À l’issu de l’atelier sur l’état des lieux du sous-secteur de l’EPST en provinces, instruit par le professeur Tony Mwaba, ministre de tutelle ce vendredi 23 juillet 2021 à l’hôtel Sultani à Kinshasa. Les participants dudit atelier ont énoncé une liste des recommandations pouvant équité ce sous secteur de l’enseignement en RDC.
Ces recommandations est réaliser par les ministres provinciaux, et les autres participants de cet atelier, regrouper en cinq groupes de travaux.
Les ministres provinciaux et tous les participants ont fait 23 recommandations qui suit :
Au terme de l’atelier sur l’état des lieux du sous-secteur de l’EPST en provinces, initié par le Ministre de l’enseignement primaire secondaire et technique, le Professeur Tony Mwaba Kazadi ce vendredi 23 juillet 2021 à Kinshasa, les ministres provinciaux et tous les participants ont formulé quelques recommandations pouvant redresser ce sous secteur de l’enseignement en République Démocratique du Congo.
Ces recommandations, sied-t-il de préciser, ont été faites par les participants dudit atelier, repartis en cinq groupes de travaux (travaux en groupes)
1. Prendre en charge par l’État, les enseignants nouvelles unités;
2. Prendre les arrêtés de modification des structures des écoles afin de prendre en charge les classes nouvellement créées ;
3. Réhabiliter et construire les nouvelles infrastructures scolaires;
4. Subventionner les épreuves de TENAFEP et payer les redevances de 2020 afin de ne pas compromettre l’organisation du Tenafep 2021, ainsi que la production et la distribution des bulletins;
5. Agréer et mécaniser les nouvelles écoles opérationnelles;
6. Assurer une bonne communication sur la gratuité;
7. Assurer la communication entre le ministère national et les provinces;
8. Rajeunir le personnel (la mise a la retraite du personnel éligible);
9. Obliger chaque province d’élaborer un plan provincial de recyclage de tous les enseignants;
10. Améliorer le traitement des inspecteurs et des enseignants;
11. Créer des écoles mobiles pour les déplacés, dans les zones où sévit l’insécurité;
12. Former et encadrer les inspecteurs et les enseignants pour une prise en charge psychosociale adéquate des élèves de zones où sévit l’insécurité;
13. Majorer les frais de fonctionnement des écoles et des bureaux gestionnaires;
14. Dépolitiser la nomination des cadres à l’EPST;
15. Bancariser tous les enseignants et rapprocher les lieux de paie des écoles;
16. Interdire aux structures non autorisées d’opérer dans les écoles;
17. Promouvoir le système de recrutement des enseignants par concours;
18. Veiller sur le travail de l’inspection et du SECOPE afin d’éviter le monnayage de leurs services;
19. Limiter au strict minimum la création des provinces éducationnelles et des bureaux gestionnaires;
20. Appliquer la politique de non originaires pour la désignation des responsables provinciaux de l’EPST;
21. Inciter les provinces aux efforts de consolidation et pérennisation de la gratuité de l’enseignement primaire par l’ouverture d’une ligne budgétaire dans le budget provinciaux;
22. Construire des nouvelles salles de classes avec des matériaux locaux et à moindres coûts;
23. Organiser le recrutement des inspecteurs pour respecter la ratio et trouver la solution aux problèmes de manque d’inspecteurs pour les options techniques.
1. Prendre en charge par l’État, les enseignants nouvelles unités;
2. Prendre les arrêtés de modification des structures des écoles afin de prendre en charge les classes nouvellement créées ;
3. Réhabiliter et construire les nouvelles infrastructures scolaires;
4. Subventionner les épreuves de TENAFEP et payer les redevances de 2020 afin de ne pas compromettre l’organisation du Tenafep 2021, ainsi que la production et la distribution des bulletins;
5. Agréer et mécaniser les nouvelles écoles opérationnelles;
6. Assurer une bonne communication sur la gratuité;
7. Assurer la communication entre le ministère national et les provinces;
8. Rajeunir le personnel (la mise a la retraite du personnel éligible);
9. Obliger chaque province d’élaborer un plan provincial de recyclage de tous les enseignants;
10. Améliorer le traitement des inspecteurs et des enseignants;
11. Créer des écoles mobiles pour les déplacés, dans les zones où sévit l’insécurité;
12. Former et encadrer les inspecteurs et les enseignants pour une prise en charge psychosociale adéquate des élèves de zones où sévit l’insécurité;
13. Majorer les frais de fonctionnement des écoles et des bureaux gestionnaires;
14. Dépolitiser la nomination des cadres à l’EPST;
15. Bancariser tous les enseignants et rapprocher les lieux de paie des écoles;
16. Interdire aux structures non autorisées d’opérer dans les écoles;
17. Promouvoir le système de recrutement des enseignants par concours;
18. Veiller sur le travail de l’inspection et du SECOPE afin d’éviter le monnayage de leurs services;
19. Limiter au strict minimum la création des provinces éducationnelles et des bureaux gestionnaires;
20. Appliquer la politique de non originaires pour la désignation des responsables provinciaux de l’EPST;
21. Inciter les provinces aux efforts de consolidation et pérennisation de la gratuité de l’enseignement primaire par l’ouverture d’une ligne budgétaire dans le budget provinciaux;
22. Construire des nouvelles salles de classes avec des matériaux locaux et à moindres coûts;
23. Organiser le recrutement des inspecteurs pour respecter la ratio et trouver la solution aux problèmes de manque d’inspecteurs pour les options techniques.
Il sied de signaler que, ce sous secteur de l’enseignement est buté à des difficulté liée aux mauvais gestion, conditions de vie des enseignants depuis des années, selon la constitution l’enseignant congolais à le droit de touché au minimum (250$) comme salaire mais cela n’est pas le cas.
Par ailleurs, pour assoir convenablement son secteur de l’enseignement, le professeur Tony Mwaba représente les indices du changement longtemps attendu par les amoureux de la craie.