Ce week-end, une rumeur glaçante a embrasé les réseaux sociaux : l’ancien international français Éric Abidal aurait succombé à une complication liée à sa greffe du foie. Une annonce aussi virale que fausse, qui a contraint l’ancien défenseur du FC Barcelone à intervenir publiquement.
« Je suis ici, avec ma famille, et tout va bien. Le respect est essentiel. Il y a une famille et mes enfants derrière… Je vais bien, je suis en vie et en bonne santé », a-t-il déclaré sur Instagram, visiblement choqué par cette fausse information.
Déjà éprouvé par un combat réel contre la maladie, Éric Abidal n’a pas caché son indignation face à cette manipulation numérique, rappelant la portée humaine de tels mensonges.
Cet épisode relance le débat sur les dérives de l’ère numérique, où la course au buzz prend parfois le pas sur l’éthique. Diffuser de fausses informations sur la mort d’un individu n’est pas seulement immoral : c’est un acte destructeur, tant pour la personne visée que pour ses proches.
La mésaventure d’Abidal est un signal d’alarme : les réseaux sociaux doivent rester un espace de liberté, mais pas au prix de la dignité humaine.
Nathan Kumba
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