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Lettre ouverte et directe à Monsieur Augustin Kabuya, Secrétaire Général de l’UDPS

Par Héritier Lelo

 

Monsieur Kabuya,

J’aurais commencé par vous saluer mais je pense que vous n’en avez pas besoin.
Je suis Guylain BOBA, intellectuel catholique, journaliste de formation et de profession.
Cher Augustin, je pense que vous avez dépassé les bornes et il était temps et nécessaire que je réagisse. Vos invectives, je ne sais même pas si vous en pigez le poids sémantique, mieux, vos injures lancées depuis un certain temps en direction de son Éminence Fridolin Cardinal Ambongo ainsi qu’envers le Révérendissime Abbé Professeur Docteur Donatien Nshole, ne peuvent nous laisser apathiques.
Je vous rappelle que si ces deux hautes personnalités ont des correspondants, vous n’en êtes pas un. Que l’ivresse du pouvoir acquis de la manière bien connue de tous ne vous trouble pas. Nous savons parler et peut-être mieux que vous. Nous allons vous expliquer comment vous êtes arrivés à la tête de l’UDPS. Vous n’avez eu qu’un seul atout pour devenir Secrétaire Général de ce parti devenu clanique. Pour votre gouverne, Le Cardinal Ambongo ne joue que son rôle de prophète, celui de renoncer, de dénoncer et d’annoncer. Si vous n’êtes pas d’accord avec lui, choisissez les canaux appropriés pour lui prouver qu’il a menti quand il dit que le pays va mal, le régime actuel affame le peuple, il y a maintenant des nouveaux riches en défaveur du peuple.
Fort ulcéré de cette mission honteuse que vous vous êtes investie, je sollicite un débat contradictoire avec vous sur un plateau de télévision afin de vous répondre avec précision et concision relativement à vos allégations erronées que vous proférez contre nos très respectés pasteurs, j’ai cité Tata Cardinal Ambongo et le Professeur Docteur Donatien Nshole. Je ne peux pas terminer ma lettre sans vous rappeler que Tata Cardinal Ambongo est également Professeur d’Université.
J’attends impatiemment votre réponse car j’ai hâte de vous envoyer au cul du sac.
Si vous n’avez pas pigé grand chose du contenu de ma lettre, je ne suis pas responsable de votre cécité intellectuelle. Faites-la lire à vos collaborateurs s’il y en a seulement un qui a fait de bonnes études.

Guylain BOBA, Intellectuel Catholique et Journaliste .

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