La solidarité existe dans chaque corporation. Mais pour le Premier Ministre MATATA PONYO, sa tête serait vendue aux enchères par le Président qui gère l’institution dans laquelle il appartient. Son intention aurait été clairement affichée dans une réunion qu’il aurait tenue devant les sénateurs de l’union sacrée. Il semblerait même que des pratiques très peu honorables auraient été observées. *Mais pourquoi un tel acharnement ? Simple vengeance ? Volonté délibérer d’exclure de la course pour 2023 un prétendant très sérieux à la course présidentielle ? La parole est aux honorables sénateurs.*
Réveillons Montesquieu. La séparation de pouvoir appelle à un principe sacro-saint de gouvernance moderne : le pouvoir arrête le pouvoir. Le sénat et l’assemblée nationale en RDC seraient-ils devenus des institutions subalternes ? *La démocratie est en danger en RDC*
Ici, que personne ne nous parle de la justice. Tous les éléments réunis nous prouvent à suffisance que le sort de MATATA PONYO est déjà scellé dans les officines des coupeurs des têtes des prétendants à la course pour 2023. La justice devient l’injustice dans ce cas et les sénateurs n’ont pas le droit de livrer un des leurs dans l’échafaud de l’injustice. Ils risquent de créer une jurisprudence qui aura des effets de réverbération envers eux-mêmes. Cette journée signera le glas d’un mauvais départ, s’ils répondent à un ordre sans discernement. Le paradis aurait au moins averti
