C’était le mardi 19 novembre dernier après avoir présenté la grande édition du journal télévisé de 20 heures à la Radio Télévision Nationale Congolaise ( RTNC ) que la journaliste Jemimah Diane a été victime d’une attaque des bandits communément appelés « Kulunas » alors qu’elle était à l’attente d’un taxi pour regagner son domicile.
Poignardée violemment par ces kulunas dans le but de lui ravir ses biens, la journaliste de la chaîne nationale congolaise a vécu une soirée très sombre de sa vie sans une intervention des éléments de la police non plus ceux de la garde républicaine pourtant l’événement s’est déroulé non loin de leur quartier général soit devant la station d’essence Total Énergie sur boulevard du 24 Novembre non loin de camp kokolo.
Comme le secours intervient toujours en retard en République Démocratique du Congo, il a été constaté que la victime avait perdu connaissance suite aux différents coups graves qu’elle avait subi après qu’elle soit acheminée à l’hôpital général du camp kokolo avant son transfert à l’hôpital du cinquantenaire lieu où la chevalière de la plume à tirer sa révérence ce dimanche 24 Novembre vers l’avant midi.
Cependant, touchés de la situation plusieurs observateurs se sont demandés pourquoi la RTNC qui est une entreprise du portefeuille de l’État n’assure pas le déplacement de ses personnels en mettant en leur disposition des bus comme c’est le cas dans plusieurs entreprises et ministères.
De ce fait, les autorités étatiques doivent urgemment prendre des mesures draconiennes pour enfin lutter contre ce phénomène du banditisme urbain qui ne cesse de battre son plein surtout dans la ville province de Kinshasa, capitale de la RDC.
Enfin, l’ensemble de la corporation des professionnels des médias et journalistes compatissent avec la famille biologique de madame Jemimah Diane Mogwo et que l’âme de l’illustre disparu se repose en paix.