
Le Cabinet d’avocats Kapiamba, agissant pour le compte de la société de production audiovisuelle Divo International, a publié ce jour un communiqué de presse réfutant catégoriquement les allégations de malversations financières et de non-respect des obligations contractuelles concernant la production d’un documentaire sur la Guerre des Six Jours à Kisangani. Face à ce que le cabinet qualifie de « rumeurs infondées visant à nuire à la réputation » de son client, il entend rétablir les faits.
Les allégations, qui ont circulé dans certains médias congolais, portaient principalement sur le contrat liant Divo International à son client, FRiVAO, ainsi que sur la gestion des fonds alloués à la production du film. Le cabinet Kapiamba insiste sur la transparence et la rigueur dont a fait preuve Divo International tout au long du processus.
Selon le communiqué, le contrat de production a été conclu dans le respect des lois et réglementations congolaises, avec l’obtention de toutes les autorisations nécessaires, y compris l’indispensable ANO (autorisation de non-objection). Le point central de la controverse, un double paiement erroné effectué par le client FRiVAO, est également abordé frontalement.
« Les services financiers internes chez Divo International avaient identifié et signalé par écrit une erreur administrative de double paiement effectuée par le client FRiVAO. Notre client Divo a immédiatement depuis janvier 2025, initié le remboursement intégral du montant reçu en surplus, processus achevé à ce jour, démontrant une probité rare », précise le communiqué.
Au-delà de cette erreur de paiement spontanément corrigée, le cabinet Kapiamba souligne l’exécution irréprochable du projet, du respect des délais (malgré des prolongations dues aux retours des parties prenantes) à la qualité du documentaire. Le budget alloué, précise le communiqué, couvrait non seulement la réalisation du film, mais aussi la mobilisation d’équipes techniques internationales venues de France et des États-Unis, l’organisation d’un événement de lancement, une campagne de communication, ainsi que la promotion nationale et internationale du documentaire. Actuellement, le film est en lice pour plusieurs festivals internationaux.
Le cabinet Kapiamba met également en avant une reconnaissance officielle de la qualité du documentaire par le client FRiVAO, qui aurait remercié Divo International par écrit. FRiVAO aurait également reconnu que l’erreur de double paiement résultait de ses propres procédures internes.
« Divo International a agi avec une transparence et une éthique irréprochables, signalant spontanément une erreur qui aurait pu passer inaperçue et procédant à un remboursement intégral », affirme Maître Georges Kapiamba, avocat principal au Cabinet Kapiamba. « Les rumeurs actuelles constituent une tentative regrettable de diffamation, sans fondement factuel ni juridique. »
Fort de ses arguments et des documents qu’il affirme avoir transmis aux autorités compétentes, le cabinet Kapiamba condamne fermement les tentatives de nuire à la réputation de Divo International et de son fondateur et se réserve le droit d’envisager des mesures légales contre les sources de ces allégations.
Fondée en 2002 et basée à Kinshasa, Divo International s’est imposée comme une entreprise audiovisuelle engagée dans la production de contenus à fort impact social. L’entreprise se distingue par son professionnalisme et son dévouement à la valorisation des récits congolais, en collaboration avec des talents locaux et internationaux. Ce projet de documentaire sur la Guerre des Six Jours de Kisangani, qui a touché de nombreuses victimes, en est une illustration, précise le cabinet Kapiamba.