Les réactions suscitent de partout après la mise en liberté provisoire de Vital Kamerhe.
Le Président de l’Association Africaine de Défense des droits de l’Homme (ASADHO), Jean-Claude Katende estime que cette liberté provisoire accordée à Vital Kamerhe est « conforme aux lois de la République ».
Condamné en appel à treize ans de prison, l’ancien directeur de cabinet du président de la République a obtenu ce lundi 06 décembre, la liberté provisoire sur une décision de la Cour de cassation, en tenant compte de son tableau médical très sombre. Le président national de l’Union pour la Nation Congolaise doit payer une somme de 500 milles dollars américains avant de quitter sa cellule carcérale dans la prison centrale de Makala.
Signalons que cette dernière intervient après plusieurs demandes de mise en liberté provisoire rejetées.