Du côté de Martin Fayulu, aucune candidature de Lamuka ne sera déposée aux bureaux de la CENI, « le fichier électoral étant corrompu », ne cesse-t-il de répéter. Face à cette décision de ne présenter aucune candidature aux élections prochaines, le conseiller en communication de Martin Fayulu, M. Jean-Marc Kabunda estime que « l’ECIDé ne sera pas fragilisé et continuera d’exister ». Il l’a dit, ce mercredi 12 juillet, au cours d’une interview exclusive accordée à Congopresse.net. « Donc ceux qui veulent accompagner M. Félix Tshisekedi dans cette fraude, peuvent le rejoindre et ECiDé continuera d’exister car nul n’est indispensable. Ça ne sera pas la première ni la dernière fois que les gens partent. En conclusion ECiDé ne sera pas fragilisé au contraire nous sortirons vainqueurs dans sa lutte », a déclaré Jean-Marc Kabunda. Pour ce haut cadre du parti de l’ECIDé, ce parti ne peut pas aller aux élections dans les conditions où “le gagnant est déjà connu d’avance”. “Nous sommes en face des usurpateurs qui sont arrivés au pouvoir par la fraude et veulent se maintenir au pouvoir en trichant une nouvelle fois. On ne peut pas aller aux élections dans ces conditions où le gagnant est déjà connu d’avance. C’est pour cette raison que nous insistons sur des élections crédibles et transparentes. L’UE, les USA ont tous insisté sur la crédibilité des élections et ont clairement dit que les revendications de l’opposition devraient être prises en compte d’urgence”, a-t-il renchéri. À en croire Jean-Marc Kabunda, l’heure est maintenant à l’activation de l’article 64 de la Constitution pour « faire échec à toute forme de dictature d’où qu’elle vienne ». Jean-Marc Kabunda a, par ailleurs, rappelé la raison pour laquelle on adhère dans un parti politique, servir le peuple et la Nation. “Lorsqu’un citoyen adhère à un parti politique, il le fait par ses convictions. On vient en politique pour servir le peuple et la Nation et non s’enrichir ou avoir des calculs politiciens pour se positionner”. Rappelons que Martin Fayulu exige un deuxième audit du fichier électoral qui, selon lui, contiendrait des fictifs, des mineurs et des militaires. La CENI, par contre, juge inopportune l’idée d’entreprendre un autre audit externe du fichier électoral estimant que la préoccupation n’avait pas de fondement.

La procédure pénale contre Matata par le PG près la Cour constitutionnelle (Tribune de Me Carlos Mupili)

La Constitution a limité le pouvoir du parquet général près la Cour constitutionnelle aux deux justiciables dont le Président de la République et le Premier ministre ainsi que leurs co auteurs et complices. L’article 164 de la constitution dispose que : “La Cour constitutionnelle est le juge pénal du Président de la République et du Premier ministre pour les infractions (…) commises dans l’exercice ou à l’occasion de l’exercice de leurs fonctions. Elle est également compétente pour juger leurs co auteurs et complices.” Le procureur général de la Cour constitutionnelle fonde son action sur le principe de la cristallisation de droit pénal en justifiant que le fait infractionnel sur l’affaire Bukangalonzo a été commis par le sénateur Matata à l’époque où il était Premier ministre. Ce qui lui donne la compétence de le poursuivre en tant que Premier ministre puisque le PG près la Cour constitutionnelle n’a que le Président de la République et le Premier ministre et leurs co auteurs et complices comme justiciables. A noter que Matata comme sénateur, il serait poursuivi devant la Cour de cassation mais comme Premier ministre, c’est devant la Cour constitutionnelle. Même si l’on fait semblant d’oublier l’article 167 de la Constitution qui dispose : ” En cas de la condamnation, le Président de la République et le Premier ministre sont déchus de leurs charges.” L’interprétation de cet article remet en cause la poursuite d’un ancien Président de la République et d’un ancien Premier Ministre car il chasse l’équivoque en démontrant que seuls le Président de la République et le Premier ministre en fonction sont concernés pour être déchus en cas de leurs condamnations. Toute fois, restons dans le contexte que même l’ancien Premier ministre ou l’ancien Président de la République peut être poursuivi par la Cour constitutionnelle comme le veut le récent arrêt de la Cour constitutionnelle qui donne curieusement les effets de la rétroactivité en défaveur de l’accusé. Ceci revient à dire que le fait de lever les immunités de l’honorable Matata comme sénateur ne suffit pas pour que le procureur général près la Cour constitutionnelle fonde sa compétence pour décerner un mandat de comparution au sénateur Matata qui répond selon le procureur comme Premier ministre. Il y a une autre barrière à franchir, celle des privilèges des poursuites telles que prévoient les dispositions de l’article 166 alinéa 1 : ” La décision des poursuites ainsi que la mise en accusation du Président de la République et du Premier Ministre sont votées à la majorité des deux tiers des membres du Parlement composant le Congrès suivant la procédure prévue par le Règlement intérieur.” En lisant cet article, on comprend clairement que le procureur général n’a pas encore la compétence de lancer le mandat de comparution à l’honorable Matata car il n’est pas le procureur général près la Cour de cassation qui ouvre une action publique contre un sénateur mais il s’agit, selon sa logique, d’un Premier ministre (accusé) qui est poursuivi et que l’action judiciaire tire sa base juridique de l’article 164 ,165 et 166 ainsi que dans la loi organique sur la Cour constitutionnelle. La barrière liée aux privilèges des poursuites est de deux niveaux : l’autorisation du Congrès pour la décision des poursuites d’une part, après, l’autorisation de mise en accusation d’autre part. Le parquet général près la Cour constitutionnelle n’est pas comme le parquet général près la Cour de cassation qui jouit de la plénitude de l’action publique car il est subordonné à l’autorisation de deux tiers des membres du Congrès, et non du bureau du sénat. Le Procureur général près la Cour constitutionnelle devrait rester dans le droit constitutionnel pénal pour éviter les excès de pouvoir car toute compétence est d’attribution. Le Procureur général près la Cour constitutionnelle devrait attendre la rentrée parlementaire pour formaliser sa démarche malgré la violation de principe de “No bis in idem”. Enfin, le procureur général près la Cour constitutionnelle devrait s’interroger sur sa compétence qui est limitée politiquement par l’autorisation du Congrès et éviter que le Président de la République, Félix Tshisekedi, se plaigne encore de la mauvaise qualité de la Justice congolaise.

Justice : Matata Ponyo boude le mandat de comparution de la cour constitutionnelle

Le sénateur Matata Ponyo ne s’est pas présenté, mercredi 13 juillet, à la cour constitutionnelle. Les avocats de l’ancien premier ministre Augustin Matata Ponyo continuent de remettre en cause la compétence de la cour constitutionnelle dans l’affaire Bukanga Lonzo. Dans une conférence de presse tenue, mercredi, au sujet du mandat de comparution délivré par procureur général près la cour constitutionnelle à ce sénateur, les avocats conseils de Matata Ponyo ont exprimé leur mécontentement sur certains hauts responsables de la justice qui démontrent, selon eux, « une témérité à nulle autre pareille, quand il s’agit de violer ou détourner la constitution et la loi à leur disposition ». « Le principe d’illégal concerne aussi la procédure pénale, il n’y a pas de juge ou de juridiction sans la loi. Ce qui veut dire qu’une personne ne peut être poursuivie que devant une juridiction préalablement connue dans un texte de loi. Il s’agit d’un principe constitutionnellement garanti par l’article 17 alinéa 2 de la constitution. L’affaire Bukanga Lonzo est terminée et aucune règle de droit ne permet de la relancer », indiquent ses avocats. Notons que c’est pour la deuxième fois que la cour constitutionnelle envoie un mandat de comparution à Augustin Matata Ponyo qui ne se présente toujours pas. Le procureur général près la cour constitutionnelle explique le rebondissement de l’affaire Bukanga Lonzo par le fait qu’il y aurait des éléments nouveaux qui ont été découverts. Cependant, cette hypothèse ne passe pas chez Matata Ponyo. Le sénateur Augustin Matata avait d’ailleurs, en juin dernier, récusé le procureur général tout en criant à l’acharnement politique. « Cette affaire en justice, c’est parce que je suis candidat à l’élection présidentielle », ne cesse-t-il de répéter. Matata Ponyo se considère également comme l’unique candidat président de la République qui « fait peur » au président Félix Tshisekedi. Ce qui, selon lui, justifie « l’acharnement politique » dont il fait l’objet en justice.

Jubilé d’argent du Roi Mwami Mwenda Bantu de Bunkeya : Catherine Kathungu promet de valoriser la culture locale

En marge de la célébration des 25 ans du trône de sa Majesté Mwami Mwenda Bantu des Bayeke, la ministre de la Culture, Arts et Patrimoines, Catherine Kathungu, a visité, samedi 08 juillet, des sites historiquement culturels de Bunkeya afin de les identifier avant leur classement au Patrimoine national et mondial. Au cours de son allocution, Catherine Kathungu Furaha a exprimé la volonté du Chef de l’État de renforcer le tourisme culturel en vue de valoriser la culture congolaise qui est le gage de l’histoire et des aspirations profondes de la RDC. « Tout est précieux dans ce Royaume. Tout est Patrimoine dans cette chefferie de Bayeke. Voilà pourquoi le 28 Octobre 2022, j’ai fait jumeler Bunkeya avec la ville Cité italienne de Santantimo. Le monde entier doit savoir que c’est ici sur l’Avenue Shombeka wa Shalo que sont les tombes historiques et l’histoire de la tête décapitée jamais retrouvée de l’un des plus Grands Rois d’Afrique et du Congo », a-t-elle déclaré. Dans son souci d’appuyer les recherches archéologiques et anthropologiques ainsi que la jeunesse, la ministre Catherine Kathungu Furaha a annoncé devant tous les Yeke sa détermination à accélérer le processus du jumelage de la cité de Bunkeya de la RDC à celle d’Italie, Santantimo. Selon elle, ce jumelage permettra aux jeunes Yeke d’être en contact avec les enfants italiens et dans la même occasion faire connaître la culture de ce coin du pays. Catherine Kathungu Furaha a annoncé que le gouvernement s’est engagé à retrouver la tête du célèbre Grand Roi Fondateur du Royaume de Garanganze et de la dynastie des Bayeke décapité en décembre 1891 et la tête emportée par des militaires Belges. Cette annonce a valu une grande joie du Roi Godefroid Munongo Junior et des Yeke. « La République Démocratique du Congo est désormais engagée à retrouver la tête du Roi M’siri 1er jamais retrouvée depuis plus de 130 ans », a-t-elle fait savoir avant d’annoncer qu’une équipe des archéologues sera disposée pour réussir à retracer où se trouve cette tête. À l’en croire, dans moins de temps, tous les sites historiques seront classés dans la liste du patrimoine au niveau national. « Les arbres historiques Mulumba et les arbres de la chance Mwemwe Tuseko, les tambours des Bayeke et surtout le Mont Nkulu avec son architecture et ses contes, doivent figurer sur la liste du Patrimoine Culturel immatériel et matériel du Congo » a-t-elle lancé comme défi afin de réaliser la recommandation du programme du gouvernement dans l’axe 61 et 62 où le souci demeure de valoriser ces sites. Fils de Mwami Munongo Godefroid décédé en 1992, le Mwami Wihala, Godefroid Munongo Junior a, pour sa part, exprimé sa joie de fêter ce Jubilé d’argent autour de ses proches, amis et partenaires ayant fait les déplacements pour honorer les membres de la dynastie des Bayeke du Garengaze. Le Roi a profité de l’occasion pour rappeler les efforts qu’il a fourni pour l’amélioration des conditions de vie de ses communautés « en renforçant les infrastructures de base, en dotant les outils pour améliorer l’accès à l’eau potable et l’électricité, en soutenant l’agriculture et en créant des emplois ». Plusieurs réalisations entrent dans les actifs du Roi Godefroid Junior Munongo dans la chefferie des Bayeke avec notamment la création de l’Université Technologique M’siri 1er et le Centre des recherches scientifiques Munongo Godefroid pour ne citer que cela. Le Mwami des Bayeke a remercié le Chef de l’État « pour la paix, gage de réussite dans l’organisation des manifestations et célébrations ». Il a également remercié la Ministre de la Culture, arts et Patrimoines, Catherine Kathungu Faruha pour sa présence à ce Jubilé d’argent. La fille de Butembo fait partie désormais également des Yeke au Nom de Mwena Masele Kathungu Furaha Catherine, ce qui veut dire l’enfant qui naît dans le bonheur.

Élections RDC : Martin Fayulu promet de mobiliser le peuple pour l’application de l’article 64 

L’opposant Martin Fayulu promet de mobiliser le peuple pour l’application de l’article 64 de la Constitution. Et ce, dans le cadre du processus électoral en cours en République Démocratique du Congo. Le président de l’Engagement pour la Citoyenneté et le Développement (ECIDÉ) l’a dit lors d’un point de presse organisé ce mercredi 12 juillet à Kinshasa. À la même occasion, il a dit maintenir sa position de ne pas déposer les candidatures de sa plateforme Lamuka aux Bureaux de Réception et Traitement des Candidatures (BRTC) ouverts par la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI), tant qu’il n’y aura pas un deuxième audit externe du fichier électoral avec une expertise internationale. Notons que l’article 64 de la Constitution de la RDC stipule : « Tout Congolais a le devoir de faire échec à tout individu ou groupe d’individus qui prend le pouvoir par la force ou qui l’exerce en violation des dispositions de la présente Constitution. Toute tentative de renversement du régime constitutionnel constitue une infraction imprescriptible contre la nation et l’État. Elle est punie conformément à la loi ». Il convient de préciser que cette déclaration de Martin Fayulu fait suite à la décision de la CENI qui trouve inopportun l’organisation d’un deuxième audit du fichier électoral pourtant contesté par l’opposition. Cette décision est tombée à l’issue de l’Assemblée plénière de la CENI tenue, vendredi 07 juillet. Par ailleurs, le 30 juin dernier, la CENI avait réuni les différents leaders de l’opposition pour écouter leurs desideratas. Cette réunion qui semble avoir noué des vains espoirs.

CENI RDC : plus de 2.000 agents en formation sur le repérage des bureaux de vote à travers le pays

C’est ce mardi 11 juillet, dans la salle Abbé Apollinaire Malu Malu, au siège de la CENI, que le rapporteur Adjoint de la Centrale Électorale, Paul Muhindo, a lancé la formation des préposés au repérage des bureaux de vote et à l’identification des membres des bureaux de vote et de dépouillement. Ils sont au total 2 500 préposés qui devront suivre cette formation à travers tout le pays. Cette formation a une durée de deux jours (du 12 au 13 juillet 2023). Les facilitateurs de cette formation sont des missionnaires de Kinshasa, des chefs d’antennes et les informaticiens. « L’objectif général poursuivi par cette formation consiste à doter la CENI de la cartographie des Bureaux de vote et de dépouillement (BVD) et de constituer la base des données du personnel électoral pour les scrutins prévus le 20 décembre 2023 et ceux de 2024. Votre rôle principal se résume donc à confirmer ou infirmer comme site de vote chaque centre d’inscription ayant fonctionné pendant l’opération de Révision du fichier électoral 2022-2023. Une fois confirmé, le site de vote est appelé à abriter un ou plusieurs centres de vote selon le nombre des bureaux de vote générés », a souligné le rapporteur adjoint. Par ailleurs, à l’issue de cette formation de deux jours, ces agents seront déployés sur terrain à travers tout le pays pour les travaux de repérage des bureaux de vote et de dépouillement (BDV). Ces opérations de repérage auront une durée de 15 jours, à en croire le rapporteur adjoint de la CENI. Pour sa part, le Secrétaire Exécutif National de la CENI, Thotho Mabiku Totokani, a invité ces agents à s’engager activement en vue de fournir des résultats fiables sur la cartographie des bureaux de vote. « La formation qui sera dispensée aux préposés au repérage des bureaux de vote et à l’identification des membres des bureaux de vote et de dépouillement revêt une importance capitale d’autant qu’elle constitue un pont direct avec les scrutins. Les bénéficiaires sont ceux ayant travaillé aux opérations d’identification et d’enrôlement des électeurs en qualité des contrôleurs techniques territoriaux dont la prestation a été appréciée », a déclaré le Secrétaire Exécutif National. Soulignons que cette cérémonie s’est déroulée, en présence du Secrétaire Exécutif National, Thotho Mabiku Totokani et du Secrétaire Exécutif Provincial de Kinshasa, Mme Anne-Marie Mukwayanzo Mpundu. Ces travaux de repérage des bureaux de vote et d’identification des membres des bureaux de vote et de dépouillement intervient à moins de deux jours de la clôture des opérations de réception et de traitement des candidatures pour la députation nationale lancées le 25 juin dernier.

Éliminatoires CAN Côte d’Ivoire 2024 : la RDC sort tête haute du procès face à la Mauritanie

Les léopards de la RDC ont gagné le procès face à la Mauritanie, ce mardi 11 juillet 2023. De ce fait, ils récupèrent 3 points du match retour joué à Nouakchott suite à l’alignement inéligible du joueur Khadim Ndiayi de la part de la Mauritanie. Gros retournement de la situation après la décision de la CAF qui vient d’infliger à la Mauritanie une défaite par forfait. Cette information est livrée par la FECOFA à la rédaction de congopresse.net dans la soirée. Une décision prise, ce mardi, par le jury disciplinaire de la CAF, après recours de la RDC qui contestait l’éligibilité de trois jours mauritaniens. Notons que Khadim Ndiaye est né à Dakar. Il avait disputé les éliminatoires du CHAN 2020 avec l’équipe locale du Sénégal. Ce qui le rend non éligible pour représenter les Mourabitounes de la Mauritanie. Après la sanction de l’arbitre central de cette rencontre, Semi Seldok qui avait donné à Cédric Bakambu un carton rouge immérité, cette fois-ci c’est le tour des mauritaniens d’être sanctionnés. La Fédération Mauritanienne de Football est sommée de payer une amende de 10.000 USD à la CAF. Il sied de noter que la RDC occupe présentement la première position avec 9 points, suivis du Gabon 7 points et de la Mauritanie 6 points enfin, le Soudan 6 points.

Tshopo : L’Exécutif provincial acquiert quelques véhicules de lutte contre les incendies

C’est sur fond propre de l’Exécutif provincial que la gouverneure de la Tshopo, Madame Madeleine Nikomba, a réceptionné quelques engins pour la lutte contre les incendies dans son entité. Il y au total deux véhicules anti-incendie. La cérémonie d’acquisition de ces engins a été présidée, samedi 08 juillet, à Kisangani, par la cheffe de l’Exécutif provincial, Mme Madeleine Nikomba. « Depuis un moment dans la province de la Tshopo, en général et la ville de Kisangani, en particulier, nous étions en train d’assister impuissamment à la destruction de nos maisons et édifices par des incendies à la suite du manque des véhicules anti incendies. La dotation des véhicules anti incendies qui constitue une action marquante de la protection civile rentre dans le cadre de la réalisation du programme d’action du gouvernement provincial », a affirmé Madeleine Nikomba. À la fin de cette cérémonie, la gouverneure de la Tshopo a remis les clefs de ces deux véhicules au maire de la ville de Kisangani qui, à son tour, les a remises au responsable de la protection civile. Soulignons que durant ces deux dernières années, la province de la Tshopo a enregistré de nombreux cas d’incendie aux quels elle n’a pas pu faire face. L’acquisition de ces engins vient apporter un nouvel espoir à la population de la Tshopo et constitue une réponse forte à ces problèmes d’incendie dans la province.