Depuis plus de 40 ans, l’Est de la RDC est marqué par des violences systématiques. Meurtres de masse, viols, déplacements forcés, destructions communautaires… Ces actes peuvent relever de la définition juridique du génocide, selon la Convention des Nations Unies de 1948.
La Convention de 1948 définit le génocide comme des actes visant à détruire, en tout ou en partie, un groupe ethnique, national, racial ou religieux.
Faits observés en RDC
– Massacres répétés sur base ethnique (Banyamulenge, Hema, Lendu, Nande…)
– Violences sexuelles massives comme arme de guerre
– Déplacement de millions de civils
– Destruction systématique de villages et structures sociales
Les faits indiquent une volonté d’éliminer des groupes ciblés. Des discours haineux, des stratégies planifiées et des massacres récurrents renforcent cette hypothèse.
Silences et complicités
– Inaction de la communauté internationale
– Complicité passive de certains États voisins
– Exploitation économique du chaos par des multinationales
Reconnaissance nécessaire
Le manque de reconnaissance du génocide empêche justice et réparation. Or, nommer ces crimes est une étape vers la paix durable.
Il est temps d’ouvrir un débat international sur la reconnaissance de ce génocide, en soutenant les voix congolaises qui luttent pour la vérité, la justice et la mémoire.
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