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EPST-Reprise des cours : Imbroglio entre le ministre Willy Bakonga et les chefs des Établissements scolaires

Une confusion s’installe entre le ministre de l’Enseignement primaire, secondaire et technique et les Chefs des établissements, notamment au Sujet du Calendrier scolaire à établir pour la reprise des activités au sein de l’enseignement primaire et secondaire.

En effet, le ministre de l’enseignement primaire, secondaire et technique Willy Bakonga avait annoncé aux sénateurs au cours de ce mois, qu’un projet de calendrier scolaire réaménagé a été élaboré.

Le ministre Bakonga avait fait remarquer que les élèves auront besoin de 30 jours pour achever les matières prévues pour cette année scolaire, même si la date est encore incertaine.

Plusieurs réunions se sont tenues au courant de la semaine entre les chefs des établissements et les parents dans certaines écoles de la capitale. Ces derniers demandent aux tutelles de s’acquitter de minerval de leurs enfants et souscrire une somme de 1000fc pour le bulletin enfin de permette les enseignants de faire la moyenne.

Quelques parents inquièts de la situation, demandent au ministre Bakonga de clarifier les choses.

 » Nous appelons le ministre de l’EPST d’être clair dans cette situation. Il nous rassure la reprise des cours, voir même quand la première Dame de la république lui a remis un lot important des masques pour la protection des élèves et des enseignants contre la covid-19 au moment de la reprise de cours. De l’autre côté, les chefs d’établissement nous fait croire autre chose. Qui peut- on croire ? », a déclaré un de ces responsables.

Interrogé par congopresse.net, l’un de chef dans ce secteur de l’éducation ayant recquis l’anonymat précise que la reprise des activités scolaires pour cette année, ne concernerait que ceux qui sont aux degré terminal ( finalistes).

D’après lui, le programme prévu pour cette année a été déjà consommé presque 1/3. Ce qui permet de faire la moyenne pour d’autres classes, pour éviter a ce que les enfants soient exposés à la maladie à coronavirus, au moment où il n’y a pas encore les moyens nécessaires pour assurer leur protection.

Fédor Mokungulu

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