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Tueries à Béni : «La RDC ne sera jamais balkanisée », déclare Jean Henoc Kabalo

Le secrétaire général adjoint de l’ANADEC chargé des questions politiques, Jean Henoc Kabalo a donné la position de l’ANADEC en concernant un probable plan de balkanisation de la RDC.
« La guerre de Beni devient de plus en plus préoccupante , l’ANADEC s’y penche nuit et jour parce que ça nous intéresse , nous avons comme mission de préserver, de garder , sauvegarder l’intégrité territoriale , la souveraineté de notre pays, l’indépendance de la RDC », a confié Jean Henoc Kabalo à Congopresse.net

D’après ce cadre de l’Anadec, « la guerre à Beni aujourd’hui, on l’appelle une guerre asymétrique parce que les dessous de la carte nous prouve noir sur blanc qu’il y a un projet de balkanisation. Et ce projet ne commence pas aujourd’hui, ça date avant notre existence bien entendu, avant le Congo soit démocratique, avant même l’indépendance il y a eu un projet fond monté par les impérialistes, les ennemis de la RDC pour balkaniser notre pays . »

Jean henoc kabalo a précisé que son parti reste vigilant parce que L’ANADEC est la sentinelle de la République. « Comme Lumumba l’a dit, comme Laurant désiré Kabila l’a aussi bien dit, comme Mfumu Kimbangu l’a dit, comme Kimpa-vita l’a dit, la RDC ne sera plus jamais, ne sera jamais, alors jamais balkanisée. Nous ferons face à toutes ces menaces de balkanisation enfin que nos frontières, nous léguées par nos ancêtres soient respectées », a-t-il ajouté.

Il fait appel à tous les compatriotes, les nationalistes, ainsi qu’aux amoureux de la RDC de se lever, de s’unir comme une seule bande enfin de barrer la route aux impérialistes, à ceux qui tirebt les fusils sur d’autres cieux, dans des salons politiques privés qui visent à déstabiliser la RDC dans son territoire et dans ses institutions.
« Nous les mettons en garde et nous serons là pour barrer la route. Qu’ils viennent de gauche à droite comme toujours l’ANADEC est là comme la sentinelle de la République enfin de barrer la route aux ennemis. », a-t-il conclu.

 

Nadège Fatulu

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