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Kinshasa : les nouveaux tarifs des transports imposés toujours inapplicables chez les chauffeurs en commun

Par Felly Luyindadio

Dans le souci de répondre aux difficultés de la population Kinoise qui fait face à des comportements farfelus des conducteurs des taxis s’opérant dans la ville, les autorités de Kinshasa ont fixé, il y a presque un mois, les tarifs des transports en commun ainsi que les itinéraires officiels à parcourir sur toute l’étendue de la capitale congolaise.

Dans ces tarifs rendus publics, l’hôtel de ville a réduit les coûts des différents tickets qui coûtaient une blinde aux Kinois, usagés de ces tronçons. De marché Central ou Centre ville à : Kingasani ya suka : 1.000 FC, Kimbanseke : 1.000 FC, Ndjili Sainte Thérèse : 800 FC, Masina Petro Congo : 800 FC, Delvaux : 800 FC, Ozone Barre : 800 FC, Kinsuka pompage : 1.000 FC, Campus : 1.000 FC, Intendance : 1.000 FC… Pour ne citer que ceux-là.

Malgré ces nouveaux prix imposés par l’hôtel de ville, les conducteurs de Mercedes Benz appelé communément « 207 », Sprinter, Hiace qui s’opèrent dans le Centre ville ne se soumettent toujours pas à cette décision. Ils continuent toujours leurs mauvaises pratiques de manière temporelle et spatiale.

À partir de 17h jusqu’à 23h, pour quitter la commune de la Gombe vers la distinct de Tshangu, Mont Nga Fula, Lemba super ou Terminus, les convoyeurs exigent toujours 1.500, 2.000 voire 2.500 FC avant d’accéder à bord de leur véhicules.

De leurs côtés, les habitants de Kinshasa ne cessent de dénoncer « l’anarchie » au niveau du gouvernorat de la ville de Kinshasa qui n’arrive toujours pas à s’imposer dans ses décisions.

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