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Deuxième édition de la JIFAC: Les femmes mobilisées à avoir confiance en elles et défendre leurs droits

A l’occasion de La journée internationale de la femme africaine en Rd.Congo « JIFAC », Chamylia Signature a organisé une conférence débat au Musée National du Congo le 31 juillet dernier sous le thème: « Renaître de ses cendres ».

Organisée en pleine crise sanitaire due à la Covid-19, cette deuxième édition avait pour objectif de mobiliser les femmes à comment surmonter la crise économique provoquée par cette pandémie.

Pour la circonstance, trois orateurs ont été programmés, il s’agissait de Maître Georges Kapiamba, président de l’Association Congolaise pour l’Accès à la Justice(ACAJ); Nadine Tshilombo, presidente de Chamilya signature, coach en image et communication , Al Kitenge, Sandrine Ngoma, Henri Ileka et Louise Pala Kamango.

Intervenant sur la défense des droits socio-économiques de la femme dans le contexte de la Covid-19, George Kapiamba a insisté sur le principe de l’égalité de sexe afin d’éviter toute discrimination telle qu’inscrit dans l’article 13 de la constitution de la RDC.

Pour Nadine Tshilombo, les femmes doivent être capable de se relever relever peu importe les difficultés ou épreuves et surtout avoir confiance en soi.

Quant à Al Kitenge, stratège en économie et innovateur social, intervenant sur la contribution des femmes dans la mise en place d’un modèle financier et économique africain, question d’être en mesure de planifier pour bien réussir, estime que la République Démocratique du Congo se développera si et seulement si elle met fin à l’économique extravertie et diminuer les activités informelles.

Selon Francine Ngoma, ambassadrice YMCA RDC dans l’espace Europe-Suisse, les femmes doivent se réinventer dans leur travail en période post Covid-19, être capables de formaliser, former et fédérer.

Henri Ileka, coach dans l’entrepreneuriat, a quant à lui invité les participants à la conférence à savoir lâcher prise, se redécouvrir et s’assumer, et aux femmes à se réinventer pendant et après cette période post Covid-19.

Pour sa part, la directrice de la recherche à l’Institut du Musée nationale du Congo, l’alphabétisation et l’éducation de la jeune fille et la femme en générale doivent être soutenues pour son émancipation.

Padou Kakudji

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